Duc des Francs

Document 1 : Le problème de la succession : accord entre le roi Philippe V et Jeanne, fille de Louis X (19 juillet 1316) “Philippe, fils du roi de France, régent des royaumes de France et de Navarre, et Eudes, duc de Bourgogne. À tous ceux qui ces présentes lettres verront, salut. Savoir faisons qu’après délibération pour établir la paix avec notre conseil, nous avons fait le traité ci-dessous. C’est à savoir que nous Philippe et nous Eudes, pour notre chère dame Agnès fille du saint roi saint

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Jeanne d'Arc, née vers 1412[1] à Domrémy, morte sur le bûcher le 30 mai 1431 à Rouen, est une figure emblématique de l'histoire de France et une sainte de l'Église catholique. Au début du XVe siècle, cette prophétesse d'origine paysanne mène victorieusement les troupes françaises contre les armées anglaises, levant le siège d'Orléans, conduisant le dauphin Charles au sacre à Reims et contribuant ainsi à inverser le cours de la guerre de Cent Ans. Capturée par les Bourguignons à Compiègne, elle

dates sombres dans l’histoire de la France : * 1685 édit de Fontainebleau qui révoque l’Edit de Nantes, édit de tolérance qui avait été signé par son grand-père Henri IV en 1598 : Il interdit la pratique du culte réformé, ordonne la démolition des ©Fichesdelecture.com – Tous droits réservés – http://www.fichesdelecture.com temples et des écoles, oblige à baptiser dans la foi catholique tous les enfants à naître, ordonne aux pasteurs de quitter la France mais interdit cependant aux simples

des bas-reliefs, en tout plus de quatre-vingt-dix pièces, qu’il installe dans un véritable petit musée, sa maison sur le Wapper. Une fois de plus, la collection rubénienne joua un rôle plus qu'ornementale. Il revendit en effet cette collection au duc de Buckingham, probablement la deuxième personnalité la plus influente d'Angleterre, en 1627. Malheureusement, celui-ci meurt avant la mission diplomatique de Rubens en Angleterre, et l'amitié des deux hommes restera uniquement sur le plan artistique

Princesse de Clèves M. de Nemours Qui est-il? Jacques de Savoie (1531-1585). Se trouve à la cour de François Ier à 15 ans. A combattu avec le roi contre Charles V, l'Empereur; champion au tournement où Henri est blessé; mari d'Anne d'Este, veuve du duc de Guise. Dans le livre: Ce "Don Juan" est parti au début en Angleterre. Quand il rentre, il tombe amoureux de la Princesse de Clèves au bal des fiançailles où ils dansent ensemble. Le comportement de Monsieur de Nemours change beaucoup immédiatement

M.A. MART: Nous sommes en 854. Charlemagne est mort et son empire a été partagé entre ses 3 petits-fils. Charles le Chauve a hérité de ce qui deviendra la France. Le château de Blois est une place forte située au bord de la Loire. Les Vikings arrivent avec leurs drakkars et remontent les fleuves. Ils profitent alors de cet emplacement pour l'attaquer. Au 10e et 11e siècles, la forteresse est reconstruite sous l'ordre des Comtes de Blois, des puissants seigneurs féodaux de l'époque. Ils règnent

cette époque le centre du monde) * Ainsi que des raisons d’héritages (Les Rois de France revendique le Royaume de Naples) * Mais aussi et pour finir ce sont des raisons géostratégique (Epoque de Charles Quint : Il possède des territoires espagnols…) On a une division politique des Etats Italiens ce qui favorise les guerres car ils ne sont pas « en accord ». Certains Etats vont demander de l’aide à la France, etc... Ils font un peu rentrer comme qui dirait : « Le loup dans la Bergerie. ». Ludovic

| |Texte 3 |Support : A rebours, Joris-Karl Huysmans (1884) | Cette page est la première d’un récit centré sur un unique personnage, le duc Jean Floressas des Esseintes. Il vit reclus dans une demeure située non loin de Paris, à Fontenay-aux-Roses, en haine de son temps et de la médiocrité bourgeoise. Ce personnage deviendra la figure-phare de la littérature « fin de siècle » ou « littérature

retour en France en 1567, il gagne les bonnes grâces de personnages haut placés, dont le duc d’Anjou, le futur Henri III, qu'il suit en Pologne. Lorsque celui-ci revient occuper le trône de France, il en reçoit plusieurs abbayes qui lui procurent un revenu de 10 000 écus. Préférant sa poésie plus maniérée, plus conventionnelle, plus formelle et moins inspirée que celle des poètes de la Pléiade, Pierre de Ronsard ou Joachim du Bellay, il en fait son poète officiel et mondain. De retour en France en 1567