Electre Acte 2 Scène 9

d’ensemble d’une œuvre dramatique. (MCH) Il est remarquable que pour souligner le lien entre ses trois pièces Le Barbier de Séville, Le Mariage de Figaro, La Mère coupable, Beaumarchais utilise des mots de romancier “Le roman de la famille Almaviva” 2 Absence de description du personnage dramatique Caractère énigmatique du personnage Le perso n’existe que dans le dialogue, CLOV : A quoi est-ce que je sers ? HAMM : A me donner la réplique

que soient ces différences d’époque et de genre, ces trois extraits mettent en scène une relation complexe entre maîtres et valets, que nous nous proposons d’étudier. Nous pouvons remarquer que dans les trois extraits, il est question de maltraitance, et notamment de coups de bâton donnés par le maître à son valet. Dans La Marmite de Plaute, Euclion bat sa servante : « Pourquoi me bats-tu ? demande Staphyla à Euclion, l. 2 ; puis il menace de la battre davantage : « Sais-tu bien ce qui l'attend ? Si

délibérer. Ce sujet abordera plus particulièrement le thème des comportements excessifs. Corpus : Texte A : Article du Monde 2, 19 février 2005 Texte B : La Santé, Hors série n°48 Texte C : Paul Morand, Apprendre à se reposer (1937) Texte D : La Fontaine, L’Homme qui court après la Fortune, et l’homme qui l’attend dans son lit (extraits), Fables (1668). Texte A - Article du Monde 2, 19 février 2005 Vivre sans portable, c’est refuser d’être sonné comme on siffle son chien. C’est aussi refuser de tout

théâtre classique 8 e) Le drame romantique 9 f) Le théâtre de l’absurde 10 g) Le living theatre 11 II. Lieux de représentation 13 a) Les différents lieux de représentation 13 b) La scénographie 14 III. Evolution du rôle du metteur en scène 15 IV. Evolution de la mise en scène 16 a) Les lumières 16 b) Le son 20 c) Décors et accessoires 20 V. Metteurs en scène connus 21 a) Les importants metteurs en scène de l’antiquité 21 b) Les importants metteurs en scène du Moyen-Age 21 c) Les importants metteurs

Comme ceci, les prunelles ? Mercure Non, non, pas de phosphore(1)… Changez ces yeux de chat ! On voit encore vos prunelles au travers de vos paupières quand vous clignez… On ne peut se voir dans ces yeux-là… Mettez-leur un fond. Jupiter L'aventurine(2) ne ferait pas mal, avec ses reflets d'or. Mercure À la peau maintenant ! Jupiter À ma peau ? Mercure Trop lisse, trop douce, votre peau… C'est de la peau d'enfant. Il faut une peau sur laquelle le vent ait trente ans soufflé, qui ait trente ans plongé

de tout ce qui, privé d’elle, perdait la chaleur et le goût de vivre. Elle n’a jamais su qu’à chaque retour l’odeur de sa pelisse en ventre-de-gris 1 , pénétrée d’un parfum châtain clair, féminin, chaste, éloigné des basses séductions axillaires 2 , m’ôtait la parole et jusqu’à l’effusion. D’un geste, d’un regard elle reprenait tout. Quelle promptitude de main ! Elle coupait des bolducs 3 roses, déchaînait des comestibles coloniaux, repliait avec soin les papiers noirs goudronnés qui sentaient

la tristesse qui console, "que renferment l'art, la poésie et même la joie des Grecs de l'Antiquité." Tel serait le paradoxe de la "grâce tragique". À présent, il faut s'attacher au spectateur: compassion du spectateur antique et moderne, mise en scène de la culpabilité tragique à laquelle il réagit. Le spectateur antique ressent une peine véritable, le moderne une souffrance vraie. Ce qui les sépare est le concept et la présentation de la culpabilité. La peine des Grecs serait "douce et profonde"

2 Le théâtre : texte et représentation de metteur en scène, comédien, voire technicien du théâtre à l’aide de documents écrits ou audiovisuels. Dans le manuel de l’élève, le chapitre 2 comporte deux séquences, consacrées l’une à la mixité des genres et des registres (la tragi-comédie, la comédie-ballet, l’évolution du drame, le mélange des registres), l’autre à l’art de la scène (à travers les composantes du spectacle théâtral, l’espace et les accessoires, la double énonciation, le procédé du

dithyrambique, le nome, la tragédie et la comédie. La différence alors vient de ce que les uns les prennent tous ensemble, les autres séparément. Telles sont les différences entre les arts, qui tiennent aux moyens de réaliser la représentation. CHAPITRE 2 Puisque ceux qui représentent représentent des personnages en action, et que nécessairement ces personnages sont nobles ou bas (les caractères relèvent presque toujours de ces deux seuls types puisque, en matière de caractère, c’est la bassesse et

Saison 2009/2010 Compagnons Création Les Fausses Confidences de Marivaux mise en scène Didier Bezace avec Pierre Arditi, Alexandre Aubry, Christian Bouillette, Jean-Yves Chatelais, Anouk Grinberg, Robert Plagnol, Isabelle Sadoyan et Marie Vialle collaboration artistique Laurent Caillon assistante à la mise en scène Dyssia Loubatière scénographie Jean Haas costumes Cidalia Da Costa lumières Dominique Fortin perruques et maquillages Cécile Kretschmar construction décor Atelier François Devineau