Éléments remarquables d'un triangle

sémantique des formes : voir le site du groupe « Informatique graphique et Géometrie » de l’Université de Princeton et aussi la Page de Thomas Lewiner (Calcul des invariants géométriques) • La partie « 3.1 Invariance aux rotations » dans l’article : Eléments finis robustes pour l’animation interactive de solides déformables • Reconnaissance de formes par invariants complets et convergents ; Application à l’indexation de bases d’objets à niveaux de gris Génie logiciel et Algorithmique • • • Introduction

l’anatomie de l’œil réel et sa mise en correspondance avec le modèle de l’œil réduit. Après avoir énoncé les propriétés des rayons de lumière traversant une lentille mince convergente, l’élève détermine graphiquement la position et la taille de l'image d'un objet-plan pour différentes positions de ce dernier. La relation de conjugaison des lentilles minces est introduite lors d’une démarche d’investigation dans laquelle l’élève modélise le comportement d’une lentille mince convergente à partir d’une série

L’étoile Flamboyante 1] IntroductionLe Ciel a toujours été un formidable pourvoyeur de symboles : le Soleil, la Lune et les étoiles. De ces dernières, l’Etoile à 5 branches est la plus usitée bien qu’on en retrouve d’autres, à 6, 7 ou même plus comme celle des princes des Baux qui en comportent 16 !On retrouve l’Etoile dans le Judaïsme avec l’Etoile de David, dans l’Hindouisme préfigurant Brahma le dieu créateur. Egalement en Egypte où l’on vénérait Sirius dont

10 + 1 = 11 . Contrairement à la numération égyptienne, l’ordre dans la disposition des symboles a de l’importance ici. • Il existe un symbole pour 1, 10, 100, 1 000, il s’agit donc d’un système en base 10 utilisant la base 5 comme base auxiliaire (puisqu’il y a des symboles pour 5, 50 et 500). Il ne s’agit pas d’un système en base 5 puisqu’il n’y a pas de symbole pour 5 2 = 25 par exemple. Les règles de la numération romaine sont les suivantes : Pour lire un nombre en numération romaine Remplacer

Livre 2008, Mathématiques 3e, collection PHARE, livre du professeur. La photocopie non autorisée est un délit. > GéoMéTrie 12 Le théorème de thalès et sa réciproque . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 187 13 trigonométrie dans le triangle rectangle . . . . . . . . . . . . . . . . . . 205 14 angles inscrits - Polygones réguliers . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 222 15 géométrie dans l’espace . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .

La géodésie La géodésie consiste à repérer très précisément les uns par rapport aux autres des points de la surface terrestre matérialisés sur le terrain (points géodésiques). Les angles et les distances entre ces points, disposés en un réseau de triangles, sont mesurés optiquement avec une précision de l’ordre du centimètre pour dix kilomètres : cette opération, la planimétrie, est réalisée par triangulation. L’altitude de ces points est établie au centimètre près par des mesures de nivellement. En

Circuits monophasés et puissances électriques 12 1.2.1 Énoncés 1.2.2 Correction des exercices 12 15 Synthèse de cours n° 2 : Systèmes triphasés 20 1.3.1 Système triphasé : les bases 1.3.2 Puissances en triphasé 1.3.3 Schéma équivalent monophasé d’un système équilibré 20 24 25 Série d’exercices n° 2 : Circuits triphasés 25 1.4.1 Énoncés 1.4.2 Correction des exercices 25 30 X Exercices et problèmes d’électrotechnique 1.5 Problème n° 1 : Charges monophasées et triphasées 1.5.1 Énoncé 1

.......................................................................17 B - DEFINITION DE L’OBJECTIF FIXE PAR LA COMPAGNIE ...........................................................................................17 C - CHOIX DES ELEMENTS VARIABLES ET DES ELEMENTS DETERMINISTES...........................................................17 D - SIMULATIONS .............................................................................................................................................

sensibles (B. 743). La mathématique ne peut avoir pour objets que les concepts qu’on peut construire, à savoir la figure , détermination d’une intuition a priori dans l’espace, la durée , division du temps, et le nombre , résultat général de la synthèse d’un seul et même objet dans l’espace et dans le temps, qui par suite mesure la grandeur d’une intuition (B. 752). Ainsi c’est la méthode, et non l’objet, qui distingue essentiellement la mathématique de la métaphysique, et c’est la méthode de la mathématique

. . 11 Probabilités . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 177 GéoMéTrie 12 Le théorème de thalès et sa réciproque . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 13 trigonométrie dans le triangle rectangle . . . . . . . . . . . . . . . . . . 14 angles inscrits - Polygones réguliers . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 15 géométrie dans l’espace 187 205 222 . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .