Effervescence Du Nationalisme

négatifs, notamment a niveau de l’athlétisme. Il y avait des conditions de courses suspectes, les athlètes étrangers ont été gêné par la foule, celle-ci n’acclame d’ailleurs que les athlètes grecs… Pierre de Coubertin est déçu par cet excès de nationalisme. Les grecs ont la ferme intention de contrôler ces jeux olympiques et les prochains, mettant Pierre de Coubertin de côté. Cependant Pierre de Coubertin va repartir de Grèce furieux et va mettre en place à son retour en France, un nouvelle organisme

des ligues destinées à conduire une action directe dans la rue contre le pouvoir ou contre le régime en place. Aux anciennes ligues s’en ajoutent d’autres qui se réclament de deux courants différents. Les Croix de Feu, par exemple, procèdent du nationalisme traditionnel, lors de la crise ils assortissent leur programme nationaliste d’articles sociaux de défense de l’économie nationale contre la concurrence étrangère et de protection de la main d’œuvre française, de lutte contre la spéculation et la

limité. Elles prennent d’ailleurs parfois l’allure de conflits par l’intermédiaire de champions (Horaces et Curiaces). D’une certaine manière, la compétition sportive est une espèce de guerre ritualisée (le football, un des derniers refuges du nationalisme). Guerres anciennes à objectif limité Guerres à objectif limité territorial. Elles étaient menées dans un but précis qui était prendre un certain territoire. Théoriquement, on arrêtait la guerre dès que le but recherché était atteint (exemple :

François-Ferdinand de Habsbourg est assassiné à Sarajevo par un nationaliste serbe, Gavrilo Princip, membre du mouvement "Jeune Bosnie". L’Autriche-Hongrie est un empire gigantesque regroupant les 5 religions et 12 langues. L’empire austro-hongrois a peur des nationalismes et des divisions ethniques venant de Serbie. Le jour de l’arrivée de l’archiduc, on commémore une défaite serbe face aux Ottomans. Cette défaite a provoqué un sentiment très nationaliste parmi les Serbes. Très vite, après l’assassinat, les choses

nouvelles à la main sont manuscrites et parlent de la vie de la cour et des affaires politiques (propagande pour orienter l’opinion publique). Les périodiques scientifiques se développent, on estime qu’il y a 300 périodiques en Europe après 1770 (effervescence intellectuelle). 4) la franc-maçonnerie : La première loge à été créée à Londres en 1717 et en France en 1725. C’est un laboratoire sociale composé d’hommes qui réfléchissent sur l’évolution de la société (évolution politique, la paix, la

atout majeur pour les insurgés, trame de la bataille et, de part et d’autre, enjeu véritable. C’est là que les choses ont sans doute le plus changé. Vieille comme le monde, en effet, la guérilla a très souvent reflété des velléités diffuses, une effervescence anarchique, des pulsions antagonistes qu’épisodiquement quelques personnalités exceptionnelles réussissaient à contrôler et à transcender. Or, prolongeant l’analyse de Clausewitz, les écoles marxistes russe, puis asiatique ont systématisé et rationalisé

c’est l’idée principale qui se dégage alors que les élèves participent à tour de rôle de façon constante. Ils définissent le contexte social susceptible de favoriser la naissance d’une dictature. Chômage, inflation, dégoût envers les politiques, nationalisme excessif sont autant de conditions qu’ils énoncent sans se rendre tout à fait compte que ces « conditions » sont toujours là, peut-être pas aussi visibles, mais bel et bien présentes en tant que risques de la société occidentale. Même Karo, lorsqu’elle

comme son célèbre trencadis, fait de pièces de céramiques cassées. Après des débuts influencés par l'art néogothique, comme par certaines tendances orientalistes, Gaudí aboutit à l'art nouveau(modernisme catalan), à l'époque de sa plus grande effervescence, entre la fin du xixe siècle et le début du xxe. Cependant, l'architecte de Reus alla au-delà de l'art nouveau orthodoxe, créant un style personnel basé sur l'observation de la nature, ainsi que par l'utilisation de surfaces géométriques réglées comme

de quelques autres. Et les regards se tournaient de nouveau vers les littératures "francophones", particulièrement caribéennes, comme si, loin des modèles français sclérosés, s'affirmait là-bas, héritière de Saint- John Perse et de Césaire, une effervescence romanesque et poétique dont le secret, ailleurs, semblait avoir été perdu. Et ce, malgré les oeillères d'un milieu littéraire qui affectait de n'en attendre que quelques piments nouveaux, mots anciens ou créoles, si pittoresques n'est-ce pas, propres

l’appelait Malobè Etamè, ou Malobè tout court. Malobè commettait toutes sortes d’abus et d’exactions. Et ses principales victimes étaient les Duala stricto sensu. Dès que ce monstre apparaissait, le marché tout entier entrait en effervescence. On entendait alors crier de toutes parts : Malobè a o don ! Malobè a o don ! « Malobè est (là) au marché ! Malobè est (là) au marché ! » (sous-entendu : « Que chacun se tienne sur ses gardes ! » « Sauve qui peut ! »)