Désaffiliation Politique

composent de la coutume (A) et de la jurisprudence (B) . A - La coutume : Elle est > . La coutume constitue une source de droit à condition de ne pas aller à l’encontre de la loi . Le professeur BERNARD CHANTEBOUT (droit constitutionnel et sciences politiques : Amand Colin 1960 page 36 et suivantes ) définit la coutume constitutionnelle comme l’ensemble des usages nés de la pratique de la constitution et considérés comme ayant une force obligatoire . D’après cet auteur la coutume constitutionnelle n’existe

Le concept de puissance Le concept de puissance est-il encore opératoire ? Pour reprendre les termes de Raymond Aron, « peu d’auteurs français ont exalté la politique de puissance à la manière de quelques doctrinaires allemands la Machtpolitik, peu d’auteurs français ont condamné la politique de puissance à la manière dont quelques moralistes américains ont condamné la power politics ». Pourtant, peu de concepts sont aussi couramment employés et aussi équivoques que celui de puissance et il est

grandes notions politiques Leçon 1. L'ÉTAT Le terme État désigne à la fois une société politiquement organisée et le pouvoir qui s’exerce en son sein à partir d’un centre. L’État semble aujourd’hui comme une évidence, à preuve l’ONU accueille aujourd’hui 192 États. Pourtant, l’État n’a pas toujours existé et tout pouvoir politique ne prend pas la forme d’un État. Celui-ci ne s’installe qu’au terme d’un processus historique particulier permettant la constitution d’un espace politique autonome,

telle disparité entre les pays d’aujourd’hui ? Les pays ont généralement des problèmes différents, ces derniers sont souvent d’ordre politique ou économique. Les pays ayant de la misère à se développer à cause de leur gouvernement peuvent être instables, corrompus ou autoritaires, ce qui amène de nombreux problèmes. La plupart empêche la mise en place de politique sociale et programmes visant à aider les citoyens. Plusieurs pays ne peuvent plus ou moins se développer à cause de la dette qu’ils ont

P L A N I- DIMENSIONS DE LA CITOYENNETE : 1) Dimension politique. 2) Dimension sociale. II- LA CITOYENNETE ET LA PARTICIPATION POLITIQUE : • Débats actuels autour de la citoyenneté. INTRODUCTION Le terme de citoyen, dont la révolution française avait fait un usage enthousiaste et parfois excessif, est revenu à la mode depuis quelques années d’une manière insistante, sinon obsédante, et cela dans tous les pays démocratiques. Le plus souvent, il revient à dire simplement « non professionnel

qu’une simple tension entre Etats. Les deux aspects sont abordés ici. Plusieurs éléments sont d’habitude pris en considération : les données géographiques (par exemple les ressources en énergie ou en eau la répartition de la population etc.…), les politiques des Etats (mieux contrôler un territoire, étendre une aire d’influence…), les enjeux (contrôle des ressources, réponse à une attaque, se faire des alliés…) et les moyens mis en œuvre (diplomatie, ingérence, terrorisme…). Peut-être l’étude qui suit

catastrophes naturelles : un enjeu fondamental ? Dans notre reportage nous expliquerons les facteurs et les mécanismes de cette médiatisation discrète d’un côté et colossale de l’autre ; puis nous montrerons qu’elle sert avant tout des intérêts politiques sans pour autant répondre aux attentes des pays touchés et sans pallier les insuffisances des gouvernements locaux.

Présentes lors des catastrophes naturelles, au coeur des conflits meurtriers, les organisations humanitaires travaillent sur tous les points du globe et s'activent auprès des défavorisés au sein même de nos sociétés occidentales. Les enjeux, autant politiques qu'économiques, sont considérables. D'autant que les Etats interviennent de plus en plus sur un terrain occupé par les seules organisations non gouvernementales, et compliquent la donne dans un contexte international fluctuant depuis les attentats

l’Homme et du citoyen. Il a une valeur constitutionnelle et constitue aussi un principe général du droit consacré par le juge administratif. Il implique l’égalité d’accès aux emplois publics, sans discrimination, notamment à raison des opinions politiques des candidats (cf arrêt CE,ass, 28 mai 1954, Vincent), l’égalité de traitement des fonctionnaires d’un même corps ou même occupant le même emploi (cf arrêt Millan) et l’égalité des candidats usagers et usagers des services (cf Sté des Concerts du

subies par les combattants et les civils. Durant ces deux guerres totales qui ont frappé l’Europe, l’Asie, l’Afrique et qui ont également impliqué l’Océanie et l’Amérique de 1914 à 1918 et de 1939 à 1945, toutes les ressources humaines, économiques, politiques et idéologiques furent employées par les belligérants pour remporter la victoire, au mépris des nombreuses pertes occasionnées. Le caractère extrême des brutalités a traumatisé corps et esprits les soumettant à d’inédits affres de violences. Pour