Échocardiographie

corticothérapie est réaugmentée à 0,5 mg/kg par jour et la symptomatologie clinique s’amende, mais les paramètres biologiques restent perturbés (protéine C réactive entre 17 et 20 mg/l). La patiente reste asymptomatique et ne reconsulte pas. Les échocardiographies successives révèlent une aggravation rapide de l’anévrisme (41 mm puis 52 mm) associée à une fuite aortique minime. Une mise à plat avec implantation d’un tube d’Hémashield est réalisée en mars 2001. L’examen microscopique confirme la localisation

complémentaire de l’OMS • • • • • • • Créatininémie et évaluation du DFG Bandelette urinaire réactive (protéinurie, hématurie) Kaliémie (sans garrot) Glycémie à jeun Bilan lipidique (LDL et HDL cholestérol, cholestérol total, triglycérides) ECG Echocardiographie transthoracique (non systématique) – plus sensible pour dépister une HVG. – doit être faite chez tous les patients symptomatiques, en cas de souffle cardiaque et d’anomalie à l’ECG. Bilan du patient hypertendu Evaluation des FRCV • Facteurs

cardiogénique [53]. Monitoring hémodynamique L’échographie est un examen couramment pratiqué dans les unités de réanimation. Au cours de l’EVS, l’utilisation de cette technique aide au diagnostic de l’œdème pulmonaire cardiogénique (échocardiographie) [54] et à l’étude de la fonction diaphragmatique (échographie diaphragmatique) [28]. La méthode de référence pour diagnostiquer une origine cardiaque à l’échec de l’EVS repose sur la mesure de la pression artérielle pulmonaire d’occlusion

bien défini. L'enregistrement de l'électrocardiogramme en parallèle permet d'observer la fréquence cardiaque, la pression artérielle et l'éventuelle apparition de troubles du rythme. L'imagerie médicale L'imagerie médicale (radiographie, échocardiographie, résonance magnétique) permet de connaître la taille du cœur et son mouvement ainsi que le fonctionnement des valves cardiaques et la rapidité du débit sanguin. Toutes ces techniques sont non invasives et indolores. L'exploration électrophysiologique

l’hypertension artérielle pulmonaire chez l’enfant drépanocytaire I. Malades et Méthodes : Etude SAPOTILLE L’étude SAPOTILLE est réalisée dans le but de déterminer la prévalence et l’incidence de l'hypertension artérielle pulmonaire, évaluée par échocardiographie – doppler, dans un groupe de 306 enfants âgés de 8 à 16 ans, SS et SC, ayant un suivi médical homogène en Guadeloupe et en Martinique. L’étude a une durée de 4ans, la durée d’inclusion est de 1an et chaque enfant y participe 3ans. 1) Le test

mesurer l'intervalle QT dont l'allongement acquis (hypokaliémie ou médicament) favorise le passage en torsade de pointe. La recherche et le bilan complet d'une cardiopathie nécessitent la prescription d'un Holter, d'une épreuve d'effort, d'une échocardiographie, et l'avis d'un spécialiste. 3. Les cas particuliers a. Dans la maladie coronarienne Des extrasystoles fréquentes et complexes dans la première année du post-infarctus constituent un signe d'altération

libèrent des substance pyrogènes. Paraclinique : ECG : sus décalage, onde de Pardée. 2 électrocardiogrammes (ECG) par jour et faire un ECG à chaque douleur. Bilan sanguin : enzyme cardiaque (CPK, troponine), ionogramme, NFS, hémostase, rhésus. Echocardiographie. Monitoring permanent Complications Trouble du rythme : extrasystole ventriculaire. Insuffisance cardiaque. Extension de la nécrose : douleur thoracique. Phlébite : douleur, chaleur, œdème, dissociation pouls/température, diminution du ballottement

uniquement chez des enfants, Nadas (3) retrouve une incidence de 0,05%. Tseng rapporte, lui, une incidence de 0,0017 à 0,027 % des naissances vivantes(4). Holley (5) , dans leur étude multicentrique et rétrospective portant sur 14000 échocardiographies fœtales référées et réalisées sur une période 8 ans dans 7 centres a diagnostiqué 19 tumeurs cardiaques fœtales. Leur incidence est donc de 0,14%. Sallee (3) rapporte dans son étude portant sur 17 ans une incidence de 0, 05% mais il

celle-ci, l’enregistrement de 24 heures par la méthode d’Holter. Parfois des explorations électriques intracardiaques sont indispensables. Il faut également faire pratiquer des examens pour rechercher une cause curable (analyses biologiques, échocardiographie, radiologie…). Traitements et prévention : Pour les causes non cardiaques, il faut d'abord traiter la cause et non obligatoirement ralentir le rythme cardiaque par des médicaments. En cas de tachycardie mal tolérée ou invalidante, possibilité

chirurgicale. > Les explorations fonctionnelles respiratoires (spirométrie, dosage des gaz du sang) ; > La scintigraphie pulmonaire étudiant la qualité du tissu pulmonaire respecté par la tumeur ; > Etat cardiovasculaire (électrocardiogramme, échocardiographie et doppler des vaisseaux du cou). 9 Poumon_2009_septBAT.qxd 22/09/09 16:55 Page 10 Comment les traiter ? L’arrêt du tabac est la première étape du traitement. Le traitement d’un cancer du poumon dépend du type histologique de la tumeur