Edmund Spenser

siècle, caractérise la conscience comme « un état divin », c’est-à-dire un moyen immédiat et infaillible de reconnaître le bien du mal. Par ailleurs, les caractéristiques de la conscience définissent l’Homme en tout point ou presque. Comme le dit Edmund Husserl dans les « Méditations cartésiennes » : « Tout état de conscience en général est en lui-même conscience de quelque chose ». La conscience est donc ce qui nous caractérise véritablement, et ce qui nous distingue du monde animal. Ainsi, l’Homme

L'existentialisme n'est pas un mouvement littéraire, et il n'existe pas à proprement parler de littérature existentialiste. C'est par une extension abusive du terme que le langage courant a qualifié d'existentialistes un certain nombre de manifestations culturelles de tous ordres qui se sont produites en France entre 1945 et 1955. Cette période a été dominée par les figures de Jean-Paul Sartre et d'Albert Camus, mais ni l'un ni l'autre n'a jamais prétendu diriger ou inspirer une école littéraire

biologique. Elle appartient plutôt au mental. « C’est par l’objet (…) que l’homme devient conscient de lui-même» écrivait Ludwig FEUERBACH (1804-1872) dans l’Essence du christianisme. Cette pensée traduit fidèlement la notion d’intentionnalité par laquelle Edmund HUSSERL (1859-1938) définit la conscience. Pour le phénoménologue allemand, «Toute conscience, note-t-il dans les Méditations cartésiennes, est conscience de quelque chose.» Autrement dit, on ne se rend compte de la conscience que dans la rencontre

d’exprimer une nouvelle conception du Monde . Ces sonnets sont dits « irréguliers ». Ce faisant, de Dante à Philippe Jaccottet en passant par Jean-Antoine de Baïf , Joachim du Bellay, Pierre de Ronsard, Le Tasse, Luis de Gongora y Argote, Camoëns, Edmund Spenser, Shakespeare, John Milton, Gérard de Nerval, Charles Baudelaire, Paul Verlaine, Arthur Rimbaud, Jules Laforgue, Stéphane Mallarmé, Guillaume Apollinaire, Rainer Maria Rilke, Paul Eluard ou Robert Desnos, beaucoup de grands écrivains de la littérature

que de soi même car c’est en soi qu’on porte ses pires ennemis.(Charles Spurgeon) 2- Entreprend maintenant ce qu’on deviendra plus tard (Saint Jérôme) 3- C’est l’esprit qui fait le bien ou, qui rend heureux ou malheureux , riche ou pauvre (Edmund Spenser) 4- on façonne d’abord ses habitudes puis ses habitudes leur façonnent. (John Dryden) Cortès, lui évoque quatre lois de réussite : 1- Vivre avec un objectif « Avoir un objectif défini donne une energie incalculable ; concentrer sur

l’art de la miniature comme le font si bien les peintres tels que Nicholas Hilliard, Isaac Oliver, Samuel Cooper etc. Il y a plusieurs écrivains brillants qui naissent à cette époque comme William Shakespeare (Roméo et Juliette, Hamlet,…), Edmund Spenser (La Reine des fées, Amoretti etc.), John Lyly, etc. Il y’avait plusieurs institutions en Angleterre tel que la Navy Board, le Collège royale de médecine de Londres, l’université de Cambridge, l’université d’Oxford etc. Les institutions ne donnaient

à la chandelle minute, George Stubbs pour ses peintures d'animaux. Il est communément considéré que la peinture de paysage anglais est caractéristique de l'art anglais, largement inspirées de l'amour de la pastorale découlant de la poésie de Edmund Spenser, et en miroir comme il le fait le développement de maisons de campagne plus large dans un paysage rural pastoral. Même s'il convient de noter que l'art anglais se trouve également dans la tendance à la mélancolie, souvent exprimé comme un amour

renaissance anglaise. L'architecture se caractérise par les manoirs de style Tudor, avec de grandes fenêtres à croisillons, associant au style gothique des éléments Renaissance. La langue anglaise connaît ses lettres de noblesses avec des poètes comme Edmund Spenser, qui publie la Reine des fées entre 1590 et 1596, en hommage à la reine. Le théâtre est également une grande réussite de l'ère élisabéthaine. En 1598, le fameux théâtre du Globe ouvre ses portes à Londres, sur la rive sud de la Tamise. Les pièces

knowledge.  It is a period of rebirth of learning, a period when Scholars decided to look into the classical past. There are many great writers in this period. The Elizabethan era in 16th-century England was a prolific period for English literature. Edmund Spenser, Christopher Marlowe, Sir Walter Raleigh, Chettle Henry, Wyatt Thomas, Surrey Henry, Ben Jonson and William Shakespeare were only a few of the many writers who created their great works during the reign of Elizabeth I.

Clifford [24] , jusqu'à ses landes sauvages ou nous plongeons au cœur de la ville et retenons notre enthousiasme à la vue de Gabriel Harvey [25]  qui, dans son costume de velours noir, se dispute avec Spenser [26]  à propos de poésie. Rien n'est plus fascinant que de tâtonner et trébucher dans l'obscurité mêlée de splendeur de la Londres élisabéthaine. Mais nous ne pouvons pas rester ici. Les Temple [27]