Dumping

mondialisation et ses conséquences sur l'emploi, liées à l'augmentation de la concurrence et aux délocalisations, ont tendance à freiner les accords de libre-échange dans la mesure où l'on considère que les conditions de la concurrence ne sont pas respectées (dumping social, règles environnementales inexistantes dans les PED, ultralibéralisme axé sur le profit). Une opposition aux principes du libre-échange se manifeste dans de nombreux États (hommes politiques, économistes) pour réclamer la mise en œuvre de règles

actuellement, la mondialisation ne met plus en concurrence les économies sur leurs produits mais sur leurs systèmes productifs et sociaux. Ainsi elles doivent jouer sur le niveau de qualification, sur les charges sociale , etc. avec les risques de dumping social ou fiscal. La mondialisation semble menacer nos sociétés , la nécessité de créer de nouvelles régulations sociales et économiques se fait sentir, et pour la première fois on assiste à des manifestations contre la mondialisation afin de défendre

les importations japonaises d’automobile comme une réponse à l’activisme des lobbies automobile US. Ainsi les arguments de la théorie du commerce internationale n’ont que peu d’impact sur les décideurs. _2/concurrence déloyale : L’argument de « dumping social » est parfois évoqué pour mettre des barrières aux échanges internationaux (salaires anormalement faible dans les pays du Sud seraient dû à l’absence de protection sociale des travailleurs ou au nom du respect des droits de l’Homme) (Remarque

maintenant 3 ans de sa compétitivité d’une manière exponentielle. (cf. http://www.industrie.gouv.fr/...) Les consommateurs sont également des acteurs souvent lésées à court terme par le libre-échange. Le dumping social et la course au moins disant font partie des effets néfastes de cette libéralisation, ou les entreprises lèsent les employés pour augmenter les profits. Ces derniers perdent ainsi des acquis sociaux et fiscaux à cause de la concurrence des

Dans certains secteurs, il n’y a tout simplement pas de concurrence. Également tout autour du globe, il existe des oligopoles qui contrôlent le marché mondial et qui peuvent modifier les prix comme ils le désirent à l’aide d’une pratique appelée dumping qui consiste à vendre volontairement un bien à prix inférieur afin d’enrayer la compétition et dominer le marché mondial. Ainsi, ce genre compétition inégale où le marché est contrôler par un nombre restreints d’entreprises peut justifier les interventions

travailleurs « mondialisés », et largement plus compétitifs au niveau salarial, provenant notamment des nouveaux pays émergents, comme les BRIC’s (Brésil, Russie, Inde et Chine). Ainsi, les pays en voie de développement n’hésitent-t-ils pas à user du dumping social, pour profiter des besoins en travailleur des pays industrialisé, tout en accentuant le taux de chômage de ces derniers. La mondialisation pose également le problème de l’immigration, qu’elle soit légale ou illégale, et des différentes

aux fortes dépenses publiques protectrices). Ces disparités en terme de législation professionnelle et de régulation sociale impliquent dès lors des risques de manque de cohésion (menace d’alignement vers le bas des législations sociales), et de dumping social (délocalisation, restructuration…). En outre, depuis la création de la CECA en 1951, les traités ont toujours privilégié le développement économique au détriment du progrès social. Si de nombreuses évolutions ont été constatées en ce domaine

Premièrement c’est la présence de main-d’œuvre bon marché (Indien - 4000$ contre son homologue américaine – 30000$ par an[3]). Cette politique nationale des pays à bas salaire enquête de plus en plus les pays développés, s’élevant la question de « dumping social ». Ensuite les pays en développement, notamment l’Inde, proposent la fiscalité plus attractive (10 - 12 % en Inde contre 15 – 38 % aux Etats-Unis[4]). L’Inde ne dispose pas d’infrastructure assez développée, en comparaison avec

000 travailleurs qualifiés par an. L'Allemagne attire donc les travailleurs étrangers pour faire face à cette pénurie. Il ne s'agit pas d'une « invasion » subie, comme le laissait penser la menace du « plombier polonais ». Reste la peur du « dumping social », née du principe du pays d'origine. Nous allons donc nous pencher un peu plus sur le droit du travail allemand. Tout d'abord, il faut savoir que l'Allemagne fait figure d'exeption au niveau européen. En effet, il s'agit d'un des rares

comme la contrainte extérieure. B. L’UE est-elle armée pour faire face aux chocs asymétriques (ne touchant pas tout les pays) ? Le gouvernement du pays touché doit utiliser la régulation de la flexibilité salariale, la protection sociale (dumping social, etc.). Pour Mundell, on doit favoriser la mobilité des facteurs pour atteindre une ZMO ; l’UE n’en est pas une. La politique budgétaire est toujours acceptée mais fortement encadrée du fait du PSC.