Éclair

beaux. Usant à l'envi leurs chaleurs dernières, Nos deux cœurs seront deux vastes flambeaux, Qui réfléchiront leurs doubles lumières Dans nos deux esprits, ces miroirs jumeaux. Un soir fait de rose et de bleu mystique, Nous échangerons un éclair unique, Comme un long sanglot, tout chargé d'adieux; Et plus tard un Ange, entr'ouvrant les portes, Viendra ranimer, fidèle et joyeux, Les miroirs ternis et les flammes mortes. Developpement : Le couple présenté est idéal, parfait : le pronom

Petit Ecolier, Prince...) - les ganaches avec ses formes exploitable à 'infini - sauces (sauce au chocolat pour profiteroles, poire africaine, Mole Poblano...) - décoration en pâtisserie (saupoudrer ou piece entière) -gâteaux (fôret noire, éclair, buche de Noël, fondant au chocolat...) -ganduja -mousse au chocolat -pâte à tartiner (Nutella) 3 2) Sculpture Forme très peu commercialiseée (principalemnt mariage) la sculpture du chocolat est objet de concours

Justification : - Passage partie 1 à 2 : Moi -> marque une coupure avec description + 1ere intervention de Baudelaire : longueur partie 2 : justifiable par la durée de son émerveillement (court) - Passage partie 2 à 3 : changement de ton après « L’éclair » -> éclair qui casse avec le reste, changement total de l’état d’être de Baudelaire Orientation critique : - Tout d’abord : analyse de l’amour naissant de Baudelaire pour cette femme, sa fascination pour elle, et la tristesse de la voir s’en aller -> une femme

Ses épaules s'enfonçaient dans son corps. « C'est la fin », se dit-il encore. Il lui était impossible de faire un geste. Un moment, la douleur fut si forte qu'il crut perdre la raison et soudain ce fut comme un déchirement en lui. Un éclair l'aveugla. Non, pas un éclair, une intense et durable lumière plus exactement. Un feu embrasa ses poumons. Il poussa un cri strident. Tout en l'attrapant par les pieds, la sage-femme dit : « C'est un garçon. » Lucien était né. Claude BOURGEYX, Les petits outrages

semblable à une statue. Ce qui montre la grâce et la perfection de cette femme « Agile et noble/ Dans son œil, ciel livide » aux vers 5 et 7. Cela permet aussi de justifier « fugitive beauté » au v9. Puis, toujours au v9, la femme est comparée à un éclair «  Un éclair... puis la nuit ! » qui représente l’idée d’une lumière éblouissante et rapide. Ce vers marque donc la fin de cette rencontre. Une fin brève et surprenante puisque la description dure le temps de deux quatrains et elle se finit en un alexandrin

- Personnage marqué par le manque (blancheur qui habituellement est le symbole de la pureté devient une absence de couleur, une image de la mort - Lumière absente, disparaissant, peu vive, qui peine à ce manifesté (oxymore avec long éclair) fragile, mourante. - Le chant devient un cri - Manque de consistance - Transformer l’image traditionnelle du Pierrot pour accroître le contraste entre un passé joyeux et un présent lugubre - Pierrot est comme englué

| Ζεύς | Zeus | Jupiter | Père des dieux et des hommes. Après avoir envoyé son père au Tartare, il exerce sa souveraineté sur le mont Olympe, le ciel, le tonnerre et les éclairs. Marié à Héra, il est le père d'Hermès, d'Héphaïstos, de Dionysos, d'Athéna, d'Arès et d'Aphrodite. | Tient un foudre (nom masculin : figure d'un éclair), chêne, égide (voir Athéna), aigle, taureau. | D'autres divinités leur sont parfois associées : Nom en grec | Nom du dieu grec | Nom du dieu romain | Qualités | Attributs

le constate simplement (en grand deuil) - le mystère est renforcé par la question rhétorique (ne te verrai-je plus que dans l’éternité ?) = incertitude de la rencontre - la juxtaposition des 2 états opposés (un éclair … puis la nuit ! – Fugitive beauté) -> coup de foudre (éclair) = vie -> mort (nuit) -> confirmé par ce verbe, la femme qui z le pouvoir de vie et de mort chez l’homme (renaître) idée 3 : l’état d’esprit du poète on repère l’état d’esprit du poète par les marque

 La Seconde Guerre mondiale, une guerre d’anéantissement (1939-1945) I. Les phases de la guerre. A. Les victoires de l’Axe : 1939-1942. Jusqu’en 1942, l’Axe (Allemagne, Italie, Japon) semble invincible. 1 – Premiers succès allemands. Guerre-éclair (« Blitzkrieg ») : les bombardiers détruisent les infrastructures (routes, voies ferrées…) puis les panzer occupent le terrain. Pologne, attaquée (All + URSS), capitule en un mois. Danemark et Norvège envahis (fer suédois). En France : « drôle

l’épreuve) : « en femme voilée », « Le spectre change de figure, et représente le temps avec sa faux à la main. » Dans la pièce à machines (CF documents fournis sur la biographie de Molière), en vogue à l’époque de Molière, les effets visuels (éclairs, terre qui s’ouvre, feux) se doublent d’effets sonores (le tonnerre, le cri final). L’influence baroque est perceptible car ce dénouement correspond au goût de l’époque pour les pièces à « machines », grands spectacles sonores et visuels. Le nombre