Effet de souffle

souffrances infligées à l’enfant, puis nous étudierons comment il met en valeur le caractère parfaitement injuste et incompréhensible du mal. Développement I) Une souffrance cruelle 1) Une peinture réaliste - Le narrateur évoque précisément les effets de la peste sur tout le corps de l’enfant : le champ lexical du corps est abondant : « les dents », « bras et jambes », « estomac », la tête », « les yeux », « visage », « jambes », « chair », « sa carcasse » - Tous ses symptômes sont évoqués :

valeurs bourgeoises, se développe de manière accrue au XIXème siècle, en pleine expansion de la révolution dite industrielle. Il apporte un souffle de liberté et de « non limite ». De nouveaux auteurs comme Smith, Ricardo ou Say, en font une référence, une véritable idéologie économique. On peut donc légitimement s’interroger sur les conséquences et les effets de ce libéralisme économique au XIXème siècle, en plein cœur d’une révolution industrielle naissante. Dans une première partie, nous montrerons

caractéristiques des poèmes de Rimbaud réside dans le fait qu’il n’hésite pas à mêler des expressions soutenues avec des expressions plus familières (« Au cabaret-vert »). Ce recueil se concentre sur la conception qu’avait Rimbaud de la jeunesse. En effet, cet adolescent rebelle était très bien placé pour parler de la jeunesse, puisque quand il a écrit les poèmes présents dans ce recueil, il était âgé de 15 à 18 ans. Les plus célèbres de ses poèmes ont été écrits durant cette période, qui a été la plus

distingue d’un manuel d’Histoire. Dans une première partie, nous verrons que cette œuvre est en partie autobiographique, puis qu’elle est un récit littéraire. Enfin, nous verrons qu’elle fut écrite pour « séduire ». Les Mémoires de Guerre est en effet le récit d’un moment de l’existence de Charles de Gaulle. Il y fait donc des confidences à ses lecteurs, même si celles-ci sont exprimées avec pudeur. Le chef du gouvernement laisse alors place au simple homme, et avec parcimonie, il nous donne des

aimée», v. 7), les adverbes intensifs (si-tant) marquant l'affectivité. Dans les deux dernières strophes, au contraire, le protagoniste laisse d'abord la place à des comparses, puis ceux-ci eux-mêmes disparaissent complètement. La strophe 3, en effet, montre la maigre troupe d'un pauvre cirque local, représenté surtout par quelques animaux (v.1 0). Et si on entend bien le «fifre lointain» (v. 13) d'un régiment, la strophe ne dépeint pas les soldats. Quant au dernier quatrain, il ne présente que

SIMPLEMENT INDIQUE POUR QUE VOUS REPERIEZ NETTEMENT LES DIFFERENTES ETAPES DU COMMENTAIRE. Introduction 1. Présenter l’œuvre, resituer l’extrait La quatrième partie de Germinal est le pivot de l’œuvre : c’est elle qui fait tout basculer. En effet si dans la première moitié de l’œuvre, Zola s’attache à montrer la pénibilité du travail, les injustices subies par les ouvriers et leurs revendications ; à la sortie de la quatrième partie il décrit la violence et la folie dans lesquelles basculent

coupe du Monde de football. Match opposant la France a l’Italie le 9 juillet 2006 à l’olympiastadion à Berlin devant 75550 spectateurs. Intro : La France pourrait passer pour la plus prestigieuse des équipes du monde. En effet la France a déjà remporté cette majestueuse coupe du monde en 1998. Avec de l’expérience, cette équipe de France semblait être l’équipe favorite pour remporter ce titre. Face à elle l’Italie, équipe réputée pour avoir le meilleur goal du Monde. Six

voit un miroir de lui-même dans celle-ci B. La description de la nature qui l’entoure 1. Champ lexical de la nature a) «vents», «eaux», «désert», «tempêtes», «nuages», «feu de broussailles», «bois», «feuille séchée», «cime», «arbre», «mousse», «souffle du Nord», «chêne», «roche», «étang», «vallée», «climats», «orages», «pluie», «frimas»  Démontre que la nature est très présente dans tous ce qu’il décrit 2. a)  C.B. : C.1. : La nature est instable à l’image des sentiments troublés de

par les sens, pas la vue. Ombres renforce dimension nocturne. Paraître. Incertain. Herbe : défini. Lieu familier pour poète. Intéressant. Personnification du jour : lien entre lumière du soleil. Mais aussi dernier souffle. S’exténue en bout de vers. Prononciation, etc, dernier souffle. Allitérations en [l] et [r]. Sons étouffés et contraste avec le [x] dur et sifflant. Toujours sensuel => couché sur l’herbe, perception par les sens toujours. Surprise. Arlequine = existe pas. Sonorités contrastes

le porte sans cesse dans ma mémoire, mon âme semble reculer d’horreur chaque fois que j’entreprends de l’exprimer. Nous avions passé tranquillement une partie de la nuit. Je croyais ma chère maîtresse endormie et je n’osais pousser le moindre souffle, dans la crainte de troubler son sommeil. Je m’aperçus dès le point du jour, en touchant ses mains, qu’elle les avait froides et tremblantes. Je les approchai de mon sein, pour les échauffer. Elle sentit ce mouvement, et, faisant un effort pour saisir