Dénouement Le Parfum

l’ascension de son esprit vers le ciel. Ce mouvement lui permettra de déjouer les critiques qu’il subit et de trouver le bonheur. 4) Correspondances Baudelaire évoque la sensibilité du poète qui est capable d’interagir avec la Nature en reconnaissant les parfums, et les sons. Il décrit la richesse de la Nature. 5) J’aime le souvenir de ces époques nues L’auteur peint un portrait dépréciatif de l’Homme et de la femme. Il admire cependant la jeunesse. 6) Les Phares Baudelaire rend hommage à plusieurs artistes

sentir son corps et son parfum. L’ouïe pour écouter leur belle voix. Et la vue, pour pouvoir admirer la muse.7- En effet, nous pouvons dire que certaines muses sont des «  Fleures du mal », des belles personnes mais qui apportent du mal. Nous ne pouvons en revanche pas affirmer qu’elles sont toutes mauvaise car certaines apportent du bon, avec comme exemple dans « une charogne », oui la muse est une fleure du mal, elle est alors comparées a de la pourriture. Tendit que dans « Parfum exotique » les muses

Dort ; il est étendu dans l'herbe, sous la nue, Pâle dans son lit vert où la lumière pleut. Les pieds dans les glaïeuls, il dort. Souriant comme Sourirait un enfant malade, il fait un somme : Nature, berce-le chaudement : il a froid. Les parfums ne font pas frissonner sa narine ; Il dort dans le soleil, la main sur sa poitrine Tranquille. Il a deux trous rouges au côté droit. Champ lexical de la nature Lexique évoquant la mort Arthur Rimbaud    Arthur Rimbaud (1854-1891) est un

cresson bleu, Dort ; il est étendu dans l'herbe, sous la nue, Pâle dans son lit vert où la lumière pleut. Les pieds dans les glaïeuls, il dort. Souriant comme Sourirait un enfant malade, il fait un somme : Nature, berce-le chaudement : il a froid. Les parfums ne font pas frissonner sa narine ; Il dort dans le soleil, la main sur sa poitrine Tranquille. Il a deux trous rouges au côté droit. Arthur Rimbaud Annonce des axes Après avoir montré comment le poète nous dépeint la nature puis l'homme, nous

allègrement de l’amoureux naïf comme celui du vieillard fourbe ou du valet manipulateur. Le public rit de bon cœur face aux malheurs qui finissent par frapper ces piètres héros, apparus au IIème siècle avant notre ère. L’extrait présenté ici est le dénouement d’une comédie de Plaute nommée Casina, qui illustre bien ces types de personnages caractéristiques des comédies antiques. En effet, l’action nous présente un vieillard (type du « senex »), Lysidame, amoureux d’une servante prénommée Casina

chante » • Cadre lumineux : « haillons d’argent » ; « mousse de rayons » ; « lumière pleut » (intensité lumineuse.) • Cadre coloré « glailleuls » + vert (« verdure » ; « herbes » ; « lit vert ») + « frais cresson bleu » • Sur le plan olfactif, « parfums » vers 12, impression de bien-être et bonheur. = DECOR IDYLLIQUE De plus, la nature est présentée comme dotée de sentiments : vers 11, celle-ci est personnifiée et décrite de façon maternelle ; « berce-le » II) La description d’un personnage

Passionné de patrimoine, il a occupé des postes administratifs aux Arts et Métiers de Fès, puis à la direction du tourisme à Rabat. Il est mort en mars 2004. Ses œuvres Le Chapelet d’ambre La Maison de servitude Le jardin des sortilèges ou le parfum des légendes Le champ lexical du rêve, le rêve, l'invisible, une féerie, fabuleux, mystères. L’emploi des mots arabes, écrits en italiques : Pour ancrer les faits dans un contexte marocains, et créer par conséquent un effet de réel. La

beaucoup dans le texte. Nous remarquons à travers le texte que tout ce qui a rapport avec la nature est remplis d’énergie et d’amour .Au contraire pour le soldat, tous les verbes utilisés sont des verbes de fatigue et de faiblesse ce qui entame le dénouement. Soldat : bouche ouverte (v5) il est étendu (v7)-Pale dans son lit (v8)- il dort (v9) ne font pas frissonner sa narine (v12) Verbes (action ou état) Verbe d’action, impératif Nature : Chante (v1) Accrochant (v2),

cresson bleu,Dort ; il est étendu dans l'herbe, sous la nue,Pâle dans son lit vert où la lumière pleut.Les pieds dans les glaïeuls, il dort. Souriant commeSourirait un enfant malade, il fait un somme :Nature, berce-le chaudement : il a froid.Les parfums ne font pas frissonner sa narine ;Il dort dans le soleil, la main sur sa poitrine,Tranquille. Il a deux trous rouges au côté droit. 5/ Argumenter ce choix Ce poème m'a beaucoup plu car au départ, on pense que c'est un poème joyeux, on nous parle

« des haillons d’argent » qui est renforcée par la présence du soleil au vers 3 et au vers 13. « la lumière pleut » au vers 8 est une métaphore qui donne une matérialité au soleil. La nature est présente sur presque tous les sens. L’odorat avec les parfums au vers 12, le toucher avec l’impression de fraicheur, « et la nuque baignant dans le frais cresson bleu » au vers 6. L’ouïe avec la rivière qui chante au 1er vers. Et la vue avec une nature très colorée, les glaïeuls, vers 9, et très illuminées avec