Écaille

-Annexes tégumentaires des vertébrés : -phanères cornées (épidermique) : kératine (imperméable) : poils, ongles, plumes, bec, cornes, écailles. -glandes cutanées (épidermique) : sous la peau, sécrétion du mucus entre autres. -formations sqelletiques (dermique) : Minéralisation de substance fondamentale = exosquelette plus ou moins developpé (carapace, bois, écailles...) 2- Cas de l'ammocète (larve de lamproie) Voir schéma collé dans cours TP EPIDERME : Cellules épidermiques toutes vivantes

dominé la Chine, des environs de 1570 à 1045 av. J.-C. Elle succède à la dynastie Xia et précède celle des Zhou qui la supplante au milieu du XIe siècle av. J.-C. Depuis les années 1930, les trouvailles d'inscriptions oraculaires sur des os et des écailles de tortue à Anyang dans le Henan ont révélé que s'y trouvait alors la dernière capitale des rois Shang, Yin Xu, durant la période allant d'environ 1250 à 1050 av. J.-C. Il est possible que les rois ayant régné à partir d'autres sites durant la période

ciel:C'est un univers immortel. Sans ton regard doux et flamboyant,Je ne sais ni où aller ni comment survivreCar tes yeux me donnent force et raisonMême s'ils m'enivrent. Si la terre s'écroule, si disparaît le soleil,Si la mer s'assèche avec toutes ses écailles,Je saurai refaire l'univers tout entier !Rien que dans tes yeux, je trouverai les clés. Je découvre la vraie vie dans tes yeux :Le goût du paradis et les délices d'être amoureux. Tes yeux sont les plus purs des diamants.J'y perçois tes secrets

pétales des fleurs ou encore dans la façon dont s’enroulent les écailles d’une pomme de pin ou d’un ananas. • La Pomme de Pin La pomme de pin montre clairement les spirales de Fibonacci : 8 vertes dans un sens, 13 rouges dans l'autre sens. 8 et 13 sont deux termes consécutifs de la suite de Fibonacci : 1; 1; 2; 3; 5; 8; 13.  Ses écailles sont alignées selon la spirale de  Fibonacci : on représente les 4 coins des écailles de la pomme de pin par des points. Lorsqu'on relie ces points,

n'est pas, en effet, constitué d'os, mais de cartilages, en partie calcifiés. C'est l'une des caractéristiques qui les distinguent des poissons osseux, ou ostéichtyens. La peau des requins, très résistante, est couverte de petites écailles aiguisées et pointues. Ces écailles « placoïdes » ne grandissent pas pendant la croissance de l'animal. Le requin possède en général cinq fentes branchiales, disposées sur le flanc, derrière la tête. La position latérale de ces fentes (les requins sont dits pleurotrèmes)

poisson Le poisson était gros et blanc Et le pêcheur une jolie et douce jeune fille Les deux ensembles menaient une vie paisible Jusqu'à ce qu'un jour apparaisse un poisson Ce poisson était petit et noir et n'avait pour seul trésor Qu'une petite écaille rouge mais plus étincelante que les rubis, Elle se situait sur son flanc gauche Le petit poisson vit alors l'appât de la pêcheuse Et ne put s'empêcher, Malgré ses connaissances du risque, de se jeter sur l'appât La pêcheuse alors alertée mais

apposée, expéditive donnant alors au portrait une certaine dureté dans le trait comme un caricaturiste croquerait son sujet, son modèle. * Lexique toujours : un clown à l’attirail dépassé et obsolète : « vieux », « mis au rencard », « à l’émail écaillé » Ce portrait dénigre le père car l’ensemble apparaît comme incohérent, chaotique et obsolète. Le clown est donc un bric-à-brac obsolète… et donc honteux pour le fils comme le montre la tournure de la l. 6 : « Faut-il le dire » où l’obligation

certainement pas mental du personnage. On constate ensuite un passage de l’abstrait au concret à l’aide de deux moyens stylistiques : la comparaison et l’ambiguïté du verbe se rendre compte. La croyance, élément abstrait, est comparé à des écailles, élément concret. Ensuite, se rendre compte peut avoir deux sens : comprendre, au sens intellectuel (abstrait) ou encore découvrir par la vue (concret). Le message est clair. Il fait obscur à deux niveaux : dans la tête du narrateur et dans la chambre

suivît la méthode ! Le simple sens commun nous tiendrait lieu de Code ; Il ne faudrait point tant de frais ; Au lieu qu'on nous mange, on nous gruge, On nous mine par des longueurs ; On fait tant, à la fin, que l'huître est pour le juge, Les écailles pour les plaideurs.

sous le sable Une enfance ou je découvre les sensations d’une plage au cœur du Mexique, ou j’y ai vécu pendant 2 ans… Il existe un endroit paradisiaque à Cancun, une plage dont l’eau turquoise et scintillante tel un poisson aux écailles argentées est à perte de vue. Je me souviens du sable blanc et chaud, fin comme la farine se collant à mes orteils, le soleil brillant de mille feux d’une lumière blanche aveuglante et une étendus de palmiers imposants. L’air salin se mêlant aux