Ecriture Personnelle Sur La Jeunesse Révoltés

comme son engagement, se développe en plusieurs directions à la fois, entre lesquelles elle refuse de choisir. Même s'il avouait lui-même dans son Journal que "chacun de [ses] livres avait été […] la mise en valeur d'une certitude"49, sa pensée personnelle demeurait toutefois dans l'incertitude. Chacun de ses livres donnait donc forme logiquement à une virtualité de sa pensée multiple et même contradictoire de forme et de ton50. Pas étonnant donc que Gide lui-même avouât avec délectation dans son

indépendants, unis seulement par la langue et la religion. Ils connaissaient l'écriture, mais leur religion et leurs idées se transmettaient seulement par la voie orale.   La société était dirigée par les Druides à la fois prêtres, juges et éducateurs de la jeunesse. La religion était polythéiste; la société gauloise était une société aristocratique; - toute l'autorité appartenait aux nobles qui étaient aussi les propriétaires de terre. - la plèbe était la "cliente" des nobles; - les cellules familiales étaient

Conditions de consultation : Sur place, consultation libre de tous les ouvrages et revues spécialisées et accès libre aux ordinateurs avec possibilité de manipuler des logiciels pédagogiques. L'emprunt à domicile est fixé à 15 jours sous caution à titre personnelle. Services proposés : recherches bibliographiques personnalisées, une lettre électronique d'information : inscription en ligne : www.illettrisme.org/component/option,com_letterman/Itemid,223/ Pour joindre la documentaliste : documentation.paca@illettrisme

en présentant ce parcours, est que, comme la petite Cativa, les élèves du deuxième degré professionnel, degré sensible, composé majoritairement de faibles lecteurs, accèdent au plaisir d’une promenade littéraire, promenade à la fois guidée et personnelle. Guider la promenade ne signifie évidemment pas « mettre sur LA bonne voie ». En lecture, il n’y a pas une ligne droite prévisible et intangible, mais des pistes multiples et parfois tortueuses. Nous placerons donc tout au long du cheminement des

donc la dénonciation de la domination chez les deux auteurs ? S’agit-il d’une 2 influence idéologique ? Jusqu’à quel niveau l’engagement des deux auteurs constitue-t-il une arme de lutte contre l’oppression ? S’agit-il d’une prise de position personnelle ou un refoulement d’une pitié ? Comment peut-on redresser l’inégalité entre les hommes ? Notre souci est de montrer plus modestement comment ces deux romanciers ont donné voix et visage à l’opprimé. Trois objectifs principaux nous préoccupent dans

avait absorbé du poison. Ainsi Atala allait-elle mourir, victime, selon les paroles du père Aubry, «des dangers de l'enthousiasme et du défaut de lumières en matière de religion». ‘’Épilogue’’ Ont lieu les funérailles d’Atala. Commentaire Dès sa jeunesse, Chateaubriand, dans l’atmosphère littéraire renouvelée par l’esprit de Rousseau et tournée vers la nature, avait eu l’idée de décrire les mœurs de sauvages en les encadrant dans une trame historique. Il prétendit avoir écrit cette «anecdote» «dans

mystère, au gouffre ; Et nous nous regardons tous les deux fixement, Elle qui brille et moi qui souffre. Où donc s’en sont allés mes jours évanouis ? Est-il quelqu’un qui me connaisse ? Ai-je encor quelque chose en mes yeux éblouis, De la clarté de ma jeunesse ? Tout s’est-il envolé ? Je suis seul, je suis las ; J’appelle sans qu’on me réponde ; O vents ! ô flots ! ne suis-je aussi qu’un souffle, hélas ! Hélas ! ne suis-je aussi qu’une onde ? Ne verrai-je plus rien de tout ce que j’aimais ? Au dedans de

Page 3 10 13 16 20 24 28 31 35 37 D'autres planches sur La Fraternité et le Fraternel ►►► Clic R150-1 La Fraternité 2 1 La Fraternité est’elle un Devoir D'abord l'évocation du mot Fraternité dans sa globalité Puis d'une manière beaucoup plus personnel Enfin les conclusions Aujourd'hui, qui peut avoir une complicité avec autrui en dehors de la maison, du stade ou du bureau ? Une évasive fraternité continue d'orner nos frontons de mairies et des en tête de papiers administratifs, pour leur donner

Chapitre XVI. Contre les fables impudiques. Insolence de la jeunesse de Carthage. 14 Chapitre XVII. Vanité de ses études. Il se passionne pour la sagesse a la lecture de l’Hortensius de Cicéron. Chapitre V. 15 Chapitre VI. 17 Chapitre VII. Son mépris pour l’Écriture. Il tombe dans l’erreur des manichéens. LIVRE DEUXIÈME Folies des manichéens. AUGUSTIN À SEIZE ANS Désordres de sa première jeunesse. — Ses débauches à l’âge de seize ans. — Larcin dont il s’accuse

vers 13, « le scorpion utile ». Tout ce qui était à verser au discrédit d’une poésie ruineuse de vie, dilapidatrice d’énergie, est progressivement transformé ou recomposé en vertu réconfortante, réparatrice. Le temps perdu aux jeux de la poésie de jeunesse, la virtuosité acquise dans ces futilités de mots et « abus » (v. 9) de vers, se retrouvent, in fine, parés de vertus secrètes et peut-être insoupçonnées jusquelà. Le poème ne nomme d’ailleurs pas explicitement ces vertus ; il les englobe seulement