Echanges Medievaux Occident Xie Xiiie

QUE SAIS-JE ? Albigeois et cathares FERNAND NIEL Dix-huitième  édition 128e mille   Introduction L’hérésie albigeoise, qui se développa dans le midi de la France aux xiie et xiiie siècles, n’est que la manifestation locale d’un mouvement hétérodoxe beaucoup plus important, le catharisme. Disons, tout de suite, qu’il ne s’agit pas d’une hérésie, du moins dans le sens que l’on donne habituellement à ce terme, mais d’une religion tout à fait différente du christianisme. Albigeois et cathares utilisaient

peuvent être affranchis. Le conseil du Prince, composé de juristes, qui aident l’empereur à prendre ces décisions. A) L’empire romain tardif : le dominat 1. A 453 après JC a) Division de l’empire En Orient, rapport avec les perses difficile, en Occident, le problème vient des germains. La fin du haut-empire a été marquée par une série de guerres civiles. En 284, Dioclétien, empereur, institue un empire collégial. Il se donne un collègue (2 Augustes), chacun s’associe à un César. Ce système a d’abord

qui va des fondations mythiques de Rome en 753 avant notre ère et qui s’achève en 565 de notre ère avec la fin du règne de Justinien. Ce sont des dates arbitraires, on commence l’histoire à Rome et on la finit à Constantinople. On la commence en Occident et on la finit en Orient. C’est pourtant la même histoire. On aurait pu prendre d’autres dates pour la fin de Rome, l’histoire romaine ne s’arrête pas en 565, Rome continue même si la fin de l’empire romain date de 476, avant Justinien, car la fin

attention accrue à l’égard des sociétés européennes traditionnelles (paysannerie notamment) qui semblent s’effacer avec l’industrialisation et l’urbanisation. Ex : Jean-Claude Schmidtt, Le saint Lévrier. Guinefort, guérisseur d’enfants depuis le XIIIe siècle (1979) : analyse la légende et le rite du lévrier guérisseur, du Moyen Âge à l’époque contemporaine. → se fit pour cela à la fois historien, ethnologue, archéologue, pour rencontrer des hommes et des , femmes avides de découvrir leur propre

mettent en place une occupation musulmane qui ne se révèle structurante que dans le sud du pays, directement sous influence andalouse et rechristianisé tardivement (vers 1249). Silves connaît un rayonnement culturel jusqu'au xie siècle et Mertola joue un rôle économique par les échanges maritimes. La population arabo-andalouse reste toutefois limitée en nombre. Son apport essentiel touche à l'irrigation (connaissance des calculs de pente et de débit d'eau) et de l'agriculture : les spécificialités portugaises

être affranchis. Le conseil du Prince, composé de juristes, qui aident l’empereur à prendre ces décisions. * L’empire romain tardif : le dominat A 453 après JC * Division de l’empire En Orient, rapport avec les perses difficile, en Occident, le problème vient des germains. La fin du haut-empire a été marquée par une série de guerres civiles. En 284, Dioclétien, empereur, institue un empire collégial. Il se donne un collègue (2 Augustes), chacun s’associe à un César. Ce système a d’abord

textes publiés, qu'ils aient ou non une dimension esthétique. C'est en ce sens que l'on peut parler par exemple de littérature scientifique. L'expression littérature grise désigne les textes administratifs ou de recherche non publiés servant aux échanges entre professionnels d'une même discipline. Ces sens larges ne sont pas pertinents dans le cadre de la présente rubrique. La littérature, dans son premier sens, est donc un art à part entière. Mais, il est parfois difficile 2 de cerner les limites

textes publiés, qu'ils aient ou non une dimension esthétique. C'est en ce sens que l'on peut parler par exemple de littérature scientifique. L'expression littérature grise désigne les textes administratifs ou de recherche non publiés servant aux échanges entre professionnels d'une même discipline. Ces sens larges ne sont pas pertinents dans le cadre de la présente rubrique. La littérature, dans son premier sens, est donc un art à part entière. Mais, il est parfois difficile 2 de cerner les limites

célèbre, en 1977, en Arabie Saoudite, une princesse royale a été condamnée pour adultère. Il est en ainsi de même pour la peine de mort pour l’apostasie. On dit souvent que l’histoire des peines est celle d’une abolition croissant au motif qu’en occident, sous l’empire d’un mouvement de philanthropie qui émerge au XVIIIe siècle, on a supprimé un très grand nombre de sanctions et de peines jugées cruelles. En France, au XVIIIe siècle, le système pénal était autoritaire, répressif et cruel. Par exemple

Hongrois de Jean Hunyadi contraignirent Mohammed II à lever le siège de Belgrade et comment, juste un an après, Skander-beg sut infliger aux troupes ottomanes une défaite écrasante dans la plaine d’Alessio. Mais ces prouesses lointaines n’émouvaient en Occident ni les princes, ni les nations, ni les Églises. Si Charles VII finissait par autoriser la levée d’une décime sur le clergé français, l’Université de Paris interjetait appel au concile général ; les deniers reçus dans le royaume permirent d’armer