Dénonciation Abus De Pouvoir En Littérature

différents protecteurs (une fausse-couche de l’épouse de Fouquet) ou de la sienne (une étourderie, une crise de rhumatisme)  [footnoteRef:1] [1: Le poète témoin de son temps : La Fontaine écrivain de circonstance, Laureen Falcucci, : Dans Littératures classiques 2012/2 (N° 78), pages 257 à 274] Tout cela montre que si La fontaine est encore l'un des écrivains les plus vivants parmi les gens et que son œuvre est encore enseignée dans les écoles et on peut dire que son œuvre n'a pas

présente l'idée qu'il existe 3 pouvoirs et qu'il est dangereux de les confier tous les 3 à une seule et même personne. Les trois pouvoirs sont : le pouvoir législatif, c'est-à-dire écrire les lois. le pouvoir exécutif, c'est-à-dire gouverner. le pouvoir judiciaire, c'est-à-dire faire respecter la loi | François Marie Arouet dit Voltaire 1694 / 1778 | Lui, il se bât pour que chacun ait le droit de penser et croire ce qu'il veut et de pouvoir l'exprimer sans risquer d'être mis

mœurs quotidiennes. Le cas de la comédie est certes plus connu ; l’exemple de Corneille dans les années 1630 peut ainsi être cité, ou celui de Molière vers 1660-1670. On peut donc parler en plusieurs sens d’un « tropisme moral généralisé » dans la littérature du XVIIe siècle pour reprendre l’expression de Bérangère Parmentier. L’intérêt toujours plus important pour les mœurs, et par ce fait la condition de l’homme psychologique et social, s’appuie sur un principe moral, c’est-à-dire sur le « refus de

un monde rationnel, ordonné et compréhensible, exigeant de l’homme l’établissement d’une connaissance également rationnelle et organisée. Cela commence par l’idée que les lois gouvernent, aussi bien les cieux, que les affaires humaines et que le pouvoir du Prince émane de la loi et non l’inverse. La conception de la loi en tant que contrat social théorisée par Jean-Jacques Rousseau comme relation réciproque entre les hommes, plutôt qu’entre les familles ou des groupes, devint de plus en plus remarquable

culturelle et linguistique à l'ancien pouvoir colonial . En Algérie le fiévreux débat est-il en voie de s'apaiser? Il nous est difficile de l'affirmer. Il n'en est pas toujours des grands sujets de polémique comme de ces frontières dont parlait Louise Michel, lignes de craie sur le sol que nos peurs sacralisent, et qu'il suffirait de franchir pour les effacer. A l'évidence, en notre affaire, on ne peut escamoter le problème des destinataires de cette littérature algérienne de langue française, problème

Parallèlement, il est introduit dans les milieux mondains par son parrain, l'abbé de Châteauneuf, qui le présente même à la célèbre courtisane Ninon de Lenclos. Ainsi, dès l'âge de vingt ans, Voltaire fréquente les salons parisiens et s'adonne à une littérature mondaine, sinon légère. Son insolence et son indépendance d'esprit, que l'on pourrait imputer à une certaine forme d'inconscience, lui valent d'être emprisonné onze mois à la Bastille pour avoir osé écrire des libelles contre le Régent. Dès sa

princes tentent de renforcer le contrôle sur la vie religieuse de leurs populations. Le Pape ayant délégué aux souverains une « mission catholique », « divine ». Le roi peut nommer ou révoquer les évêques. Dans les Etats protestants c’est aussi le pouvoir temporel qui nomme les représentant de l’Eglise. Il n’y a pas d’Etat multiconfessionnel. En France de 1598 à 1685, cohabitent deux confessions, le catholicisme et le calvinisme. Mais il n’y a jamais eu une réelle égalité entre les deux confessions

dont parlait Stendhal. Le souffle du soupçon impose une nouvelle ère selon Nathalie Sarraute, laquelle commence à écrire Tropismes en 1932 précisément. 5 R. Martin du Gard, auteur des Thibault qui parurent de 1922 à 1940, reçut le prix Nobel de Littérature en 1937. Jules Romains6. Mais Romains et Martin du Gard partagent encore un humanisme des Lumières et la foi en la puissance formatrice de la fiction, alors que le roman-cri auquel s’apparente Voyage au bout de la nuit est un roman critique: la

Marchez à votre tour dans Paris, comme Aragon ; regardez Paris, comme Perec. Comme le dit le sous-titre du beau livre Eric Hazan sur L’Invention de Paris (2002), «  il n’y a pas de pas perdus ». La littérature, en ce sens, se rapproche de l’histoire, en ce qu’elle s’efforce de rendre compte d’une réalité qui échappe, celle de la ville, surtout quand elle n’est plus, comme le Paris du XIXe siècle qui nous intéresse aujourd’hui. C’est

diriger ce mémoire, mais aussi pour ses précieux conseils, son soutien, sa disponibilité et son amabilité tout au long de ce travail. Merci également à M. Lançon, professeur à l’université de Stendhal, qui a su nous transmettre sa passion pour les littératures francophones. Enfin, je tiens à exprimer ma profonde gratitude à tous ceux, amis et famille, qui dumas-00913169, version 1 - 20 Jan 2014 m’ont toujours soutenue. dumas-00913169, version 1 - 20 Jan 2014 Table des matières I Une épopée