Ecriture Personnelle Le Rire

LECTURE CURSIVE 1Œuvre étudiée : Jean GIONO, l’Homme qui plantait des arbres => Dans votre cahier de lecture-écriture, répondez aux questions suivantes (20 points)  : · Qui est le héros ? Présentez-le clairement en utilisant le lexique du portrait travaillé en septembre. · Quel est l’évènement majeur qui lui arrive ? · Comme le livre

Dans quelle mesure le comique est-il un moyen pertinent pour faire réfléchir? Rabelais disait que « rire est le propre de l'Homme ». C'est donc quelque chose de naturel et selon les scientifiques quelque chose d'indispensable même à la santé humaine. On peut donc dire que le rire est universel, c'est sûrement la raison pour laquelle le rire est présent partout. Rabelais au travers d'une écriture humoristique délivrait dans Gargantua son utopie de l'éducation. Il a en quelque sorte était appuyé bien

en riant que Gwynplaine faisait rire. Et pourtant il ne riait pas. Sa face riait, sa pensée non. L'espèce de visage inouï que le hasard ou une industrie bizarrement spéciale lui avait façonné, riait tout seul. Gwynplaine ne s'en mêlait pas. Le dehors ne dépendait pas du dedans. Ce rire qu'il n'avait point mis sur son front, sur ses joues, sur ses sourcils, sur sa bouche, il ne pouvait l'en ôter. On lui avait à jamais appliqué le rire sur le visage. C'était un rire automatique, et d'autant plus irrésistible

THEATRE sujet : Dans quelles mesures pourrait-on considérer le théâtre comme le lieu de la plus grande liberté ? Vous répondrez en vous appuyant sur les textes étudis dans le cadre scolaire ou personnel et sur votre expérience de spectateur. Reformulation de la problématique : Comment une écriture de convention comme le théâtre pourrait être libre ? Idée de plan (en 3 parties et 3 sous parties) I_ UN ESPACE DE LIBERTE QUI DONNE LIBRE COURS A L'IMAGINATION __ a) liberté dans le texte

registre comique, le registre réaliste, les niveaux de langue les Fabliaux, textes au choix o le théâtre: La farce de maître Pathelin : « Bee…. » le registre comique Travail d’écriture: écrire le texte au discours indirect o Lyrisme personnel : Villon : “La ballade des pendus” le registre pathétique; la situation d’énonciation, les figures de style Répondre à des questions de compréhension Itinéraire 2: le thème de la mort et de l’au-delà Problématique: Comment s’inscrit, dans les

-Ch Dulibine -Lycée Claude Monet, classe de Seconde (35 élèves) Séquence théâtre - novembre/décembre 2007 –du comique au tragique- « Je me presse de rire de tout, de peur d’être obligé(e ) d’en pleurer… » Cette séquence s’est organisée en trois temps et trois parcours. A-premier parcours : découverte d’une comédie par le biais de ses représentations (10 heures ) J’ai choisi Le Mariage de Figaro de BEAUMARCHAIS, pour ancrer la découverte du théâtre dans sa dimension spectaculaire

Valets et servantes. Les valets et les servantes de comédie sont des types. Ils constituent un personnel comique traditionnel au jeu, à I'habit, au langage, aux fonctions caractéristiques, au même titre que les amoureux, les rivaux, les barbons ou les pères depuis que "la comédie nouvelle", avec Ménandre, Plaute et Térence, du IVe au lIe siècle av. J.-C., a fait des conflits familiaux - et non plus socio-politiques comme chez Aristophane - la matière toujours recommencée du genre. Molière, grand

aujourd’hui c’est ton tour, je travaille La Bruyère. Seulement des allusions, des remarques acides, l’écume d’un ressentiment mal éclairci. Et plus rien, je ne veux pas être une emmerdeuse, est-ce que c’est vraiment important, tout faire capoter, le rire, l’entente, pour des histoires de patates à éplucher, ces bagatelles relèvent-elles du problème de la liberté, je me suis mise à en douter. Pire, j’ai pensé que j’étais plus malhabile qu’une autre, une flemmarde en plus, qui regrettait le temps où

en riant que Gwynplaine faisait rire. Et pourtant il ne riait pas. Sa face riait, sa pensée non. L'espèce de visage inouï que le hasard ou une industrie bizarrement spéciale lui avait façonné, riait tout seul. Gwynplaine ne s'en mêlait pas. Le dehors ne dépendait pas du dedans. Ce rire qu'il n'avait point mis sur son front, sur ses joues, sur ses sourcils, sur sa bouche, il ne pouvait l'en ôter. On lui avait à jamais appliqué le rire sur le visage. C'était un rire automatique, et d'autant plus irrésistible

des défauts des hommes et condamne ces défauts par le rire. Il développe l’esthétique du ridicule (à partir du ridicule, écriture et composition esthétique). Parvient à peindre et rire des défauts des hommes de son temps voire même de tous les temps ! Cette comédie est le modèle de ce qu’on appelle la « grande comédie ». Attention !! Fin heureuse But : divertir. Pas nécessairement lié au registre comique et ne fait pas nécessairement rire aux éclats. II – Différence comédie tragédie :