Effets Negative Et Positive Des Gains De Productivité

traduit par une baisse de PIB. Comment prendre en compte les produits nouveaux ? L’amélioration de la qualité ? (cf doc.3 p.16) • Pourquoi PI Brut et pas PI Net (PIB – amortissements = PI Net) ? =>impossibilité de mesurer les amortissements. Effets pervers de la croissance. Problématique du dvt durable. • Taux de change => comparaisons fluctuantes. Quand l’€ est passé, en deux ans, de 1$ à 1,5$, le PIB / habitant européen, mesuré en $, a augmenté de 50% ! On peut choisir une année de base

vraie car elle reste réfutable à tout moment. Économie positive : L’économie positive peut mettre en œuvre une démarche réellement scientifique, c’est-à-dire qu’elle émet des hypothèses quant au comportement des agents économiques, puis elle cherche à déduire les conséquences logiques de ces hypothèses quant à l’évolution de grandes variables telles que les quantités, les prix, les revenus. Dans un deuxième temps, cette approche positive confronte les prévisions théoriques de ces modèles aux évolutions

post-industrielle » De plus la perception des inégalités par la société ne correspond souvent as avec les chiffres réels. Cette « peur du déclassement » définie par Eric Maurin, biaiserait donc les mesure de ces inégalités et leur interprétation. En effet, la grande angoisse qui travaille la société française est la peur du déclassement. Cpdt E.Maurin (professeur de l’école d’économie de Pari)s est formel : le déclassement n’existe pas d’un point de vue statistique. En moyenne l’ascenseur social n’est

facteurs de production. La croissance relève des gains de productivité. La croissance est un phénomène relativement récent, elle n’existe qu’à partir du 19ème siècle. La question de la croissance est centrale dans la pensée économique. Tous les auteurs à partir des classiques se sont penchés sur la question de la croissance, en particulier A. Smith. Pour ces auteurs, ce qui est au centre de la croissance est la question de la productivité. La productivité met en rapport la production avec la quantité

France dépend de plus en plus des exportations pour alimenter sa demande. Autrement dit, son coefficient d’ouverture est élevé. C’est bien car elle exporte mais c’est dangereux parce que le PIB se base de plus en plus sur la demande extérieure. En effet, l’affaiblissement du pouvoir d’achat en France grignote la demande intérieure. Autre problème : l’euro est fort donc les exportations sur lesquelles la France compte, ralentissent. Ces deux raisons peuvent expliquer la croissance molle de la France

des années 80 avant de s’affaisser en termes relatifs tout au long des années 90. Le Japon a connu, pour sa part, un revers de fortune analogue au cours des 15 dernières années. Il apparaît, avec le recul, que la très importante accélération de productivité observée aux États-Unis depuis 1995 ne s’est pas transmise aussi bien qu’on aurait pu l’espérer aux autres pays de l’OCDE. Ces déceptions ont été aggravées de surcroît en Europe par des politiques du marché du travail souvent inadaptées. Visant

très longtemps qu’il y a croissance ou pas => le déficit des recettes => l’Etat est très mal géré. On observe en longue période que les recettes de l’Etat sont toujours inférieurs à ses dépenses mais avec deux caractéristiques particulièrement négatives : 1 – les recettes longues sont souvent dépensées pour couvrir les dépenses courantes ; 2 – en période de croissance économique, il est rare que l’Etat profite de la dynamique des recettes fiscales pour rembourser sa dette. Comment sortir de cela 

pensions ; afin de garantir l’équilibre économique des systèmes de retraite, les réformes engagées doivent tenir compte de l’évolution des variables démographiques (fécondité, espérance de vie), des paramètres économiques (taux de chômage, gains de productivité, croissance de la masse salariale), mais résultent également de choix politiques (répartition de l’effort entre les salariés, entre les revenus du travail et du capital, etc.). Les deux grands types de régimes de retraite Le régime par répartition

et donc en concurrence). Droit de la concurrence moins stricte. 3°)La concurrence est un jeu à somme positive. Phénomène social qui crée de la valeur ajoutée. Théorie des jeux = outil mathématique (Nash), jeu considéré à somme nul : ce que l’un gagne l’autre perd ; jeu à somme négative : la rivalité donne naissance à un appauvrissement de tous les protagonistes (guerre) ; jeu à somme positive = l’interaction va créer un bien-être supérieur (la concurrence permet de faire grossir le gâteau mais

entre aide par exemple. Mais les économistes s'en fichent un peu de ça ! Est ce que la poursuite de l'intérêt personnel chez chacun peut mener à l'intérêt général bien constitué, de manière équilibrée ? Réponse du courant libéral : Réponse positive. Compatibilité entre la poursuite de l'intérêt personnel et l'intérêt général. Cet état d'harmonie est appelé l'équilibre. Toute action économique trouve son but, tout le monde est satisfait. Il faut donc laisser les individus agir librement puisque