Electre Et Vengeance

un frère, un père: Antigone, Andromaque, Cassandre, Hécube, Electre, héroïnes deven encore. Beaucoup d'autres femmes, tout le long de l'histoire, ont traversé de pareils cauchemars. Malgré sa jeunesse, malgré la sève de jouvence qui coule dans son corps et dans son âme, elle ne pourra pas ressusciter les cadavres de son père et de son fiancé. Tout comme les héroïnes troyennes, elle ne pourra que pleurer sur leurs corps et crier vengeance, face à un destin inéluctable, absurde, qui, sans discernement

n'apparaît plus que de façon exceptionnelle. « oudev pros dionusov » Néanmoins, la vie des hommes est imprégnée par la volonté divine et se manifeste sous différentes formes : statues, oracles, chants du choeur, rêves prémonitoires et la nemesis. (vengeance divine sur l'orgueil, argent, bonheur, de l'homme) Les dramaturges grecs : Les premières représentations théâtrales datent de 534 av JC, sous Pysistrate, lors des Dyonisies (fêtes en l'honneur de Dionysos). Le plus ancien dramaturge grec se nomme

« s’asseyant » (l.7) nous renseignent sur le fait que le personnage est en continuel mouvement sur scène, traduisant ainsi son agitation. Dans la pièce du Cid de Corneille, le soufflet du conte qui humilie Don Diègue déclenche la logique tragique de la vengeance. Mieux qu’une parole, ce geste exprime la colère. Dans le registre du comique, Molière a très souvent recours au geste du soufflket pour exprimer l’exaspération des personnages. Ainsi, les gifles abondent dans la scène ou *Don Juan est au prises

Ouranos empeche gaia d'accoucher, mais Kronos unn des titans va mettre fin a ca en tranchant la bite de son père et les gouttes de sang font naitre les Erynies qui sont des déesses de la malédiction qui vont punir les crimes comis , déesses de la vengeance . Vont naitre également de ces gouttes de sang les méliai qui président a la guerre et enfin aphrodite ou Vénus . Cet acte de violence entre gaia et ouranos va faire naitre un espace entre le ciel et la terre durant la libération.. Le cours du temps

la mort ni vous-même, Ne me ferez jamais prononcer que je l’aime, Puisque je n’aimerai que vous. » - « L’amour le plus discret Laisse par quelque marque échapper son secret. » IPHIGENIE - RACINE -« Juste ciel ! C’est ainsi qu’assurant ta vengeance Tu romps tous les ressorts de ma vaine prudence ! » - « Va, dis-je, sauve-là de ma propre faiblesse. » - « Cependant par un sort que je ne conçois pas Votre douleur redouble et croît à chaque pas. »   XVIIIe Siècle CANDIDE- VOLTAIRE -

• Un album de photo • Pardonner ¹ Oublier (dans le pardon, la passion de l’origine est affaiblie ou disparue) • Un mémorial ou monument du souvenir • Le « temps de la réflexion » (« la nuit porte conseil ») • Regret, remords, nostalgie, vengeance, revanche…   • Expression « essentielle » : qu’est-ce qu’une passion pour être encore suscitée par le passé ? • Expression « stratégique » : Pourquoi / alors que non   L’avenir n’est-il qu’une page blanche ?   • Sophocle Oedipe-roi

reconnaît dans l ’Agamemnon , des circonstances atténuantes liées au sacrifice d’Iphigénie, cependant vite oubliées par les traits du caractère de Clytemnestre qui passent pour être viriles. Nous y reviendrons. Dans l’ Electre , de Sophocle, elle ne joue qu’un rôle secondaire. Cependant, la condamnation de la meurtrière est générale parce qu’elle révèle ce que la femme peut avoir de plus effrayant pour un homme : le meurtre planifié du héros de la guerre de

verrait la violence d’un côté et la justice de l’autre. » (pensée 85) La force est source légitime d’autorité ; pour faire respecter les lois et imposer une justice, une autorité est nécessaire, et pour cela, il faut de la force. - Eschyle : Electre est le personnage de l’Orestie qui correspond le mieux à cette affirmation ; elle voudrait rendre justice à son père mais est incapable de le faire car elle ne possède pas le pouvoir nécessaire : « Ma vie est celle d’une esclave » (Choeph., v.135)

(tragédie, comédie, drame satyrique) mais leur rôle reste identique : il s'agit de faciliter l'identification des acteurs. En effet, un même acteur peut jouer plusieurs rôles au sein d'une même pièce, parfois très différents. Ainsi, dans les Choéphores, Electre porte un vêtement de deuil. Le même personnage porte des haillons dans l’Electre d‘Euripide. Les textes des pièces ne comprennent aucune indication de costume, mais il est possible de relever des allusions pertinentes dans le texte luimême. Les acteurs

adapter. Premièrement, les personnages sont toujours les mêmes : Robinson reste toujours un des personnages principales dans pratiquement toutes les versions que l’on a écrites. Le caractère de ceux-ci ne varie pas, Electre, par exemple, est toujours animée par l’esprit de vengeance chez Eschyle Giraudoux ou Sartre. D’autre part, leur relation avec les autres personnages n’est également pas modifiée: Sganarelle demeure le faire-valoir de Don Juan. Deuxièmement, les situations restent toujours semblables