Élisabeth Roudinesco

2-01-279145-X Alain de Mijolla : "Freud, fragments d'une histoire : Qui êtes-vous Sigmund Freud ?", Ed. : PUF, 2003, ISBN 2-13-053360-4 Emilio Rodrigué : "Freud : Le Siècle de la psychanalyse" nouvelle Ed. : Payot, 2007, ISBN 978-2-228-90132-1 Élisabeth Roudinesco, Histoire de la psychanalyse en France. – Paris : Éditions du Seuil. Marthe Robert : La révolution psychanalytique, Ed : Payot ; Édition : Rééd.2006 ISBN 2-228-88109-0 Daniel Lagache, La Psychanalyse, Paris : Que sais-je n° 660. Daniel

femmes les plus riches d’Europe : Freud était l’un de ses multiples médecins et ne parvint pas à la soigner. Cäcelie M. Anna von Lieben. Son traitement, de 1887 à 1893, ne produisit aucune amélioration, et contribua plutôt à empirer son cas ; Elisabeth von R. Ilona Weiss, un cas célèbre : elle avait des douleurs dans les jambes, ce qui de toute évidence témoignait d’un refoulement névrotique d’un désir érotique pour son beau-frère…Finalement Freud l’a libéré et a dansé avec elle au bal – comme

de 6 à 18 mois. Mais cette fonction ne peut se mettre en place que par la présence de l'autre. En effet, pourquoi dire « je », s'il n'y a personne à qui l'opposer ? Le sujet est donc social, il a besoin de l'autre pour se constituer. Selon Elisabeth Roudinesco, « le stade du miroir est ainsi le moment ou l'état durant lequel l'enfant anticipe la maîtrise de son unité corporelle par une identification à l'image du semblable et par la perception de son image dans un miroir. » À un stade où l'enfant

après la cure, bien sûr. Mais encore une fois, le médecin donnait une liberté que ne donnait pas la loi. Ambigu sur la loi Quelle a été la position d’Olievenstein sur la loi de 1970 ? Dans l’article du Monde écrit à sa mort, la psychanalyste Élisabeth Roudinesco affirme qu’il était « opposé autant à la dépénalisation, qui favorisait la jouissance autodestructive des toxicomanes qu’à une politique répressive ». La jouissance autodestructive ? Je ne sais pas le discours qu’il lui a tenu. Il a su parler

Los Angeles. Outre son journal, elle a écrit des récits et des romans : La Maison de l’inceste (1936), Sous une cloche de verre (1944), Séduction du Minotaure (1961), Le Roman de l’avenir (1968). © Eyrolles Pratique Pour aller plus loin Barillé Élisabeth, Anaïs Nin, masquée, si nue, Paris, Robert Laffont, 1991. 29 Marguerite Yourcenar Femme de lettres française (1903-1987) « Tous nous serions transformés si nous avions le courage d’être ce que nous sommes. » 200 femmes de l’histoire Née à Bruxelles

journal, elle a écrit des récits et des romans : La Maison de l’inceste (1936), Sous une cloche de verre (1944), Séduction du Minotaure (1961), Le Roman de l’avenir (1968). Femmes de lettres Pour aller plus loin © Eyrolles Pratique Barillé Élisabeth, Anaïs Nin, masquée, si nue, Paris, Robert Laffont, 1991. 29 Marguerite Yourcenar Femme de lettres française (1903-1987) « Tous nous serions transformés si nous avions le courage d’être ce que nous sommes. » Née à Bruxelles d’une mère

Universitaires de France (Ecri- ture), 1987, p.171-177. PRINCE, Nathalie, dans Les Célibataires du fantastique : essai sur le person- nage célibataire dans la littérature fantastique de la fin du XIXe siècle, Paris, L’Harmattan, 2002, passim. ROUDINESCO, Elisabeth, « Le Horla, l’Unbewusste », dans Histoire de la psychanalyse en France : la bataille de Cent ans (1885-1939), Paris, Edi- tions du Seuil, t. I, 1986, p.76-54. SANGSUE, Daniel, « Fantômes horribles et risibles », Humoresques, 14, juin, 2001

Universitaires de France (Ecriture), 1987, p.171-177. PRINCE, Nathalie, dans Les Célibataires du fantastique : essai sur le personnage célibataire dans la littérature fantastique de la fin du XIXe siècle, Paris, L’Harmattan, 2002, passim. ROUDINESCO, Elisabeth, « Le Horla, l’Unbewusste », dans Histoire de la psychanalyse en France : la bataille de Cent ans (1885-1939), Paris, Editions du Seuil, t. I, 1986, p.76-54. SANGSUE, Daniel, « Fantômes horribles et risibles », Humoresques, 14, juin, 2001,

pour ses aspects hagiographiques[3]. Le premier biographe fut cependant Fritz Wittels, qui publie en 1924 Freud. L'homme, la doctrine, l'école. L'écrivain Stefan Zweig a lui aussi écrit une biographie enthousiaste de son ami Freud[F 1]. Selon Elisabeth Roudinesco, historienne lacanienne de la psychanalyse, c'est sans doute Stefan Zweig qui brosse le portrait de Freud le plus réaliste[4]. Le médecin de Freud, Max Schur, a également narré le rapport de Freud à la mort et à la maladie qui devait l'emporter

(dirs), Les Africains et l’emploi en France, Paris, Afrique Conseil, 1995. M UDIMBE Valentin Y. (dir.), The Surreptitious Speech, Présence Africaine and the Politics of Otherness (19471987), Chicago, University of Chicago Press, 1992. M UDIMBE -B OYI Elisabeth, « Harlem Renaissance and Africa, An Ambiguous Adventure », in M UDIMBE Valentin Y., The Surreptitious Speech. Presence Africaine and the Politics of Otherness (1947–1987), Chicago, University of Chicago Press, 1992. MUKENDI Philémon, « Racisme,