Duc des Francs

importantes est positive, tant au niveau physique que spirituel. Le Prince de Clèves est le fils du Duc de Nevers. Puis vient la description du Duc de Nemours : lignes 87-88 « Ce qu'il avait de moins admirable c'était d'être l'homme du monde le mieux fait et le plus beau ». Le texte s'attarde sur lui et est toujours élogieux. Le premier discours direct de l'oeuvre apparaît ligne 203 ; il s'agit du Duc de Nemours qui parle de son mariage probable avec Elizabeth Iere . Rupture à la ligne 220 avec la

LA CHASTELAINE DE VERGISommaire INTRODUCTION 3 LA CHASTELAINE DE VERGI EN GÉNÉRAL 4 ANALYSE DES PERSONNAGES 4 LA CHASTELAINE ET LE CHEVALIER 4 LE DUC ET LA DUCHESSE 5 L’IMPORTANCE DE LA NARRATION 5 LA CULPABILITÉ 6 CONCLUSION 7 BIBLIOGRAPHIE 8 INTRODUCTION La littérature médiévale française, avec ses thèmes et ses oeuvres, a eu un impact énorme sur la littérature européenne. Un de thèmes très chères aux auteurs médievales était celui de l’amour. La Chastelaine

Pau en 1553, est le fils d’Antoine de Bourbon, premier prince du sang, et de Jeanne d’Albret (1528-1572), qui devient reine de Navarre en 1555 à la mort de son père Henri d’Albret et qui adhère à la Réforme en 1560. Placé par son père à la cour de France en 1561, le jeune Henri y reste jusqu’en 1567 comme garant de l’entente entre la monarchie et la reine de Navarre. Mêlé très jeune aux guerres de religion, il fait ses premières armes en 1568 en participant avec le parti protestant à la troisième

réunit ses filles, leurs maris et son fidèle ami le comte de Kent. Il annonce son désir de se retirer du pouvoir et sa décision de diviser son royaume entre ses trois filles, Goneril mariée au duc d'Albany, Régane épouse de Cornouailles et Cordélia, la plus jeune, courtisée par le duc de Bourgogne et le roi de France. La plus large part sera offerte à celle qui saura lui déclarer qu'elle l'aime le mieux. Alors que les deux aînées n'hésitent pas à jouer la carte de la flagornerie, Cordélia se montre sobre

comportait en tout selon son propre dessein et gouvernement.» De plus, sa belle-mère possède l’appui de l’aristocratie neustrienne. Elle se réfugie avec les trésors de Pépin II à Cologne où elle possède des appuis et où son 2e petit-fils Arnoul est duc, laissant donc la Neustrie aux mains de son petit-fils Theudoald. De plus, il est important de préciser que Plectrude connaissant les intentions de son beau-fils, Charles est l.20 «détenu en prison» qui un peu plus tard en 716, réussira à s’échapper

prince de Galles, futur roi Edouard VII alors ami et confident des de Breteuil. Constance de Castelbajac est née en 1859 dans l’une des plus anciennes familles de la noblesse de Bigorre. Majoritairement monarchiste, cette région du sud ouest de la France est une province loin des manifestations qui font rages à Paris. En 1878, Constance de Castelbajac prend le nom de Marquise de Breteuil en épousant le député des Hautes-Pyrénées, Henri de Breteuil. Ce mariage est perçu comme un mariage typique de

florentins comme on peut le voir avec le Duc qui enchainent les conquêtes amoureuses ou bien avec Julien Salviati qui cherche à « coucher » (à avoir des rapports) avec Louise, la fille de Philippe Strozzi. Et par rapport au Duc, c’est là, qu’interviennent les personnages de Catherine et de la Marquise de Cibo. Le Duc dans l’Acte II, scène 4, remarque la tante de Lorenzo, Catherine et décide d’en faire sa conquête. De même, pour la Marquise Cibo qui est la maitresse du Duc. Par ailleurs, on peut voir que

Jean sans Peur, duc de Bourgogne. Sa mère Valentine Visconti, fille du duc de Milan meurt à son tour peu de temps après. Charles d’Orléans est donc placé à l’âge de seize ans à la tête d’un parti et devint chef de la féodalité française. En 1410, Charles se remarie avec Bonne d'Armagnac, fille du comte Bernard VII d'Armagnac, grand féodal du Sud-Ouest Bonne. Cette union scelle une alliance politique entre les maisons d’Orléans et d’Armagnac, avec le soutien du duc de Bourbon, du duc de Berry et celui

Loève-Veimars, et les Mécontents, de Prosper Mérimée. Elle eut tôt fait de découvrir, dans les Chroniques florentines de Benedetto Varchi, un sujet dramatique et neuf c’était l'aventure de Lorenzo de Médicis, -Lorenzaccio-, qui, vivant à la cour du duc Alexandre, son cousin, avait, par une longue et savante dissimulation, gagné la confiance de celui-ci et préparé le guet-apens où le tyran de Florence devait trouver la mort. Le vieux chroniqueur s'était plu à narrer cette histoire avec un tel luxe

: le duc Alexandre, bâtard des Médicis, qui s'appuie sur les troupes de Charles Quint. La pièce ressuscite cette Florence du XVIème siècle : les vices d'Alexandre et de ses protégés, l'avidité des marchands, l'indignation du peuple, la conjuration des grandes familles républicaines. Sur cette toile de fond, vivante et colorée, se détache la figure du cousin d'Alexandre, Lorenzo de Médicis, appelé avec mépris Lorenzaccio. Ce dégénéré, miné par les orgies, est le compagnon de débauche du duc. ACTE