Electre Acte I Scène 8

Sénèque le langage poétique et l’action simple. Cependant, la tragédie du siècle classique doit répondre à plusieurs règles. Premièrement, elle doit être écrite en vers dans une langue soutenue. Deuxièmement, elle doit comporter cinq actes (le premier acte étant celui de l’exposition, les trois suivants faisant progresser l’action dramatique et le dernier contenant le dénouement toujours malheureux). Troisièmement les personnages doivent être d’un statut social élevé (prince, roi) et l’action doit se

L4 « sondé le gué »+ « la rive »/ L5  « passer de l’autre coté » / L8 «promenade » / L9 « chemin » / L10 « piste » / L11 « route » exprime le vagabondage (de l’esprit). 7. L14 « cent membres et visages » représente un monstre protéiforme. 8. L15 « lécher »+ « effleurer » métaphore lécher différents d’effleurer. Fonctions explicative et humoristique Montaigne utilise a la ligne 1 la comparaison entre « le jugement » qui est une faculté de l’esprit et « un outil », un objet qui n’a

texte et représentation » Problématique : Comment porter sur scène la révolution romantique ? Lectures analytiques : L.A n°1 (Acte I, scène 1) : l'exposition L.A. n°2 (Acte II, scène 2) : le monologue de la reine L.A. n°3 (Acte III, scène 2) : la tirade de Ruy Blas, de « Bon appétit, messieurs – ô ministres intègres ! » jusqu'à « Babel est dans Madrid. » L.A. n°4 (Acte IV, scène 2) : Don César ou l'intermède burlesque L.A. n°5 (Acte V, scène 4) : le dénouement. Documents complémentaires : Art poétique

attitudes en face de l'existence, à des émotions fondamentales". 7 Visée Chaque registre est lié à une attitude, un affect fondamental que l’auteur veut faire éprouver au lecteur. Le pôle de la réception est donc essentiel dans l'analyse des textes. 8 Les registres servent en effet " les finalités de la littérature : transformer notre savoir, nos pulsions et notre pratique du monde ". 9 NB : Remarquons cependant que les registres débordent nécessairement le cadre littéraire, "chaque registre mettant

.....................................  16   CORNEILLE,  CINNA,  I,  3.  (1640)  .....................................................................................................................  17   MOLIERE,  L'ECOLE  DES  FEMMES  (1662),  ACTE  III,  SCENE  2.  ................................................................  18   MOLIERE,  DOM  JUAN,  ACTE  II,  SCENE  1  (1662)  ......................................................

metteur en scène et l'acteur par l'auteur. -Distribution : La répartition des rôles (=castings) -Dithyrambe : C'est une cantique lyrique à la gloire du Dieu Dionysos et il serait a la base de la naissance de la tragédie grecque. -Divertissement : (= intermède) Ils étaient à l'époque de Molière sous forme de chansons, danses, musiques. -Dramaticité : C'est le caractère de ce qui est dramatique, et la qualité de l écriture et qui plus tard débouchera sur la qualité de mise en scène. -Dramaturge

de Molière mise en scène Marc Paquien avec Anne Caillère, François De Brauer, Eric Frey, Jany Gastaldi, Nathalie Kousnetzoff, Matthieu Marie Daniel Martin, Pierre-Henri Puente Alix Riemer, Agathe Rouillier scénographie : Gérard Didier lumières : Dominique Bruguière son : Anita Praz costumes : Claire Risterucci maquillages et coiffures : Cécile Kretschmar collaboration artistique : Daisy Amias. 24 janvier >>> 19 février mardi, mercredi, vendredi, samedi 20 h 30, Jeudi 19 h 30 dimanche

classification comme au XIXe s., mais chaque auteur introduit des aspects que lui sont propres. Le réalisme - Le réalisme au XXe s. n’est plus un courant homogène. Le courant pur n’existe pas et la pureté esthétique devient une notion de base. I. Aspects qui rattachent les auteurs du XXe s. au courant réaliste : 1. Le roman au XXe s. se veut un roman documentaire qui cherche a présenter la société en s’appuyant sur une investigation minutieuse de la réalité sociale (ex. des documents détaillés

années, (l.8) des siècles. Forcez-les à s’embrasser, vous autres, sinon dans l’heure elle (l.9) sera la Folle de l’Alma et à lui il poussera une barbe blanche… Bravo ! (l.10) Que n’avez-vous été là voilà trente ans. Je n’y serai pas aujourd’hui. Mon (l.11) cher sourd-muet, taisez-vous. Vous nous cassez les yeux. Irma n’est plus là (l.12) pour vous traduire. (l.13) Irma, des bras de Pierre Il dit que nous nous embrassons. (l.14) La Folle Rien ne lui échappe. Merci sourd-muet. (l.15) Acte II, La

Essais, Montaigne, Livre II, ch. 5, « Sur la conscience » (de « C’est une dangereuse invention » à « Condamnation qui sert d’instruction au procès ! ») Lettres persanes, Montesquieu, Lettre XII, texte intégral. Le Mariage de Figaro, Beaumarchais, acte V, scène 3, texte intégral. La Nef des fous, Jérôme Bosch Éloge de la folie, Érasme, ch. 45-46 Au choix, groupement de textes sur l’utopie, extraits de : Utopia, Thomas More ; Gargantua, Rabelais ; Supplément au voyage de Bougainville, Diderot ; W ou le