Duc d'York

en 1675, mort en 1755, écrivain et mémorialiste français, Saint-Simon est le fils unique du second mariage du duc Claude, écuyer de Louis XIII devenu duc et pair. Opposé à la politique de Louis XIV, Saint-Simon place tous ses espoirs quant à l'avenir de la France dans le petit-fils héritier de la Couronne, le duc de Bourgogne. La mort prématurée de ce dernier ébranle profondément le duc qui écrit à cette occasion l'un des plus beaux passages de ses Mémoires. La colère de Saint-Simon se cristallise

Enfin, il n’y a aucune de nos actions extérieures, qui puisse assurer ceux qui les examinent, que notre corps n’est pas seulement une machine qui se remue de soi-même, mais qu’il y a aussi en lui une âme qui a des pensées, excepté les paroles, ou autres signes fait à propos des sujets qui se présentent, sans se rapporter à aucune passion. Je dis les paroles ou autres signes, parce que les muets se servent de signes en même façon que nous de la voix ; et que ces signes soient à propos, pour exclure

Armand Jean du Plessis de Richelieu, dit le cardinal de Richelieu, cardinal-duc de Richelieu et duc de Fronsac, est un ecclésiastique et homme d'État, né le 9 septembre 1585 à Paris et mort le 4 décembre 1642 dans cette même ville. Pair de France, il a été le principal ministre du roi Louis XIII.Initialement destiné au métier des armes, il est contraint d'entrer dans les ordres afin de conserver à sa famille le bénéfice de l'évêché de Luçon. Temporairement ministre des affaires étrangères en 1616

jouée par Michèle Lahaye, la mort du Grand-Duc est son plus gros chagrin mais malgrès cela sans haine elle va rencontrer son meurtrier en prison qui est d’autre que Kaliayev et son rôle sera de le raisonner et de lui montrer qu elle est de son côté (voir p.123-124). Ensuite, nous avons le personnage principale qui est Ivan Kaliayev incarner par Serge Reggiani, ce personnage porte le nom d’un de ceux qui ont réellement commis l’attentat contre le Grand-Duc. Il est un « poète » , l intellectuel du

difficile d'accès pour les troupes françaises. Commence alors l'interminable "bataille de Verdun", au cours de laquelle l'armée française assure sa survie grâce au développement forcené d'une route longue de soixante kilomètres, située entre Bar-le-duc et Verdun, qu'un écrivain de l'époque surnomma "la voie sacrée". Le peintre veut faire dégagé par cette toile toutes les horreurs de la guerre, toute l'armée française va connaître « l'enfer de Verdun » puis apparaissent les bombes au phosgène, un

de l'archiduc Ferdinand d'Autriche-Este, duc titulaire de Modène et gouverneur de Lombardie et de Marie-Béatrice d'Este, fille et héritière du duc Hercule III de Modène et de Marie-Thérèse Cybo-Malaspina, duchesse de Massa et de Carrare. Il est prénommé François en l'honneur de son grand-père, le duc de Lorraine et de Bar élu empereur en 1745. En 1789 sa sœur aînée prénommée Marie-Thérèse comme leur grand-mère la grande impératrice, avait épousé le duc d'Aoste, fils cadet du roi de Pémont-Sardaigne

quartier aristocratique Nature Peinture Genre Scène de genre Style Paysagisme Date 1752 Techniques et matériaux Huile sur toile Dimensions 84x137cm Evènement Demande du comte de Northumberland Lieu de conservation Collection privée du Duc de Northumberland Le dessin est précis, avec un grand niveau de détail et une vaste perspective, caractéristiques pour lesquelles Canaletto est très connu. Pour une plus grande précision, le peintre a utilisé la chambre optique. Au premier plan

départementale portée à 7 mètres de largeur en 1915, mais dont le tracé sinueux était médiocrement empierré. Le 19 février, devant les menaces qui se précisaient sur le front de Verdun, l’État-Major Général, au cours d’une séance de travail à Bar-le-Duc même, avait confié le problème au Capitaine Doumenc qui représentait le Service Automobile ; le 20 février est créée la Commission Régulière Automobile, organisme original en ce sens qu’il répond à la nécessité d’assurer 2 000 tonnes par jour dans la

et d’orient, 1982, pp 65-66.il date du de première période intermédiaire et s’adresse au grand intendant. Ce texte a pour auteur un scribe. Mais il a été traduit par Gustave Lefebvre, historien français égyptologue et helléniste né en 1879 à Bar-le-Duc et mourût le 01 novembre 1957 àversaile. L’histoire se dérouledans la premier période intermédiaire, période à laquelle l’Égypte pharaonique connait un désordre généralise. De ce fait les bas-sexe des différents rois se percevaient. C’est dans ce contexte

bataille : il lui faut protéger la ville de Verdun. 2. « L'enfer de Verdun » a. Un massacre organisé Au terme des premiers jours, donnant l’avantage aux Allemands, le camp français réagit et s’organise. Une « Voie sacrée » est instituée entre Bar-le-Duc et Verdun : elle permet d’acheminer des renforts, de ravitailler les tranchées et de renouveler les combattants, de jour comme de nuit. Entre février et avril, les effectifs mobilisés à Verdun ont plus que doublé : de 230 000, ils sont passés à 584 000