Dénouement La Machine Infernale

personnes - Progression des sentiments - intensité du désir - Effet de zoom sur le magasin (son intérieur) - Personnification des étoffes II/ Le magasin, machine infernale qui absorbe les humains - Bonheur des dames = immense machine à vapeur - Champ lexical de la chaleur - Brutalité de la machine - Personnification de la machine - Tous ces nouveaux changements (industriels) sont envoûtants mais aussi inquiétants Conclusion Dans ce passage Zola a voulu montrer à travers le bonheur des

consacrée par la tradition ? Vous répondrez à cette question en vous référant à La Guerre de Troie n’aura pas lieu de J. Giraudoux. Rappel de quelques réécritures de mythes antiques dans le théâtre français du XXème siècle : • Cocteau, La Machine infernale = 1934 (mythe d’Œdipe) • Giraudoux, Electre = 1937 ; Sartre, Les Mouches = 1943 (histoire d’Oreste, frère d’Electre, meurtrier de sa mère Clytemnestre et de son amant Egisthe) • Anouilh, Antigone = 1944 Pbtique : pourquoi, en 1935, s’inspirer

pour tous les personnages de développer des stratégies), concentrée (esquisse des scènes 2 et 4, acte I, et de la scène 2, acte II) et elle préfigure le dénouement (malédiction d’Oreste). Y apparaît la singularité du tragique racinien : la fatalité extérieure des tragédies antiques est remplacée par le rôle des passions. La « machine infernale » (expression de jean Cocteau pour désigner la fatalité tragique) est enclenchée et on peut entendre dans cette première scène l'annonce de sa fatale issue

pour avaler le monde. » Mythe de la catastrophe naturelle avec les verbes « envahir », « se répandre », « inonder », termes à valeur symbolique, faisant référence à la prophétie maléfique de l’inondation, de la dévastation par l’alcool avec comme dénouement la honte et la mort. L’Assommoir est le lieu emblématique, symbolique du mal, qui amène l’ouvrier à l’abêtissement, au sens propre du terme, c'est-à-dire à l’état de bête, de bête sauvage. Bijard est une sorte de loup dangereux, Coupeaux, lors

d’Antigone ». Ainsi, il sert d’intermédiaire entre acteur et spectateur, « nous, vous ». Il devient un spectateur privilégié : l’auteur fait ici une personnification de cette technique dramatique. Contrairement à Sophocle, le prologue annonce déjà le dénouement de la pièce « ce titre princier lui donnait simplement le droit de mourir ». ; il est à la fois un personnage et une fonction : il est omniscient, il sait tout « Elle pense qu’elle va mourir ». Jean Anouilh fait de cette partie un prologue original

modifications dans la forme du texte. En effet, les choeurs par exemple, qui tenaient une place importante dans le théâtre antique, ont été supprimé au XVIIè La première liberté quʼa prit Jean Cocteau dans sa réécriture du mythe dʼOepide, La Machine Infernale, est le choix du titre, qui fait sonner la férocité, la malfaisance et la menace de forces invisibles nées des ténèbres. Cocteau invente également trois actes qui nʼexistaient pas dans la version de Sophocle. Il y ajoute en effet lʼapparition

dramaturgique, la tragédie commence par une exposition (un prologue dans la tragédie antique), se poursuit par la péripétie autour de laquelle l’action va se nouer (on parle de « nœud tragique ») afin d’aboutir à la « catastrophe », c’est-à-dire au dénouement malheureux, bien qu’il y ait au moins une exception fameuse : Cinna (1639) de Corneille. Quant au tragique, l’on peut le résumer par le conflit résultant de la confrontation de la liberté humaine au poids de la fatalité. C’est par ce conflit que

Cristina qui travaille chez Pedro Vidal. Ensemble, ils aident secrètement Pedro à améliorer le roman auquel il travaille depuis si longtemps et qui est très mauvais. A force d’épuisement, David tombe sérieusement malade. Il continue de mener un rythme infernal, écrivant un roman par mois et corrigeant celui de Vidal dans son temps libre. Sa maladie s’aggrave ; il est condamné. Renversé par un tramway, il est recueilli par Andreas Corelli qui lui propose de travailler pour lui. Sachant qu’il n’en a plus

l'Impression de s'approprier les paroles des personnages mais réciproquement, on le volt Ici, les mots, les Images, les tournures du parler populaire passent dans le récit et Imprègnent même le style du narrateur (par exemple, dans l'expression "machine à soûler" qui sert à amorcer les propos de Mes-Bottes). Cette "polyphonie" est la grande Innovation stylistique de Zola dans L'Assommoir. 2) Les deux images, "rire de poulie mal graissée" et "fichu grelot" ont en commun d'évoquer des objets métalliques

passions : extraordinaire extension aussi, les « mystères » prennent la place des jeux liturgiques (rattachés à un seul passage des Saintes Ecritures). Il s’agit désormais de représenter l’histoire entière de la chute et du salut de l’homme (immenses machines, participation de centaines de figurants). Les épisodes les plus poignants et intéressants : ceux de la Passion du Christ. Toute la communauté participait à ce genre de « représentations » (petites scènes bouffonnes à l’intérieur de la scène liturgique :