Effet De L Epargne

prises globalement ont présenté un besoin de financement de 71,3 milliards d’euros accompagné d’un signe négatif, qui veut dire que leurs investissements ont été supérieurs à leur épargne. De même, les administrations publiques ont également un besoin de financement de 66,2 milliards d’euros, ce qui signifie que leur épargne a été inférieur aux investissements réalisés. Il faut rappeler que les investissements encore appelés FBCF ou Formation Brute de Capital Fixe correspondent à une dépense immédiate

retraite…). Il s’agit d’une épargne de précaution. * Constituer ou accroître un patrimoine pour soi (placements) ou pour le transmettre à ses héritiers. * Spéculer : afin d’obtenir un gain rapide. 3 – Les formes de l’épargne et leur évolution * Deux formes d’épargne  * Epargne immobilière : acquisition de biens immobiliers (maison, appartement, terrain) * Epargne financière : placements financiers (livrets, valeurs mobilières, assurance-vie, épargne retraite) * Leur évolution

des modalités par lesquelles les agents économiques se procurent les fonds nécessaires à la réalisation de leurs activités. 2. Pour financer leurs opérations d'investissement, de trésorerie et de placement, les agents économiques ont accumulé une épargne brute. L'épargne correspond à la partie du revenu qui n'est pas consommée. Elle dépend : Du niveau du taux d'intérêt : pour les néo-classiques, l'épargne est une fonction croissante du taux d'intérêt qui est le prix du renoncement à la consommation

dans un cadre national et intérêt pour équilibres entre flux de biens, revenus et dépenses. o Épargne = investissement. La crise des années 1930 montre que le problème de l'équilibre est plus complexe que ce qu'en disent les théories libérales. Keynes approfondit le problème de l'épargne, elle est une part de revenus qui n'est pas consommée, pour que le système puisse alors s'équilibrer cette épargne doit être investie, c'est à dire essentiellement prêtée contre intérêt ou cédée contre des droits

ou de détruire, immédiatement ou progressivement, des biens et des services, dans le but de satisfaire un besoin. La consommation est donc motivée par les besoins qu’un individu cherche à satisfaire, à l’aide d’un bien ou d’un service prévu à cet effet. La consommation donne lieu à des études et à des classements différents et peut donc être abordée de façons plus ou moins globales ou plus ou moins détaillées. Exemple : - Etude de la consommation globale = somme des consommations individuelles

collectivité nationale. Il est alors important de distinguer l’évaluation financière de l’évaluation économique du fait que l’impact d’un projet au niveau de l’entreprise ou de l’agent qui le met en œuvre ne coïncide pas nécessairement avec ses effets sur l’économie nationale. Du point de vue du (ou des) promoteurs l’objectif visé est la rentabilité financière ou la recherche de profit; Par contre du point de vue de la collectivité nationale l’objectif visé est le développement apprécié par :

du travail (efficacité quantitative) : Productivité du travail = Quantités produites / Nombres d’heures de travail. La spécialisation engendre une plus grande efficacité pour 3 raisons : La répétition des taches améliore la dextérité des ouvriers (effet d’expérience). Les temps morts sont moins nombreux : le gain de temps permet d’accroitre la productivité. La meilleure connaissance des taches réalisées permet d’améliorer les méthodes de production et de perfectionner les outils utilisés. Division

leurs ressources principales. Ces catégories sont homogènes dans la mesure où elles réunissent des agents manifestant des comportements identiques dans l'exercice des grandes fonctions économiques: production, distribution de revenus, consommation, épargne, investissement. Les secteurs institutionnels Nous pouvons dire maintenant que le découpage en secteurs institutionnels repose sur deux critères :1) leur fonction (ou activité) principale, 2) leurs ressources principales. Ce découpage aboutit

approprié ?  8. Pourquoi les IMF appliquent-elles des taux d’intérêt si élevés à leur clientèle ? 9. Pourquoi le secteur de la microfinance accorde-t-il une telle importance à la pérennité ? 10. Les pauvres ne sont-ils pas trop pauvres pour épargner ? 11. La microfinance peut-elle être rentable ? 12. Quel est le rôle des gouvernements pour le développement de la microfinance ? 13. Que fait le secteur de la microfinance pour protéger les pauvres des pratiques de crédit abusives ? 14

propension marginale à consommer. d2C / d2Y = 0 et 0 < C < 1 et 0 < s < 1 où s = propension marginale à épargner. 3.2. La fonction Keynésienne à épargner. ✔ La propension moyenne à épargner : Y = C + S donc 1 = C/Y + S/Y Où C/Y correspond à la propension moyenne à consommer et C/S est la propension moyenne à épargner. ✔ La propension marginale à épargner. DY = DC + DS Remarques : - Si le revenu est nul, il faudra désépargner le minimum vital (la