Décolonisation Au Sénégal

résolution adoptée en 1964 au Caire reconnaît l'intangibilité des frontières héritées de la colonisation, de façon à prévenir les conflits entre Etats membres. L'OUA est conçue au départ comme une organisation politique (devant oeuvrer surtout à la décolonisation complète du continent) et pluraliste (en respectant la souveraineté de chaque Etat). La charte de l'OUA (article 2, paragraphe 1) prévoit aussi la coordination et l'harmonisation des politiques économiques des Etats africains dans les domaines

mouvement centripète, les NTIC favorisent un mouvement centrifuge : les front offices des pays riches concentrent un personnel à haute valeur ajoutée et hauts salaires et les back offices (centres d’appels par exemple) sont délocalisables au Maroc ou Sénégal. Le schéma braudélien est celui d’un cœur polyvalent et prospère et des régions périphériques hyper spécialisées et pauvres. Ce chapitre se conclut à l’encontre de la théorie ricardienne : un pays ne pas dépendre uniquement de la division internationale

431410.html - une tradition de circulation liée aux transports de caravanes au Moyen âge marginalisée par le développement du commerce maritime et par la colonisation. - Des frontières difficiles à surveiller par des Etats jeunes issus de la décolonisation qui ont conscience de l’intérêt économique, démographique, politique et stratégique de ce territoire et qui investissent en particulier dans l’amélioration des routes. Des frontières très étendues, dans des régions particulièrement peu peuplées

d'être exhaustive va s'appesantir sur l'Afrique subsaharienne pour aborder la question des conflits. De l'est à l'Ouest, le continent africain est miné par le phénomène de la conflictualité. A l'exception du Cap Vert et dans une moindre mesure du Sénégal, rares sont les pays de l'Afrique subsaharienne qui n'ont pas connu de coup d'Etat, de guerres civiles, d'émeutes et d'autres formes d'instabilités politique et sociale. Par ricochet, l'Afrique de l'ouest, l'Afrique Centrale et l'Afrique de l'Est

Franck, 1978 ; S. Amin, 1970). 6 iii) Brève histoire de la pensée du développement : de l’indépendance à la crise P. HUGON (1991) distingue trois moments représentant chacun un paradigme de l’économie du développement : 1°) Le temps de la décolonisation et de la construction : Etat et développement Il s’agissait alors de forger un corpus scientifique rompant avec la représentation coloniale, voire exotique, de sociétés sans histoire et de peuples aux mentalités archaïques, traditionnelles. Il

(fédéral ou unitaire) Entre 1956 et 1960 l’Egypte et la Syrie se sont « marié » pour donner naissance à un état : la république arabe Unie. Mais cela a duré de 28 à 60 et a immédiatement disparu En 1958 2 colonies françaises d’Afrique noir : le Sénégal et le Mali ont fait un seul état : la fédération du MALI mais a duré 2 ans Le 12 janvier 1974 : intervient l’accord de Djerba, accord signé entre la Tunisie et la Lybie de Kadhafi, la république arabe islamique mais a duré 2 jours quand le président

...................................32   2.2-­‐  Désarticulation,  dualisme,  économie  informelle  et  sous-­‐emploi .............................................34   a-­‐  Les  conséquences  de  la  décolonisation ................................................................................................................34   b-­‐  Le  dualisme.................................................................................................

l’impérialisme colonial 13 1.1.1 Les pratiques théâtrales comme mode d’apprentissage 13 1.1.2 Les prémisses d’un nouveau théâtre africain 14 1.1.3 Le théâtre africain francophone sous contrôle 15 .1.1.4 La décolonisation libère les peuples et l’art théâtral 17 1.2 L’émancipation du théâtre africain dans les années 1960 18 1.2.1 La revalorisation de l’identité africaine à travers le théâtre historique 19 1.2.2 Les travers des sociétés

puissent simplement vivre ». 7. Peut-être serait-il plus juste de parler « des Suds » et « des Nords » pour illustrer la pluralité de cet ensemble de pays ? 8. Des enquêtes menées en 1994 dans des quartiers populaires de Dakar – pourtant capitale du Sénégal – faisaient état d’une consommation moyenne d’eau de 14 litres par personne et par jour – boisson, toilette, vaisselle et lessive compris – quand l’OMS situe ses normes minimales à une consommation moyenne de 250 l/pers. et par jour et que cette

amoureux et rudoyeur d’Afrique est ici reconstruit. Partout où il passe, au Sénégal comme en Guinée, pendant vingtcinq ans, commandant à poigne mais réalisateur infatigable, il organise, invente et construit. Déconcertant et sulfureux parfois, il imagine le chemin de fer, la culture attelée, les fermes-écoles, l’éducation féminine et l’alphabétisation, la poste rurale et les jardins d’essai. A Kaolack, au Sénégal, un pont (deuxième du nom) témoigne toujours, 115 ans après, de son œuvre et de