El Burlador De Sevilla Texte Espagnol

homme espagnol était connu pour son libertinage, pour son absence totale de moralité et son défi aux autorités et aux valeurs de l’époque. Il commit une faute de trop en enlevant une jeune à un couvent en lui promettant le mariage, en la séduisant, en la déshonorant puis en l’abandonnant. Les ,moines furent outrés, l’assassinèrent et firent disparaître le corps, racontant ensuite qu’il avait été foudroyé par le Ciel et entraîné en enfer. · Triso de Molina écrit alors El Burlador

DOM JUAN DE MOLIERE LE TITRE Dom Juan est le protagoniste éponyme de cette pièce. Le titre nous donne une double information géographique et sociale : la noblesse espagnole. L’orthographe « dom » vient du latin dominus. Le sous-titre « ou le Festin de pierre » est en revanche énigmatique. Il fait référence à l'épisode final où la statue invite Dom Juan.DOM JUAN UN PERSONNAGE DEVENU MYTHE Dans le sens courant, un « Dom Juan » est un séducteur, homme à femmes, libertin, etc. Le nom propre est devenu

se repentir. Mais les Cronicas de Sevilla et les archives des familles Tenorio et Ulloa sont muettes. Les noms des personnages ne sont pas fictifs, il a bien existé un don Juan Tenorio, ou un don Alonso Tenorio mais nulle part il n'est fait mention d'une disparition suspecte, encore moins du miracle de la statue de pierre qui s'anime pour punir un débauché. Premier auteur : Il est beaucoup plus vraisemblable de croire que le succès de la pièce du moine espagnol frère Gabriel, plus connu sous le

est un mythe occidental moderne qui n’en finit pas de trouver des résonances idéologiques dans les époques successives que la prospérité lui fait traverser. Molière s’est inspiré du personnage principal El Burlador de Sevilla y Convidado de piedra de Tirso de Molina sauf que ce Dom Juan espagnol, qui passe son temps à renier Dieu et séduire les femmes, demande à se confesser avant sa mort lors du dénouement. Après la pièce de Tirso de Molina, l’Abuseur de Séville (1630), celle de Molière (1665) a

et Orgon, Dom Juan et son valet Sganarelle, Argan le malade imaginaire… Son œuvre écrite sur près de vingt années (1655-1673) se révèle d'une très grande variété et se montre en même temps sous-tendue par une maîtrise efficace du jeu scénique et du texte de théâtre révélant l'homme de scène qu'il était avant tout et qui a continué à jouer malgré la maladie jusqu'à son dernier jour survenu à l'âge de 51 ans, le 17 février 1673. Molière demeure depuis le XVIIe siècle le plus joué et le plus lu des auteurs

pièces suivantes : la faveur du Roi est inconstante. Le Misanthrope, qui date de 1666, témoigne de son amertume. Les sources de Molière Quand Molière s'empare du thème de Dom Juan, celui-ci est à la mode : en 1625, l'auteur espagnol Tirso de Molina a écrit El Burlador de Sevilla y Convidado de piedra (Le Trompeur de Séville et le convive de pierre) ; deux versions italiennes en ont été tirées, de Cicognini et de Giliberto, dont la seconde a servi de modèle à deux tragi-comédies françaises de Dorimond

de se repentir[4]. Mais les Cronicas de Sevilla et les archives des familles Tenorio et Ulloa sont muettes. Les noms des personnages ne sont pas fictifs, il a bien existé un don Juan Tenorio, ou un don Alonso Tenorio mais nulle part il n'est fait mention d'une disparition suspecte, encore moins du miracle de la statue de pierre qui s'anime pour punir un débauché[3]. Il est beaucoup plus vraisemblable de croire que le succès de la pièce du moine espagnol frère Gabriel, plus connu sous le nom de

personnages sont réels (ils ont vraiment existés), on ne retrouve pas de trace de la disparition de Don Juan. C’est pour cela que l’on attribue l’origine de ce mythe légendaire à Tirso de Molina. Ce dramaturge espagnol a écrit la pièce originelle de Don Juan, intitulée El Burlador de Sevilla y Convidado de piedra (L'abuseur de Séville et le Convive de pierre) et parue en 1630. Cette pièce met en avant la perversion des hommes et des femmes. Ces dernières sont moralement condamnées et Don Juan

Juan signifie être un grand séducteur, un homme sans scrupule, toujours en quête de conquêtes féminines, n’ayant pas grande considération de la gent féminine. B. Existence potentiel d’un véritable personnage Don Juan Tenorio serait un seigneur espagnol ayant vécu au  XVIème siècle. Un jour Il enleva la fille du Commandeur Ulloa. Après avoir déshonoré la jeune fille, il l’abandona et tua le Commandeur Ulloa au cours d’un duel. Quelques années plus tard lors d’un voyage, Don Juan Tenorio s’arrêta

Villamediana, qui eut un grand nombre de liaisons avec des femmes de toutes conditions, et périt mystérieusement assassiné ; — et bien d’autres auxquels l’imagination populaire prêta les aventures les plus rocambolesques. c. La cristallisation espagnole Avant que le personnage reçoive le nom sous lequel il est actuellement connu et n’affronte son destin classique, trois pièces sont jouées en Espagne qui mettent en place certains de ses traits : — Histoire du Comte Léoncio, jouée en 1615 —