Dynastie Xia

du Jardin des Pêchers". Sous la dynastie d'origine Mongole, les Yuan (1279–1368) de nouvelles formes comme le zaju (zájù, littéralement : saynètes diverses) dont le jeu se fonde surtout sur des thèmes rythmiques et introduit dans l'opéra la nouvelle figure du Dan féminin, du Sheng ) masculin, du Hua le visage peint et du Chou() le clown. Mais si jusqu'aux Song les acteurs ne s'exprimaient sur scène que dans la langue figée des classiques chinois, sous la Dynastie Yuan les "disciples du jardin des

L’origami est un art originaire de l'un des plus anciens arts populaires, au VIe siècle, en Chine. Il y est appelé zhézhǐ , et daterait de la dynastie des Han de l'Ouest (-202 — 9) et aurait été amené au Japon par des moines via Koguryŏ (pays recouvrant les actuelles Corée) par des moines bouddhistes, il fait partie des arts du papier, où l'on peut également noter le jiǎnzhǐ (papier découpé), terme qui regroupe les techniques de pliage de papier et de papier découpé, mais où le découpage prédomine

début de la dynastie des Shih Un groupe de moins bouddhistes dirigé par Sramana, arrivèrent, avec eux, grand nombre de soutras, à la capitale de la Dynastie des Qin dont l’empereur Qin Shihuangdi ne leur accorda pas d’avis favorable et les jeta en prison. Les prisonniers moines furent libérés le soir même par un homme en or, grand de 16 lieux. La version apparut pour la première fois en 597 dans un ouvrage intitulé Lidai sonbao ji. Version 2  L’empereur Ming (58-75) de la dynastie Han aurait rêvé

inscriptions sur bronze, unifiée par Li Si au IIIe siècle avant notre ère. Recueil de frottis d’inscriptions sur bronze VIe siècle av. J.-C. Paris, BnF, Manuscrits orientaux Elle reste utilisée pour la gravure des sceaux. Collection de sceaux des dynasties Qin et des Han par Cheng Conglong Shiyizhai, 1738. Paris, BnF, Manuscrits orientaux Les calligraphes pratiquent aussi au pinceau cette écriture harmonieuse au tracé net et régulier. L'ÉCRITURE DES SCRIBES C'est celle des anciens manuscrits

territoire du siam occupé par les birmans, période pendant laquelle ils entretiennent des relations avec l’occident, notamment la France. * 1782 : couronnement de RAMA 1er à Bangkok et fonde la nouvelle capitale du Siam, Bangkok. Il fonde la dynastie CHAKRI toujours aux pouvoirs aujourd’hui. A cette période le Siam domine en grande partie le Cambodge, le Laos et la Malaisie. * 1893 : Le Siam retire ses frontières au profit de l’Indochine française et de la Malaisie * 1932 : Coup d’état

|   |   |   |   |   | | Le développement du Confucianisme. |   |   |   |   |   | Vers 371 et jusque 289 avant J-C, le philosophe Mengzi, dit Mencius, se penche sur les pensées confucianistes et y ajoute une dimension mystique. Pendant la dynastie des Han (206 avant J-C - 220 après J-C), le confucianisme est devenu la philosophie officielle de l'Etat. Il se transforme en une religion fondée sur une sorte de culte du héros et des ancêtres. |   |   |   |   | | En chinois, le confucianisme

apporter une aide précieuse, en concrétisant et approfondissant la « périodisation », aussi bien en histoire générale que pour chaque peuple en particulier.[2] Le système féodal semble apparaître en Chine avec la dynastie Zhou, et dès le début des Zhou Occidentaux. Cette dynastie, la plus longue de l'Empire chinois, durera du Xème siècle avant notre ère jusqu'au 3ème siècle avant notre ère, et se distingue en deux sous-partie importantes: les Zhou occidentaux et les Zhou orientaux. Les Zhou vinrent

siècle, il est mort vers 650. On considère quelquefois Songtsen Gampo comme l’un des grands conquérants au même titre qu’Alexandre, César, Gengis Khan ou Tamerlan. Il eu plusieurs épouses dont la princesse Wencheng, nièce de l’empereur de Chine (dynastie Tang). La république Populaire exagère largement en considèrant ce mariage comme le premier élément de la vassalité du Tibet. En fait, Songtsen Gampo à mené une politique matrimoniale active dont Wenchen ne fut qu’un des éléments. Songtsen Gampo

il est de bon ton d’en fustiger les excès, sinon d’en exiger la suppression. Les historiens restent étonnés par ce système chinois de gouvernement fondé sur la seule qualification pour un poste, dont l’existence est attestée dès les premières dynasties et qui n’a pris fin qu’en 1911. Car, même si la description idéale du comportement du lettré n’a pas toujours correspondu à la réalité, il faut bien constater que le système s’est perpétué pendant deux millénaires et essayer d’expliquer pourquoi

1959. La superficie du Tibet varie de 1 221 600 km2 pour la Région autonome du Tibet (qui correspond à peu près au Tibet indépendant de facto entre 1912 et 1950, mais est plus réduite que celle du territoire administré par les dalaï-lamas sous la dynastie Qing)[3] à 2 500 000 km2 pour le « Tibet historique »[4] ou « Grand Tibet »[5]. La population de la Région autonome comptait 2 616 000 habitants en 2000[6]. La capitale historique qui, traditionnellement, concentre l'autorité religieuse et temporelle