Electre Acte I Scène 8

parterre pour vous attirer, pas un bassin autour duquel tourner, pas un ancrage pour l’imagination dans cette géométrie droite, sinon à un bout le parc à bagnoles, et à l'autre un chantier de terrassement avec grues el bulldozers. En fond de scène sur le ciel bleu, un décor de cubes et de parallélépipèdes qui écrasait, mal, le souvenir des bidonvilles et des cahutes banlieusardes. Comment ne pas se désoler dans ce vide ? R. IKOR, Le Tourniquet des innocents, Éd

Marivaux) sont des comédies. La troisième (En attendant Godot de Samuel Beckett) fait partie du théâtre de l’absurde et peut être considérée comme une farce tragique. Quelles que soient ces différences d’époque et de genre, ces trois extraits mettent en scène une relation complexe entre maîtres et valets, que nous nous proposons d’étudier. Nous pouvons remarquer que dans les trois extraits, il est question de maltraitance, et notamment de coups de bâton donnés par le maître à son valet. Dans La Marmite

ménages et de tout ramasser. C’étaient, alors, des fêtes à n’en plus finir : des goûters dans le labyrinthe de buis 8 ; des promenades à dos de mulets dans le parc ; des jeux sur les terrasses et, en cas de pluie, pour calmer le fourmillement de jambes de tout ce petit monde, des sortes de bamboulas 9 dans les grands 7. Inexpugnable : qu’on ne peut pas prendre par la force. 8. Buis : arbuste. 9. Bamboula : fête. 6 Sujet 1 – Le sujet 10 15 20 25 combles 10 du château dont

sont deux genres irréductibles. I Le système dramatique Le théâtre est un art de la mimêsis, Platon mimêsis = le poète fait parler ses perso. diégésis = “ parle en son nom. I.A Le dialogue ou la double médiatisation du discours I.A.1 Absence de discours commentatif Dans le poème dramatique il faut que le poète s’exprime par la bouche des acteurs ; il ne peut y employer d’autres moyens (D’Aubignac, La Pratique du théâtre, livre I) Les idées de l’auteur ? On ne

historique […] est subjectif et arbitraire. […] Même où le mythe réponde à un problème justement historique […], il peut au maximum être comparé, dans son développement général, à l’histoire reconstituée du point de vue archéologique et linguistique. »[8] Cela nous suffit donc pour répondre à notre question initiale : même si dans la recherche scientifique on a souvent envisagé que parties essentielles de la saga représentent une tradition historique croyable, à notre avis, la guerre de Troie doit

aux acteurs et au metteur en scène les différents déplacements, gestes, mouvements, mimiques, tons de voix à adopter au cours de la représentation. Elles sont en général écrites en italique. Elles disparaissent donc du texte de la représentation et se transforment alors en éléments du jeu. • Elles sont une façon pour l’auteur de suggérer ou d’imposer des détails de mise en scène et limitent la marge de liberté et l’inventivité, l’originalité créatrice du metteur en scène et des interprètes. • Elles

double médiatisation du discours 1 Absence de discours commentatif Dans le poème dramatique il faut que le poète s’exprime par la bouche des acteurs ; il ne peut y employer d’autres moyens (D’Aubignac, La Pratique du théâtre, livre I) Les idées de l’auteur ? On ne peut que rarement les dégager de la pièce (un peu avec le théâtre engagé, Sartre) L’auteur et ses perso Le théâtre, quoique hypostasiant le « je » puisque

1ère S4 Année scolaire 2014-2015 Sommaire I. Approche chronologique 4 a) Le théâtre grec antique 4 b) Le théâtre au Moyen-Age (mystères et farces) 5 c) Le théâtre élisabéthain 5 d) Le théâtre classique 8 e) Le drame romantique 9 f) Le théâtre de l’absurde 10 g) Le living theatre 11 II. Lieux de représentation 13 a) Les différents lieux de représentation 13 b) La scénographie 14 III. Evolution du rôle du metteur en scène 15 IV. Evolution de la mise en scène 16 a) Les lumières 16 b) Le son 20 c) Décors

la tristesse qui console, "que renferment l'art, la poésie et même la joie des Grecs de l'Antiquité." Tel serait le paradoxe de la "grâce tragique". À présent, il faut s'attacher au spectateur: compassion du spectateur antique et moderne, mise en scène de la culpabilité tragique à laquelle il réagit. Le spectateur antique ressent une peine véritable, le moderne une souffrance vraie. Ce qui les sépare est le concept et la présentation de la culpabilité. La peine des Grecs serait "douce et profonde"

février 15 février Forum gastronomique Paris Boulevard raspail 18 février 28 aout Mexique : les cultures antiques de Veracruz Saint Romain en Gal Musée gallo-romain de Saint Romain en Gal/Vienne w w w . a n n e e d u m e x i q u e . c o m Programme susceptible de changements Dates données à titre indicatif 1 DEBUT FIN TITRE VILLE LIEU 22 février 1 er mars Festival Travelling Rennes 22 février 1 er mars Semaine gastronomique au Festival