Effet yeux rouges

soit-disant non contestables. Il commence sa description de ce personnage par « Pangloss enseignait la métaphysico-théologo-cosmolo-nigologie ». Cette discipline qui nous parait de prime abord prouver l'intelligence de Pangloss, produit l'effet inverse. En effet, Voltaire utilise le mot « nigologie », qui nous fait penser au mot « nigaud ». Voltaire fait preuve donc d'ironie ici. Il se montre faussement admiratif envers Pangloss, pour se moquer de Pangloss. L'humour continue dans ce passage quelques lignes

présente le personnage. On donne son âge ou bien ses dates de naissances et de mort. On peut aussi donner sa nationalité. 2 - Le portrait physique : On donne des éléments qui se rapportent : - à l’allure, - au visage(forme, teint, cheveux, front, yeux, sourcils, regard, nez, lèvres, menton, oreilles...), - à la voix, - aux gestes, - au corps, - aux vêtements... Il faut essayer de suivre un ordre logique, comme si l’oeil du lecteur se baladait méthodiquement sur le personnage. 3- Le

onze ans Vous vous étiez servi simplement de vos armes La mort n'éblouit pas les yeux des Partisans Vous aviez vos portraits sur les murs de nos villes Noirs de barbe et de nuit hirsutes menaçants L'affiche qui semblait une tache de sang Parce qu'à prononcer vos noms sont difficiles Y cherchait un effet de peur sur les passants Nul ne semblait vous voir français de préférence Les gens allaient sans yeux pour vous le jour durant Mais à l'heure du couvre-feu des doigts errants Avaient

rouge je vais vous présenter l’œuvre suivante «l'affiche rouge» qui est une œuvre faites par les nazies, pour faire peur au passant dans les rues de Paris. Contexte: Le 21 février 1944, les mures de paris sont placardées de grandes affiches rouges qui annoncent l’exécutions de 2 « terroristes » du groupe dirigé par Michel Manouchian,membre des FTP (francs tireurs partisans), qui avaient décidé d'organisaient des actions de guérilla contre l'occupant Allemand. Impressions générales: Cette

 La Justice, elle régnera jusqu’à la fin Néo arriva aux portes de la ville de Justicity. Les quartiers étaient infestés de policiers qui ne le lâchaient pas des yeux. Plus il avançait, plus il angoissait, en effet aucun habitant ne l’accueillait et personne ne pouvait le guider.  Le ciel était gris, menaçant les rues étaient désertes. Il arriva sur la place de la ville où il aperçut un tribunal. Intrigué par ce bâtiment, il entra et entendit plusieurs voix menaçantes mais aussi des cris effroyables

le vrai décor a placer. Le grand nombre de porte apportera la confusion dans les personnages est donc un effet comique. La présentation des personnages au début de la pièce est inspirée du cérémonial d'entrée de cour, une cour très réduite, le garde annonce chacun des personnages même Juliette l'infirmière ménagère un personnage pourtant peu important dans une  « cour » ce qui donne un effet comique. Le vocabulaire de Juliette est incongrue, elle dit des anglicismes « Je n'ai pas eut le temps de

sans doute plus de prix que la subjectivité : "Je ne m'exprime pas moi-même dans ma peinture, a-t-il souligné, j'exprime mon non-moi." D'où un certain anonymat de la facture, ou du moins son absence de personnalisation : la peinture est légère, sans effets expressifs, sans gestualité ou giclures comme pour indiquer un parti pris d'humilité.   Peindre est pour Rothko l'exercice d'une tension vers ce qui le dépasse, ou l'enrobe, que l'on peut nommer, au choix, transcendance ou néant. Si le choix des

par l’œil. Pour des raisons qui sont loin d’être totalement élucidées, l’image reconstituée n’est pas toujours conforme à la réalité. Un univers fascinant se dévoile ainsi : celui des illusions d’optique. l’œil capte une image mais au fond de nos yeux elle est inversée, sans relief, composée de couleur changeante, une image donc de très pauvre qualité, c’est ici que le cerveau intervient pour tout remettre en place pour nous donner une vision cohérente du monde qui nous entoure mais parfois il cherche

complémentaire : Les élèves ont écrit un sonnet dans le cadre d’un concours organisé au sein de l’établissement. Lectures personnelles : Poèmes étudiés : Texte 1 Charles Baudelaire- Parfum exotique, Les Fleurs du mal, 1857. Quand, les deux yeux fermés, en un soir chaud d'automne,Je respire l'odeur de ton sein chaleureux,Je vois se dérouler des rivages heureuxQu'éblouissent les feux d'un soleil monotone ;Une île paresseuse où la nature donneDes arbres singuliers et des fruits savoureux ;Des

est plus fort que la parole. La description de Miette à travers les yeux de Silvère est certes très pudique, mais elle éveille le désir. C’est une phase descriptive, nous sommes dans la durée. Des termes positifs et des verbes d’étonnement sont utilisés. Un certain rythme est respecté, grâce à une alternance du nombre de mots, pouvant correspondre aux battements du cœur, à une situation sentimentale. Adorable tête/Grands yeux noirs/Bouche rouge/Etonnaient, remuaient singulièrement.