Démocratie En Afrique Mythe Ou Réalité

échelles : nationale, locale, régionale (groupe de pays), mondiale. But : comparer ce qui se fait dans différents endroits prendre conscience de la diversité des phénomènes politiques Comparer les régimes politiques : approche en faveur de la démocratie minoritaire. On peut comparer les civilisations culturelles, les armées (rapports avec l'Etat). Les mots n'ont pas tous le même sens. Pour les Français, l'Etat est cette figure centrale incarnée qu'est le Président. L'Allemagne est un Etat fédéral

riches). A quoi sert la théorie ? Construire un ensemble de connaissances de façon organisée, pour donner sens à des principes généraux d’action dans un domaine de la réalité. Importance de la notion de système ou d’organisation permet de se détacher du sens commun, car il existe d’autre manière de donner sens à la réalité. De plus, une théorie scientifique doit définir explicitement ses domaines d’étude. D’où 3 objectifs de la théorie : Définir un objet Identifier des acteurs Donner sens à des

Histoire de l’idée européenne Tout parti politique est intéressé à l’idée européenne. Il y a des antécédents à l’UE. Les valeurs grecques sont devenues des valeurs européennes : liberté et démocratie. Traiter de l’idée européenne est un préalable éclairant pour l’histoire de la construction européenne. Certaines idées sont extrêmement anciennes. 16ième siècle les professeurs de droit de l’université de Salamanque posent l’idée d’une libre circulation des biens et des personnes en Europe. Il faut

conduit à se poser des questions : qui suis-je, quelle est mon identité culturelle ? On peut donner l’exemple de l’immigration et de la présence de minorités. On a une fragmentation des sociétés. A côté de la société internationale, il existe en réalité une multitude de sociétés internationales partielles. Au plan universel, on peut observer que la société est instituée par l’ONU. On a l’aspect universel avec l’ONU mais aussi des sociétés internationales partielles. Si on vit dans une société interne

Le Monde.fr : Imprimez un élément http://abonnes.lemonde.fr/web/imprimer_element/0,40-0@2-3232,50-... Débat L'Europe : mythe, histoire, réalité, par Eric Hobsbawm LE MONDE | 24.09.08 | 13h51 • Mis à jour le 24.09.08 | 13h51 omme le Dieu de la Bible au moment de la création, le cartographe est obligé de donner des noms à ce qu'il décrit : la toponymie, construction humaine, est par conséquent chargée de motivations humaines. Pourquoi classer comme "continent" l'ensemble de péninsules

voit l'effondrement en quelques semaines de la Belgique et de la France devant l'Allemagne Hitlérienne et la rapidité avec laquelle les japonais se sont emparés de tout le sud est asiatique après Pearl Harbour (7décembre 1941) fait disparaître le mythe de la supériorité de la race blanche . - la guerre a entraîné le développement des mouvements nationalistes. Dès 1942 en Inde, Gandhi lance le mot d'ordre " Quit India ", en Algérie Ferhat Abbas lance en février 1943 un Manifeste du peuple algérien ;

les crises économiques du XIXe et XXe siècles créent un sentiment d’insécurité et de malaise, vite traduit en termes d’inquiétudes identitaires. Les minorités religieuses et « raciales » sont alors les coupables tout désignés. Les progrès de la démocratie de masse ne font qu’accélérer la montée de l’antisémitisme politique, instrument efficace de l’embrigadement des foules. En vain, les libéraux allemands tentent de freiner cette vague nationaliste, en montrant que la nation moderne est constituée

grandes célébrations de la négritude : Cahier d’un retour au pays natal d’Aimé Césaire et Ce que l’homme noir apporte de Léopold Sédar Senghor, œuvres toutes deux publiées en 1939 [3] Aimé Césaire, ibid. ; Léopold Sédar Senghor, « Ce que... [3] . Le mythe d’un retour inévitable à la source d’une identité jusqu’alors cachée, ou niée, en dit certes beaucoup sur son temps (et plus que sur cette identité), mais plus intéressant encore est d’étudier la multiplicité et les conflits de sa genèse, et tout ce

culturelles, mais s'avère incapable de les référer à une norme universelle. Or, le sens de la relativité des cultures et de leur égale valeur ne doit pas conduire à un relativisme intégral, ni à l'abandon de valeurs universelles, que sont aujourd'hui la démocratie politique, les libertés démocratiques, les droits de l'homme. Les civilisations, de fait, n'échappent pas à l'histoire universelle, à une histoire toujours plus mondiale. Même celles qui croient trouver momentanément refuge dans la tradition (culturelle

« double face » où la volonté d'intégration et celle de coopération s'entrechoquent». Ceci s'explique aussi par le fait que, tout comme la défunte O.U.A., la création de l'Union Africaine n'a pas échappé à la vision partagée entre les défenseurs d'une Afrique unie et forte conformément à la thèse unitariste15(*) défendue par Kwamé NKRUMAH et les progressistes qui ont opté pour la nécessité de bâtir un partenariat entre les gouvernements et toutes les couches de la société civile afin de renforcer la solidarité