Duc de Modène

(Basques ou Gascons), le 15 août 778. Le récit littéraire: Charlemagne chasse les Sarrasins d'Espagne; seule Saragosse lui résiste. Il a douze pairs: Roland (son neveu, comte des marches de Bretagne; peut-être personnage historique?), Olivier, le duc Naimes..., personnages imaginaires, et l'archevêque Turpin (qui ne fut pas présent à Roncevaux et meurt en 790). Roland commande l'arrière-garde, qui est attaquée par les Sarrasins de Marsile! Entre l‘événement et la chanson: ± 300 ans. Chanson de

retour, le vassal doit l’assister et le servir de toutes ses forces avec respect et loyauté, dans un dévouement total et désintéressé. Au XIème siècle, le Duc Guillaume d’Aquitaine affirme à son vassal Hugues, sire de Lusignan : « Tu dépends tellement de moi que si je te disais de prendre pour seigneur un rustre, tu devrais le faire ». De son côté, le Duc de Normandie prétend pouvoir donner un vassal « comme un cheval ou un bœuf ». Le rituel de la fidélité vient immédiatement après l’hommage. Le vassal

Suisse et de Rousseau; mais ce qui est joli et fin littérairement, c'est la remarque qui suit: "La première trace d'attention aux choses de la nature que j'aie trouvée dans les livres qu'on lit, c'est cette rangée de saules sous laquelle se réfugie le duc de Nemours, réduit au désespoir par la belle défense de la princesse de Clèves." Même en rectifiant et en contredisant ces manières de dire trop exclusives, on arrive à des idées qu'on n'aurait pas eues autrement et en suivant le grand chemin battu

Napoléon ! se dit-il ; j’aurais eu l’honneur de parler à ce grand homme, plût à Dieu ! » Il se souvint que son septième aïeul, le petit-fils de celui qui arriva à Milan à la suite de Sforce, eut l’honneur d’avoir la tête tranchée par les ennemis du duc, qui le surprirent comme il allait en Suisse porter des propositions aux louables cantons et recruter des soldats. Il voyait des yeux de l’âme l’estampe relative à ce fait, placée dans la généalogie de la famille. Fabrice, en interrogeant ce valet de

s’appuie en effet sur la science de l’Antiquité. En cela, le tableau illustre bien l’esprit de la Renaissance.Ajoutons qu’il présente Pacioli enseignant son élève le duc d’Urbino, Guidobaldo de Montefeltro. Sans doute est-ce le mathématicien que le peintre a placé au centre du tableau. Mais la science de ce dernier rejaillit sur le duc. On n’est pleinement prince, à la Renaissance, que si on est impliqué dans la vie culturelle : c’est pourquoi tant de princes pratiquent le mécénat, ou se font représenter

Napoléon ! se dit-il ; j’aurais eu l’honneur de parler à ce grand homme, plût à Dieu ! » Il se souvint que son septième aïeul, le petit-fils de celui qui arriva à Milan à la suite de Sforce, eut l’honneur d’avoir la tête tranchée par les ennemis du duc, qui le surprirent comme il allait en Suisse porter des propositions aux louables cantons et recruter des soldats. Il voyait des yeux de l’âme l’estampe relative à ce fait, placée dans la généalogie de la famille. Fabrice, en interrogeant ce valet de

honnis, et Cavour démissionne, mais le mouvement d’unification italien est en marche, et l’Autriche n’a pas les moyens d’intervenir. Tout repose sur Napoléon qui en 1860, à l’intention de se racheter. Des plébiscites rattache au Piémont Parme, la Modène, la Romagne, et la France obtient comme pourboires, Nice et la Savoie. La lutte animée par Garibaldi continue, avec une petite armée de volontaires (les Mille), encouragé en sous main par Cavour, il débarque en Sicile en 1860, l’unit sous son commandement

la G**, femme-de-chambre de la De-Brie ; celle-cy étoit aussi de la troupe avec son mari, et quelques autres. Molière en formant sa troupe, lia une forte amitié avec la Béjart, qui avant qu'elle le connût, avoit eu une petite Fille de Monsieur de Modène, Gentilhomme d'Avignon, avec qui j'ai sçu, par des témoignages très-assurez, que la mère avoit contracté un mariage caché. Cette petite fille accoutumée avec Molière, qu'elle voyoit continuellement, l'appella son mari, dès qu'elle sçut parler ; et

assassiné, petit-neveu d'un roi guillotiné, enfant d'un "miracle" qu'un entourage de fanatiques lui avait rabâché, il avait été élevé à la cour de Charles X, puis (après 1830) dans des châteaux rhénans et danubiens; il avait pris femme à la cour de Modène en Italie, la plus arriérée d'Europe paraît-il; au début des années 1870 il vivait en Bohème, au château de Frohsdorf; il n'avait pas mis les pieds en France depuis juillet 1830 et ne revit son pays qu'en 1871, pour quelques heures qu'il passa d'ailleurs

« L’exigence d’une révision ressentie par les populations locales »[31] [31] Gambi, 1950a, 3. ... suite légitime son entreprise, mais le problème lui semble général à toute l’Italie, sauf en Toscane dont le maillage fut restructuré à l’initiative du grand-duc Leopold entre 1774 et 1776, et dans certaines zones où le travail de l’administration napoléonienne fut conservé après 1815[32] [32] Gambi, 1995, 25. Gambi a repris cette réflexion sur la... suite. Pour lui, « il est clair que [la détermination rationnelle