Défaillance Des Entreprises Et Le Scoring

la plus appropriée pour la construction du système en question ainsi que les différentes propositions permettant une meilleure appréciation du risque de défaillance. 2      L A   N O T A T I O N   I N T E R N E           Chapitre préliminaire  LE RISQUE DE CREDIT  Une part importante des grosses défaillances bancaires est due, d’une façon ou d’une autre, à une concentration du risque de crédit. En effet, ce dernier représente plus de 70% des pertes enregistrées

les prêts sont encadrés, souvent aidés et les 6 entreprises auprès desquelles on les souscrits sont publiques. Pourtant, au cours des années 1980, la législation se fait de moins en moins contraignante : la loi bancaire de 1984 libéralisant leurs activités et la fin de l’encadrement du crédit en 1985-1986 vont radicalement transformer les politiques des banques vis-à-vis des particuliers. En effet, la demande de crédit des entreprises stagne au milieu des années 80, et les banques de dépôts

crédit facile qu’ils engendrent sont favorables au développement de « bulles spéculatives » dans le secteur immobilier ou sur le marché des actions. Dans ces conditions, tout événement exogene au secteur bancaire — comme la faillite d’une grande entreprise, un relèvement des taux d’intérêt par la Banque centrale plus élevé que prévu pour défendre un taux de change ou pour contenir la hausse des prix provoque une prise de conscience par toutes les banques siinultanément du risque de système : soit

Introduction Première partie : des crédits oui, mais sans risques si c’est possible !!! Chapitre 1 : typologie de crédits bancaire * les crédits accordés aux particuliers * les crédits accordés aux entreprises Chapitre 2 : les risques inhérents à ces crédits * risque de non-remboursement * risque d’immobilisation Deuxième partie : Analyse et gestion des risques de crédits Chapitre 1 : l’information permet d’évaluer les risques * asymétrie d’informations entre la banque

historique : La grande crise des années 30 il y a eu une amplification de la crise du fait des activités spéculatives des banques. Les banques US faisaient toutes les activités, les activités spéculatives ont mal tourné et elles ont entrainé les entreprises avec elles. La réaction aux US a été de mettre en place une forte réglementation visant à séparer strictement les activités bancaires de détails, des activités bancaires dites de gros et de marché qui sont plus risquées. Quand on dit banque de

évaluation des risques FONDAMENTAUX DU MANAGEMENT DES RISQUES > RÉFÉRENTIELS DU MANAGEMENT DES RISQUES Le référentiel COSO définit le management g des risques q comme un système y intégré g concernant l’ensemble des processus de l’organisation « ERM – Entreprise Risk Management ». Il existe d’autres référentiels, mais tous convergent vers la même logique. « ERM »- COSO Cadre de référence Module : Contrôle interne Norme ISO 31000 Federation F d ti off European E Risk Ri k Management Associations Chapitre

que la mesure des risques. Cette dernière évoque les méthodes d’évaluation instaurées par le service « risk management » à travers la notation interne et la méthode de scoring. Le résultat de ce processus définit le degré des risques afin de valider les demandes de crédit présentées par les entreprises, professionnels et particuliers. La surveillance des procédures et des conditions d’octroi de crédit, est la mission principale du contrôle interne au sein d’un établissement

des opérations). Vocabulaire d'une opération de titrisation [modifier] • Cédant : entreprise qui cède les créances (ou autres actifs) au véhicule de titrisation. • Critères d'éligibilité : liste des conditions requises pour qu'une créance détenue par le cédant puisse être titrisée. • Débiteur : entreprise ou personne qui doit payer une créance titrisée. • Dépositaire : entreprise responsable de la conservation des preuves des créances titrisées (identité des créances, caractéristiques

Milliard ( en 2011 on passe à 5 Milliards ) Suite • Elle dispose d’un siège social. Elle ouvre des agences à sa guise. La clientèle Les principales catégories sont les suivantes :  Particuliers  Professionnels  Entreprises  Etats et collectivités locales  Entreprises publiques  Les organismes immobiliers ( HLM )  Banques, institutionnels Suite • Les caractéristiques détaillées de ces différents marchés feront l’objet du chapitre suivant : Deux propriétés liées à la clientèle

transparence du système financier est essentielle à cette compréhension, car elle en rend le fonctionnement plus visible et aide à déterminer les risques ; en outre, on repère ainsi plus facilement les problèmes et les besoins éventuels. L’analyse des défaillances du marché peut aussi être d’une grande utilité à cet égard. Une collaboration et une coopération internationales sont nécessaires à l’instauration de la transparence ainsi qu’à un suivi et une analyse efficaces du système financier. 2. Les fonctions