Église hussite

Croyance en une vie après la mort - Amour de son prochain --> Histoire déjà riche : - vers 33 = Passion du Christ - 49 = concile de Jérusalem, judaïsme - 313 = libre exercice dans Empire Romain - 1054 = schisme (séparation) Eglise d'Orient / Occident - 1378-1415 = "Grand Schisme" (avec deux papes) en Occident (2ème Pape, papauté à Avignon sous le Roi François) Le XVIe s en Europe : dans le contexte du déplacement de la Renaissance et de l'humanisme, être qualifié

par Charlemagne, donne lieu à la croisade des Albigeois, à la naissance du tribunal de l'Inquisition sous le pape Grégoire IX et aux guerres hussites. 3.3.2. Manifestations de la foi catholique Des milliers de fidèles répondent aux appels à la croisade ou se lancent sur les chemins de pèlerinage. Des sommes considérables sont engagées pour ériger des églises. 3.3.3. L'Église catholique L'Église catholique perçoit des impôts tels que la dîme. Elle reçoit des dons en terres, en meubles ou en argent

diocèse. Le pape, évêque de Rome, jouit seulement d’une prééminence formelle sur ses pairs, comme détenteur du trône de saint Pierre à qui le Christ est censé avoir confié la direction de l’Église. L’idée d’un gouvernement ecclésiastique ou d’une Église monarchique dirigée par le pape ne se développe pas au cours des premiers siècles du Moyen Âge. L’Église se voit elle-même comme la communauté spirituelle des chrétiens, exilés du royaume de Dieu, attendant dans un monde hostile le jour de la délivrance

(concile de Florence, 1438-1445). À la fin du XIVe et au début du xve siècle, les moines éthiopiens essaiment sur la route qui, par la Nubie, va jusqu’au Caire et aux Lieux Saints. On trouve leurs traces à Dongola, sans doute fréquentent-ils les églises de Nubie. On les trouve aux grands couvents de Sohag, et ils ont une communauté au couvent égyptien d’El-Moharrak. Ils entretiennent des prieurés au Caire, dans le quartier chrétien de Harat-Zoueïlah et aux couvents du Ouadi Natroun (peinture). Ils

leur époque : la religion. La rupture ne peut alors s’expri- Il nous plait de lire des histoires de pauvres s’emparant des armes de leurs ennemis, d’imaginer une ribambelle de curetons rejoignant plus tôt que prévu leur Dieu, de savoir que des églises furent prises dans les flammes bien réelles d’une révolte de leurs ouailles. Voilà de quoi est fait l’incendie millénariste, de moments de réappropriation et de partages, de pillages et de destructions de biens et de vies d’exploiteurs et de nantis

ottoman en méditerranée (Rhodes prise en 1522) et sur le Danube (prise de Belgrade en 1521, défaite des Mohacs en 1526, devant Vienne en 1529). Moscou reste le seul endroit en orient où l'église orthodoxe reste puissante et indépendante, mais c'est une église qui fait scission avec la chrétienté de l’Europe occidentale et qui se gère indépendamment de cette dernière. La chrétienté au XVI° ne concerne donc que la partie occidentale de l’Europe. L'islam est quant à lui le grand adversaire de la chrétienté

moins engagés dans des luttes fratricides. Nombreuses furent les congrégations et églises sociniennes à se créer en Pologne à cette époque. Lelio Sozzini décéda prématurément, de retour à Zurich, en 1562, mais son neveu, Fausto Sozzini, reprit le flambeau familial et continua à promouvoir son idéal tout en luttant désespérément contre l’Inquisition. Les persécutions le forcèrent à se réfugier en 1579 auprès des églises sociniennes de Pologne. Sa présence dans cette sorte de seconde patrie de la pensée

marxiste et révolutionnaire. Dans une démarche similaire à celle d’Engels, il distingue deux courants sociaux opposés : d’une part, la religion théocratique des églises officielles, opium du peuple, appareil de mystification au service des puissants ; de l’autre la religion clandestine, subversive et hérétique des Cathares, des Hussites, de Joachim de Flore, Thomas Münzer, Franz von Baader, Wilhelm Weitling et Léo Tolstoï.. Dans ses formes protestataires et rebelles, la religion est une des formes

engagés dans des luttes fratricides. Nombreuses furent les congrégations et églises sociniennes à se créer en Pologne à cette époque. Lelio Sozzini décéda prématurément, de retour à Zurich, en 1562, mais son neveu, Fausto Sozzini, reprit le flambeau familial et continua à promouvoir son idéal tout en luttant désespérément contre l’Inquisition. Les persécutions le forcèrent à se réfugier en 1579 auprès des églises sociniennes de Pologne. Sa présence dans cette sorte de seconde patrie de la

d'une protection, entrent aussi envassalité et n'échappent pas à l'intégration dans l'univers féodal. Ne pouvant, du fait de leur vocation religieuse, remplir les obligations militaires, ils ont, depuis les temps carolingiens, confié la gestion des églises et des abbayes à des avoués laïques. Ceux-ci se sont peu à peu approprié les domaines ecclésiastiques, ainsi menacés de dissolution par les partages successoraux. En France, le transfert de l'autorité publique entre les mains des châtelains se poursuit