Duc-d'Albe

Aigues-Mortes. AILLY (Pierre d'), Voir : PIERRE D'AILLY. Aix-la-Chapelle. ALAIN DE LILLE. ALBE, duc d'. ALBERT LE GRAND. ALBERTI (Leone Battista). Albi. ALBUQUERQUE. Alcala. ALCIAT (Andrea ALCIATO). ALCUIN. ALDE. Voir MANUCE (Aldo Manuzio, en français Alde MANUCE). ALÉANDRE (Geronimo ALEANDRO, en français Jérôme ALÉANDRE). ALEMBERT (Jean LE ROND, dit D'). Alençon. ALENÇON (François de Valois, duc d'). ALEXANDRE VI BORGIA, pape. ALEXANDRE LE GRAND. ALEXANDRE DE VILLEDIEU (Alexander Gallus)

côtes de la Méditerranée et arrive en Italie : dans le Latium. Enée et Julius vont fonder une cité dans le Latium. Il s’agit de la ville légendaire d'Albe. Nous sommes alors au XIIème siècle avant notre ère. Leurs descendants vont régner sur la cité pendant plusieurs siècles sans difficulté. Mais au VIIIème siècle, deux frères se disputent le trône d'Albe. Le premier s'appelle Numitor (il doit devenir souverain), le second s'appelle Amulius. Amulius va s’emparer de la ville par un coup d'état. Ce dernier

lois. Puis Tullius Hostillius aurait été un roi guerrier, un roi belliqueux, menant la guerre contre l’ennemie jurée, Albe la longue. C’est sous son règne que se place l’épisode du combat entre les Horace, champions de Rome, et les Curiace, champions d’Albe. Enfin Ancus Marcius aurait favorisé l’économie par la construction d’un pont, d’un port, d’un marché. 2. La société gentilice archaïque La société gentilice ( de gens ou « clan » ) archaïque, unie par une religion

jusqu'au 8eme siècle où va naître un conflit concernant le trône. Numitor est celui qui doit régner sur Albe, mais son frère, Amulius, veut lui aussi régner sur le trône. Ils rentrent donc en guerre et c'est Amulius qui remporte le trône et devient roi d'Albe. Amulius fait donc enfermer son frère et va prendre une précaution : il va s'assurer que la fille de Numitor, RHEA SILVIA, n'ai pas d'enfants pour éviter que sa descendance ne veuille reprendre le trône. Pour cela il l'a fait VESTALE. Une vestale

dans chacun des camps trois champions qui seront chargés de faire triompher la cause de la patrie. L'acte II révèle coup sur coup aux Horaces et aux Curiaces leur infortune ; un choix unanime les commet au soin de défendre les intérêts de Rome et d'Albe. Déchiré par la perspective d'un devoir si pénible, Curiace, le fiancé de Camille, refuse cependant de s'y soustraire ; dans le même temps, Horace manifeste une joie orgueilleuse et brutale. Devant l'éloquence et les larmes des deux femmes, les guerriers

dans chacun des camps trois champions qui seront chargés de faire triompher la cause de la patrie. L'acte II révèle coup sur coup aux Horaces et aux Curiaces leur infortune ; un choix unanime les commet au soin de défendre les intérêts de Rome et d'Albe. Déchiré par la perspective d'un devoir si pénible, Curiace, le fiancé de Camille, refuse cependant de s'y soustraire ; dans le même temps, Horace manifeste une joie orgueilleuse et brutale. Devant l'éloquence et les larmes des deux femmes, les guerriers

Echauffés par son regard rétrospectif, ces hommes chétifs, nés d'hier, peuvent franchir le chaos, entonner un hymne sans fin et se configurer le passé de l'univers dans une sorte d'Apocalypse rétrograde. En présence de cette épouvantable résurrection duc à la voix d'un seul homme, la miette dont l'usufruit nous est concédé dans cet infini sans nom, commun à toutes les sphères et que nous avons nommé LE TEMPS, cette minute de vie nous fait pitié. Nous nous demandons, écrasés que nous sommes sous tant

Echauffés par son regard rétrospectif, ces hommes chétifs, nés d’hier, peuvent franchir le chaos, entonner un hymne sans fin et se configurer le passé de l’univers dans une sorte d’Apocalypse rétrograde. En présence de cette épouvantable résurrection duc à la voix d’un seul homme, la miette dont l’usufruit nous est concédé dans cet infini sans nom, commun à toutes les sphères et que nous avons nommé LE TEMPS, cette minute de vie nous fait pitié. Nous nous demandons, écrasés que nous sommes sous tant

philosophie que des principes et des idées. − Quelle horreur ! Vous n'auriez nul chagrin de tuer vos amis pour un si... − Hé ! monsieur, l'homme qui a des remords est le vrai scélérat, car il a quelque idée de la vertu ; tandis que Pierre le Grand, le duc d'Albe, étaient des systèmes, et le corsaire Monbard, une organisation. − Mais la société ne peut−elle pas se priver de vos systèmes et de vos organisations ? dit Canalis. − Oh ! d'accord, s'écria le républicain. − Eh ! votre stupide république me donne

don Florisel de Niquéa, et le vigoureux Anaxartes, corrigée du style antique, selon que l’écrivit Zirphéa, reine d’Agines, par le noble chevalier Feliciano de Silva. – Saragosse, 1584. Par une rencontre singulière, cette Chronique était dédiée à un duc de Bejar, bisaïeul de celui à qui Cervantès dédia son Don Quichotte. 22 pas autant des blessures que don Bélianis donnait ou recevait, se figurant que, par quelques excellents docteurs qu’il fût pansé, il ne pouvait manquer d’avoir le corps couvert