Édouard Lockroy

laïcité et, 30 ans avant la loi de 1905, la séparation de l’Église et de l’État. La lutte pour l'amnistie Dès son discours du 16 mai 1876 à la Chambre, il se fait remarquer par son éloquence, qu'il met au service de l’amnistie [19]. Raspail, Lockroy et lui, ainsi que Victor Hugo au Sénat, s'unissent dans ce combat [19], mais ils sont minoritaires face aux Opportunistes, qui, derrière Gambetta et Jules Méline, soutiennent une amnistie partielle[18]. Ils relancent le combat pour l'amnistie trois

Émile et Antony Deschamps, Alexandre Dumas, Charles Magnin, Eugène et Achille Devéria, Eugène 1. Victor Hugo avant 1830, par Edmond Biré ; Paris, Jules Gervais, 1882, 1 vol. grand in-18. L’ÂGE VIRIL 175 Delacroix, Frédéric Soulié, Armand et Édouard Bertin, Alfred de Musset, Prosper Mérimée, Villemain, Mme Tastu1. Dumas, dans ses Mémoires, ajoute à cette liste qu’il donne d’ailleurs beaucoup moins complète, les noms d’Alcide de Beauchesne et du peintre Louis Boulanger. Beaucoup de détracteurs

1871, l’Assemblée ratifie la convention, lors d’une séance dramatique. 546 députés l’adoptent contre 107 seulement qui la rejetent[7]. On comptait parmi eux tous les députés de Paris (Louis Blanc, Henri Brisson, Georges Clemenceau, Victor Hugo, Édouard Lockroy, Henri Martin, Arthur Ranc, Henri Rochefort etc), les députés d’Alsace et de Lorraine qui démissionnent aussitôt, bientôt suivis de nombreux députés républicains. L'extrême gauche radicale, socialiste, internationaliste désavoue l'Assemblée et

honneurs. Zola a accepté la croix de la Légion d'honneur à condition d'être dispensé de la demande écrite officielle. Après de nombreuses tergiversations, liées à des articles sévères du romancier sur ses confrères écrivains dans la presse en 1878, Édouard Lockroy lui accorde la rosette. L'écrivain est donc fait chevalier de la Légion d'honneur le 13 juillet 1888, au grand dam encore une fois des Goncourt et d'Alphonse Daudet, mais aussi de ses proches, voire de son ami Paul Alexis. Octave Mirbeau intitule

honneurs. Zola a accepté la croix de la Légion d'honneur à condition d'être dispensé de la demande écrite officielle. Après de nombreuses tergiversations, liées à des articles sévères du romancier sur ses confrères écrivains dans la presse en 1878, Édouard Lockroy lui accorde la rosette. L'écrivain est donc fait chevalier de la Légion d'honneur le 13 juillet 1888, au grand dam encore une fois des Goncourt et d'Alphonse Daudet, mais aussi de ses proches, voire de son ami Paul Alexis. Octave Mirbeau intitule

honneurs. Zola a accepté la croix de la Légion d'honneur à condition d'être dispensé de la demande écrite officielle. Après de nombreuses tergiversations, liées à des articles sévères du romancier sur ses confrères écrivains dans la presse en 1878, Édouard Lockroy lui accorde la rosette. L'écrivain est donc fait chevalier de la Légion d'honneur le 13 juillet 1888, au grand dam encore une fois des Goncourt et d'Alphonse Daudet, mais aussi de ses proches, voire de son ami Paul Alexis. Octave Mirbeau intitule

honneurs. Zola a accepté la croix de la Légion d'honneur à condition d'être dispensé de la demande écrite officielle. Après de nombreuses tergiversations, liées à des articles sévères du romancier sur ses confrères écrivains dans la presse en 1878, Édouard Lockroy lui accorde la rosette. L'écrivain est donc fait chevalier de la Légion d'honneur le 13 juillet 1888, au grand dam encore une fois des Goncourt et d'Alphonse Daudet, mais aussi de ses proches, voire de son ami Paul Alexis. Octave Mirbeau intitule

------------------------------------------------- Biographie ------------------------------------------------- Enfance et adolescence provençale (1840 – 1858) Article détaillé : Jeunesse d'Émile Zola. Émile Zola enfant avec ses parents vers 1845. Émile Édouard Charles Antoine2 Zola naît 10 rue Saint-Joseph à Paris le 2 avril 1840 d'un père italien et d'une mère française. Il est le fils unique de François Zola3, natif de Venise, et d’Émilie Aubert, native de Dourdan. Son père, ingénieur de travaux publics

pas timide, il prend avantage du paysage ouvert pour jeter les grains le plus loin possible. On voit et on sent la liberté à la campagne par l’action de ce semeur, et c’est le sentiment que Millet voulait exprimer. 5/ LE DEJEUNER SUR L’HERBE de Edouard Manet Manet (né à Paris en 1832 - mort à Paris en 1883) est un peintre français majeur de la fin du XIXe siècle. Issu d'une famille bourgeoise, artiste dans l'âme, Manet refuse de s’engager dans les études de droit auxquelles son père le prédestine

roman Quatrevingt-treize. En 1873, il est à Paris et se consacre à l'éducation de ses deux petits-enfants, Georges et Jeanne qui lui inspirent le recueil L'Art d'être grand-père. Il reçoit beaucoup, hommes politiques et littéraires, les Goncourt, Lockroy, Clemenceau, Gambetta54… Le 30 janvier 1876, il est élu sénateur et milite pour l'amnistie. Il s'oppose à Mac Mahon quand celui-ci dissout l'assemblée54. Dans son discours d'ouverture du congrès littéraire international de 1878, il se positionne pour