Déclaration Des Droits De La Femme

société et leur donner une place légitime en tant que citoyenne. Elle écrit La Déclaration des droits de la femme et de la citoyenne (1791) pour pallier les manquements de La Déclaration des droits de l’homme et du citoyen (1789).La déclaration d’Olympe de Gouges

l’égalité homme-femme. La Déclaration des Droits des Femmes et de la Citoyenne

vécut que 45 ans. Et fut mariée à l'âge de dix-sept et demie à un certain Louis-Yves Aubry qui lui, avait une trentaine d'années. Il mourra en lui laissant un fils né un an plutôt. Étant une femme de lettres, Olympe ne se remaria pas après cela; car à cette époque-ci la loi française interdisait qu'une femme puisse publier des ouvrages sans l'accord de leur époux. Elle conserva donc sa liberté de publication ainsi. Rien ne l'a retenant dans sa ville natale, elle décida de partir rejoindre sa sœur

Héroïne révolutionnaire considérée comme l’une des premières féministes françaises, Olympe de Gouges s’est distinguée par son célèbre texte intitulé Déclaration des droits de la femme et de la citoyenne. Elle y prônait ardemment l’émancipation féminine.  Née le 7 mai 1748, à Montauban, sous le nom de Marie Gouze, elle épouse un certain Louis Aubry, en 1765, mais se retrouve veuve peu de temps après. Elle choisit alors de changer son nom pour celui d’Olympe de Gouges. Avide de liberté et de célébrité

Dissertation : Déclaration des droits des femmes et de la citoyenne , Olympe de Gouges. Note : « Homme, es-tu capable d’être juste ? » C’est la question que pose Olympe de Gouges à travers son pastiche critique de la Déclaration des droits des Hommes et du citoyen . Au lendemain de la prise de la bastille, Louis XVI se voit contraint de signer la Déclaration des droits des hommes et du citoyen

avril 1803 à Paris, orpheline a l’âge de quatre ans, est devenue une femme de lettres féministe et pionnière de la lutte ouvrière. A dix-sept ans, elle est forcée d’épouser un homme violent mais arrive à s’enfuir du domicile conjugale avec ses enfants et mène une vie de fugitive. Flora Tristan va étudier la condition de la femme au 19ème siècle durant ses voyages et écrira un ouvrage : « L’émancipation de la femme ou le testament de la paria » publié en 1845 à titre

des législations royales), de grands pans du droit (notamment le droit privée) étaient laissés au soin des normes locales et régionales ce qui ne permettait pas de correctement situer le droit applicable. Il y avait un vœu d’uniformiser le droit civil. Le deuxième inconvénient soulevé était la complexité du droit en vigueur. La législation semblait bien trop compliquée à comprendre et les cahiers de doléances soulevaient le vœu de simplifier le droit. Le troisième inconvénient était le manque de

Éléments de correctionDissertation sur Olympe de Gouges(Proposition d’introduction) La Déclaration des droits de la femme et de la citoyenne d’Olympe de Gouges, composée en 1791, a été redécouverte tardivement, dans les années 1980, par l’écrivaine féministe Benoîte Groult. Celle-ci souhaitait s’appuyer sur la vision de l’oratrice du XVIIIème siècle pour enrichir la documentation qu’elle était en train de rassembler sur l’émancipation des femmes. Or

Gouges Si tout au long de notre histoire, on trouve certainement des exemples de femmes qui contestent le régime patriarcal, Olympe de Gouges et souvent présentée comme la première féministe, celle qui en initie le mouvement. La Déclaration des Droits de la Femme et de la Citoyenne, qu'elle rédige en septembre 1791, peut être vu comme un acte fondateur. Sa vie à Montauban : Marie Gouze était le vrai nom d'Olympe de Gouges. Cette dernière naît à Montauban dans une famille modeste (père

2) Un détournement accusateur et polémique· Dans ce 2ème mouvement, ODG explique la raison qui l’a amenée à la rédaction de cette déclaration.· Le participe présent « considérant que » introduit le contexte d’écriture et présente les inégalités entre les hommes et les femmes : « l’ignorance, l’oubli ou le mépris des droits de la femme » qui sont responsables des « malheurs publics » et de « la corruption des gouvernements ».· En remplaçant l’énumération « l’ignorance, l’oubli ou