Dynamiques De La Balance Des Paiements

STAT IN F O Le 10 février 2010 La balance des paiements de la France : premiers résultats annuels et données de décembre 2009 MF-09-12z Dans un contexte de recul des échanges de biens et de services de près de 16 % en moyenne sur un an, le solde des transactions courantes de la France affiche un déficit de 40,6 milliards d’euros en 2009 après 44 milliards en 2008. La réduction du déficit des échanges de biens de 11,6 milliards sur l’année sous l’effet de la baisse de la facture énergétique

anticipations des agents privés concernant la même gamme de fondamentaux que dans le cas ces modèles de 1ère génération. De même que précédemment est qualifiée de crise de 2ème génération toute crise auto réalisatrice (« du bas vers le haut de la balance »).Il s’agit d’un problème de liquidité :si les opérateurs anticipent qu’elle viendra à manquer ,la crise survient alors que l’assèchement repose sur leur propre comportement .Notons que la pertinence de la distinction entre 1ère et 2ème génération

détails et les fondements étant étudiés durant les séances de TD. • Notre PEO exporte et importe des biens et services, dont le solde est la balance commerciale BC (aussi appellée balance courante). Elle fait également face à des entrées et des sorties de capitaux, dont le solde net est mesuré par la balance des capitaux K. La somme des deux est la balance des paiements BP . • A cela s’ajoutent les variations des réserves de change de la banque centrale, qui jouent un rôle dans le système de changes fixes

TD : Balance des paiements de la France Le compte des transactions courantes : globalement la balance est déficitaire en France, c’est dut à un déficit important de la ligne marchandise à cause d’un manque de compétitivité des produits français et une facture énergétique très élevée. Le compte de capital (propriété intellectuelle comme brevet…) : compte qui a le montant le plus faible et est légèrement positif. Le compte financier : les ID sont subdivisé en deux catégories : - investissements

plusieurs exemples : l’élargissement de l’offre entre autres… Pourtant, les gains statiques d’ouverture sont assez faibles comme peuvent l’indiquer certaines estimations rattachées à différentes périodes de libéralisation du commerce. Les gains dynamiques d’ouverture doivent donc être prises en compte. L’ouverture est un choc pouvant accélérer le rythme d’accumulation et faire changer l’économie de sentiers et de croissance. L’ouverture est finalement un catalyseur de la croissance. Elle s’inscrit

la seconde guerre mondiale. Figure 1 : Triangle de Mundell Le système de Bretton Woods (1944-1971) se situe au sommet du triangle .Le SMI est fondé sur un régime de change fixe, avec une obligation des pays de corriger leurs déséquilibres de balances des transactions courantes.. 1971-1980 : est marquée par l’abandon des principes de Brettons Woods. Il y’avait un flottement (à partir de 1973)des monnaies et une forte mobilité des capitaux. Les années 1980, caractérisée par la recherche d’une

libéralisation amorcé depuis les années quatre vingt ; il a procédé, durant la dernière décennie à la mise en place d'un cadre juridique propice aux développements de ses relations commerciales avec certains de ses partenaires potentiels. Cette dynamique s'est accompagnée par la révision des cadres institutionnels et économique régissant l'économie marocaine. Comme nous le savons Le modèle de développement de l'économie marocaine se base dans une large mesure sur la demande intérieure qui constitue

l'échange international, justement dans la mesure où les autres pays ne les possèdent pas ou les possèdent à  un moindre degré. L'expression peut aussi désigner, par un raccourci, la loi des avantages comparatifs de Ricardo. La balance des paiements : Balance des paiements : état comptable qui retrace l’ensemble des transactions commerciales et financières entre agents résidents d’un pays et les non résidents sur une période donnée ( flux) Elle enregistre ainsi les flux de biens et de services qu’un

et l’Europe (3/4 des ventes) Perte de compétitivité industrielle cause de disparition de l’excédent courant Fragilité du système bancaire Démographie peu porteuse APPRECIATION DU RISQUE Une économie marquée par le contexte international peu dynamique L’économie belge, avec ses exportations représentant 85% de son PIB et majoritairement orientées vers les marchés proches, est très liée à l’évolution du commerce international et à la conjoncture européenne. L’année 2012 lui a donc été défavorable

ce d’autant plus en période de crise ? I. L’évolution de commerce extérieur français depuis 1992 Notion balance commerciales uniquement les échanges de biens matériels et de marchandises ≠balance des paiements courants (balance commerciale + balance de services) ≠balance des paiements (balance commerciale + balance de services+échanges de capitaux) ≠balances des invisibles (balances des services et transfert de capitaux A. L’excédent retrouvé 1992-1999 Les importations pèsent moins lourd en