Éclair

pleurs de sa mère, des coups de son père et de la porte qui claqua, le laissant seul face au monde avec sa gourmette... Paris sous la pluie... Il regarde chaque toit, chaque passant affolé par la fureur du ciel, là-bas un éclair, le tonnerre résonne, puis un autre éclair à quelques mètres de lui. Un pigeon tombe au sol, foudroyé. Lateré se retourne, les touriste regardent l'oiseau mort, un homme crie "Latére". Il le regarde, ne comprend pas. Comment cet homme connait-il son nom ? Un agent

la pure amorce de ce chant crépitation du sel , lait de chaux vive Affectations multiples de ces images du métatexte : relevant également de la violence, du sacré ou de la grandeur, elles évoquent un moment précis : un instant d’intensité dans l' éclair. une plage / pages citernes / vaisseaux creux. III. Syntaxe de l'éclair (oxymore : organisation d’un éclat par définition intense et sans durée) Syntaxe est à prendre dans le sens général de système d’écriture. Syntaxe de l'éclair ! ô pur langage

soleils Couchants sur les grèves. Paul VERLAINE (1844-1896)  (Recueil : Poèmes saturniens) L'orbe d'or L'orbe d'or du soleil tombé des cieux sans bornes S'enfonce avec lenteur dans l'immobile mer, Et pour suprême adieu baigne d'un rose éclair Le givre qui pétille à la cime des mornes. En un mélancolique et languissant soupir, Le vent des hauts, le long des ravins emplis d'ombres, Agite doucement les tamariniers sombres Où les oiseaux siffleurs viennent de s'assoupir. Parmi les caféiers

 » cette femme a refait revivre l’amour qui était perdu La disparition A) Une apparition fugitive - Vers 9 « un éclair » a un rapport avec le coup de foudre et l’illumination de la beauté -Vers 9 « la nuit » est liée à la disparition et représente la solitude et la détresse

plus beaux. Usant à l'envi leurs chaleurs dernières, Nos deux coeurs seront deux vastes flambeaux, Qui réfléchiront leurs doubles lumières Dans nos deux esprits, ces miroirs jumeaux. Un soir fait de rose et de bleu mystique, Nous échangerons un éclair unique, Comme un long sanglot, tout chargé d'adieux; Et plus tard un Ange, entr'ouvrant les portes, Viendra ranimer, fidèle et joyeux, Les miroirs ternis et les flammes mortes. Annonce des axes Etude I - Une vision paradoxalement positive

volupté, sensations amoureuses et la présence même de la mort qui amène l'amour à un stade de pureté extrême. Il y a tout d'abord les flammes de l'amour qui les dévorent au point de ne plus former qu'une seule entité, pour ensuite disparaître en un « éclair unique », au coeur d'une nuit non pas sombre et lugubre, mais « rose et bleu(e) », emporté par la mort. ( Clarté ) . * Passion amoureuse : En effet, on retrouve le champ lexical de la sensualité comme l'indiquent les termes « odeurs légères »

( ligne 8) est un complément de temps : il a fallut a Ryno seulement deux heures pour qu’il soit perdu, il perd toutes ces capacités d’analyse auprès d’une femme alors qu’il eut de nombreuses expériences. * Avec « le frisson » et « les deux éclairs » on avait la mention de deux * « Ses ailes poussé en un clin d’œil » nous donne une impression de rapidité . Transition : Il s’agit d’un récit fait par Ryno qui présente tous les éléments de la confession II/ Les prestiges de la laideur

d'abord te dire qu'elle est d'abord agréable. À Calais, où je calais ma voiture, le mousse grattait la mousse de la coque. Le bruit dérangea une grue, elle alla se percher sur la grue. On ne badine pas avec une badine en mangeant des éclairs au chocolat à la lueur des éclairs. En découvrant le palais royal, il en eut le palais asséché, je ne pense pas qu'il faille relever la faille de mon raisonnement. et pour finir des mots de sens différent mais

toutes mes nuits !Il est si loin ! Qu'il vienne !Descends vers moi, Hypérion,Sur tes rayons qui brillent,Viens dans mon coeur, viens dans mon âme,Viens éclairer ma vie!"Il l'écoutait tout en tremblant, Et son éclat s'allonge; Puis, comme un grand éclair s'élance Et dans la mer il plonge.Dans l'eau où il était tombé Des tourbillons immergent, Et des abîmes inconnus Un beau jeune homme émerge. Dans un instant il est déjà Au seuil de la fenêtre - Un sceptre aux mains -, et, doucement,Dans la chambre

singulier poétique agrandi démesurément cet attribut. Celui-ci prend la valeur d’emblème, de symbole. Cet « œil souriant » est l’attribut le plus important de Myrtho car il contient comme « l’Orient » du vers 3, la lumière, car « l’œil souriant » lance un éclair. Ce qui nous permet de dire que la lumière s’étend tout au long du poème : « feux », « or ». Nous avons la rétraction et la dispersion du phonème (= élément sonore du langage [or] : « Orient », « or », « souriant », « horizon », hortensia ».