Déflation Britannique Des Années 1920

cette armée est sévèrement contrôlé et réglementé. -L’empire austro-hongrois disparait au profit de deux pays (Autriche, Hongrie) Il y a la signature d’un traité avec l’Autriche traité de st Germain le traité de Trial-lion avec l’Hongrie le 4 juin 1920. Suite à ce démantèlement on assiste à la reconstitution de l’Eur central des pays st crées tel que la Tchécoslovaquie ou la Pologne. Le traité de serbe qui est signé avec la Turquie qui substitue celle-ci à l’empire Ottoman. L’empire Ottoman perd

l’agroalimentaire mais plus tourné vers les technologies et les nouveaux modes de télécommunications. Par ailleurs, nous pouvons noter un développement des gammes économiques et du hard discount. Aussi le marché de l’alimentaire est actuellement en déflation ce qui est un avantage pour les consommateurs. Enfin, on remarque une hausse du prix des matières premières, du coût de l’énergie. On constate donc un effet de ciseau sur les marges en cas de répercussion insuffisante de la hausse des prix des Intrants

France, s’affirmait comme la première puissance mondiale. Conformément au géni britannique, les discutions ne se formaient jamais à partir d’idées abstraites mais à partir de l’expérience vécue par la nation anglaise pendant les années de guerre contre la France. Dans « histoire des doctrines relatives au crédit et à la monnaie depuis John Law jusqu’à nos jours » (1938), Charles Rist écrit que pendant les premières années du 19ème siècle, les doctrines monétaires relatives au crédit on été dominées

L’échec de la gauche, malgré le regroupement électoral de ses forces, conduit les socialistes à une introspection sur leur attitude pendant la guerre et à une interrogation sur le bien-fondé de l’internationalisme. Le congrès de Tours, en décembre 1920, décide à la majorité des trois quarts l’adhésion à l’Internationale communiste ce qui entraîne une scission. La tendance majoritaire, dirigée par Marcel Cachin, conserve le Journal L’Humanité. Les minoritaires déclarent « garder la vieille maison »

* Introduction Courant de pensée théorique, le monétarisme accorde à la monnaie un rôle important dans les mouvements économiques. Tombé pratiquement dans l’oubli devant la poussée keynésienne, le courant monétariste a connu depuis les années 1960 un renouveau certain, dû au développement des tendances inflationnistes, avec des auteurs anglo-saxons et surtout américains (Milton Friedman). Ce courant a redonné vie à l’ancienne théorie quantitative, qui établissait une relation directe entre

Le conservatisme: rejet total ou partiel de la Révolution ou rejet catégorique ou relatif de l'héritage révolutionnaire. Partie I : LES LIBERALISMES Origine du mot « libéralisme »: substantif libéral a enrichi le politique dans les 1eres années de la Restauration (1814) suivi par le mot libéralisme. Le libéralisme = courant d'idée qui tend à l'instauration d'une société politique et éco laissant la part la + large possible aux idées individuelles (préserver les libertés et intérêts que

 L’or devient abondant et donc sa valeur baisse. Or, l’or  sert de monnaie donc les prix montent. L’inflation du XVIe siècle vient de ce qu’on commence à considérer  la monnaie en circulation comme la référence, le numéraire. Mais si l’on choisit  le blé comme numéraire,  on constate une déflation car le prix de l’or baisse.  è Les prix montent à cause de l’afflux des métaux précieux donc il y a une relation entre hausse des prix  et circulation métaux précieux. Jean‐Baptiste Say en 1803 déclare « Le voile monétaire ne fait que masquer la réalité des 

très forte que la GB. Cette sortie d’or aura des conséquences sur le marché monétaire Britannique et la banque de GB va relever son taux d’escompte (taux selon les banques prêtent sur le très court terme), ce qui va pénaliser l’activité Britannique. Donc le taux de réescompte (de la banque centrale aux autres banques) va aussi augmenter. Les USA sont donc à l’origine du ralentissement de l’activité Britannique mais en subiront les conséquences également et ils sont à leur tour touchés par la crise

attention particulière de tous les économistes et en particulier des théoriciens des crises financières. Pourtant, le contraste est très remarquable entre d'une part l'approche majoritaire à propos des facteurs déclenchant les crises financières dans les années trente et la vision de beaucoup d'économistes aujourd'hui, d'autres parts. Dans la crise de 1929, le marché constituait un problème et l'intervention des gouvernements était la solution; aujourd'hui un grand nombre d'économistes admettent que les

développés - en multipliant les besoins en produits divers - part des pays non industrialisés dans les exportations mondiales : - 28 % en 1937 - 35 % en 1948 - principaux bénéficiaires : - dominions britanniques - Mexique, Brésil, Argentine - mais leur situation reste le plus souvent précaire : - en Amérique latine : - prépondérance des activités agricoles - situation financière dominée par le capital