Duché de Bretagne

la capitale du duché de Bretagne pendant plusieurs siècles alors que la Vendée par exemple possède sa propre culture historique, sociale, culinaire, territoriale, qui n'a aucun rapport avec la culture bretonne et qui ne s'en rapproche pas. Ainsi, ces deux départements ne peuvent pas réellement former de cohésion culturelle après des siècles d'existence indépendante. Il est d'ailleurs intéressant de voir qu'il y a eu une volonté de rattachement de la Loire-Atlantique à la Bretagne. La séparation des

comme la poterie, le tissage, le polissage des pierres. Les groupes humains se sédentarisent, donnant naissance aux premiers villages et aux premiers tombeaux mégalithiques : tumulus, cairns, dolmens, et menhirs. Les menhirs sont très présents en Bretagne, isolés ou en alignement comme à Carnac (4 km, 2 935 menhirs), ou en cromlech comme au pic de Saint-Barthélemy près de Luzenac en Ariège. Selon Fernand Braudel, c'est à la fin du Néolithique que « l’identité biologique » de la future France avec

France. Devant ce prétexte tout trouvé, le Parlement arguant que le duc de Guyenne n’avait pas prêter hommage à son suzerain, confisque le duché en 1324. Pour retrouver son duché, Edouard II envoie son fils, le futur Edouard III, prêter hommage. Mais le roi de France ne lui propose qu’une Guyenne amputée de l’Agenais. En 1327, Edouard III recouvre son duché contre la promesse d’une indemnité de guerre. Mais les français faisant traîner en longueur la remise des terres, forcent Edouard III à venir

l'île de Grande-Bretagne. La langue officielle est l'anglais et la monnaie est la livre sterling (£). Le système politique repose sur une monarchie parlementaire. La monarchie anglaise est l'une des plus vieilles au monde. L'Angleterre est devenue un état unifié au cours du Xe siècle et tire son nom des Angles, l'une des tribus germaniques qui s'installèrent sur son territoire aux Ve et VIe siècles. La capitale de l'Angleterre est Londres, première aire urbaine de Grande-Bretagne et, selon les critères

Versailles. Cette conférence va rédiger des traités mettant fin à la guerre. Le traité le plus important, le premier, est le traité de Versailles (28 juin 1919). 1. Elle est organisée autour de quatre négociateurs: la France, les États-Unis, la Grande-Bretagne et l'Italie. 2. Cette conférence n'invite pas les vaincus. Seulement les vainqueurs. La Russie est invitée mais ne participe pas, elle refuse l'invitation. Cette conférence n'est pas improvisée. En un an et demi, tout le travail territorial est

Gwenn-ha-du Le Gwenn ha duLe drapeau de la Bretagne, dans sa version moderne (1923) est le Gwenn ha Du (en français : « Blanc et Noir »). Le quart supérieur gauche reprend les armoiries de Bretagne : un semé d'hermine. En héraldique, on dit « franc-quartier d'hermine plain », c'est-à-dire sans nombre précis. Habituellement, le drapeau en compte onze. Les bandes blanches et noires, selon l'explication la plus populaire, représentent les pays ou 9 évêchés de Bretagne : 4 pour les pays de langue bretonne

l’aggravation des relations entre les deux états. Pour quelles raisons la guerre ? • Jean Tulard évoque en premier lieu le partage de l’empire Ottoman entre les puissances européennes constamment ajourné par Napoléon. = mécontentement • Création du duché de Varsovie en 1807 (une possible renaissance de la Pologne inquiète les Russes) • Le Tsar s’oppose à la France = difficultés économiques qui résultent du blocus continental  La Russie dénonce la volonté de la France d’asphyxier l’économie Russe

a) Le retour de la féminité b) La femme dans l’Art II) Le rôle de la femme dan la société a) Le mariage contre l’amour b) Les droits et les devoirs de la femme III) Des Femmes qui ont marqué la Renaissance a) Catherine de Médicis b) Anne de Bretagne I) Une nouvelle image de la femme a) La femme dans l’art Pendant la Renaissance, le corps féminin réapparaît dans l'art non-religieux. Il est, quoi que très réaliste comparé au passé et aussi parce que les artistes font maintenant appel

la reconstruction partielle de l'abbatiale. Le texte s'apparente à la situation du royaume franc à la fin du XIe siècle. Une époque où la légitimité du roi est encore fragile et où la jeune dynastie capétienne reste sous la menace des Grands. Le duché de Normandie, l'un des plus grands et des plus riches du royaume devient ainsi particulièrement puissant et s'agrandit au fil des années. Le texte nous présente ainsi la projection normande d'invasion du territoire royal à travers la lutte opposant

écrit par les nobles habitants des quatorze paroisses unies du pays de Bretagne. Le “Code paysans” que nous possédons en sa totalité est rédigé en 1675, il témoigne alors du début de la révolte menée par les Bonnets rouges, c'est le surnom qu’on donne au paysans Breton qui participent à la révolte. Ils sont au nombre de 30 000 à se révolter contre les nouvelles mesures mises en place par le pouvoir royal. En effet la Bretagne est touchée par des révoltes paysannes en ville comme à la campagne qui