Elle était Déchaussée

d’Alphonse de Lamartine, Méditations poétiques. 1820 « La courbe de tes yeux… » Paul Eluard, Capitale de la douleur 1926 « Où que tu sois, je t’aime » André Velter, l’amour extrême. « Souvenir » Alfred de Musset, Poésies nouvelles, 1850 «  elle était déchaussée » Victor Hugo, Les contemplations, 1856 « Comme un chevreuil » Pierre de Ronsard, Amours de Cassandre, 1552 «  Et la mer et l’amour… » Pierre de Marbeuf, recueil de vers, 1628 Alphonse de Lamartine, Méditation poétiques (1820) Ce poème est

comme l’indiquent les deux premiers vers du second quatrain. 2) D’autres sont amoureux et l’expriment dans leurs textes. Victor Hugo en parle à travers Elle était déchaussée. Ici, les thèmes sont l’invitation à l’amour pour une mystérieuse jeune femme. La description physique de cette femme insiste sur son naturel « déchaussée, décoiffée, les pieds nus (v.1-2) « ses cheveux dans les yeux (v.16) » L’absence de société est un autre thème : « Et je lui dis: Veux-tu t'en venir dans les champs

utilisé pour mimer le mouvement de la femme qui avance : « Je vis venir à moi, dans les grands roseaux verts, / La belle fille heureuse, … » apporte de la fluidité et de la légèreté. V. Hugo commence son poème comme une comptine par un jeu de mots (déchaussée, décoiffée). On trouve aussi la répétition de l’invitation « veux-tu », de l’expression « elle me regarda » et du pronom personnel « elle ». On constate également que « belle » et « comme » sont réemployés à plusieurs reprises. Tous ces phénomènes

Si l’on compare les poèmes de Maurice Carême à ceux de Victor Hugo, on s’aperçoit qu’ils ont en commun le thème de la nature. Cependant, alors que Carême est imagier, Hugo utilise un registre lyrique. Elle était déchaussée, elle était décoiffée, Assise, les pieds nus, parmi les joncs penchants ; Moi qui passais par là, je crus voir une fée, Et je lui dis: Veux-tu t'en venir dans les champs ? Elle me regarda de ce regard suprême Qui reste à la beauté quand nous

poèmes du recueil 90 poèmes classiques et contemporains. Ensuite vous rédigerez une préface. CH. DE PISAN : «  Je ne sais comment je dure » MARBEUF : « Et la mer et l'amour ont l'amer pour partage » LAMARTINE : « Le lac » HUGO : « Elle était déchaussée, elle était décoiffée » BAUDELAIRE : « Melancholia » BAUDELAIRE : « A une passante » BAUDELAIRE : « Spleen » BAUDELAIRE : « La chevelure » BAUDELAIRE : « Recueillement » BAUDELAIRE : « Le désir de peindre » VERLAINE : « Green » VERLAINE : « L'angoisse »

D’un trait meurtrier empourpré de son sang : Ainsi j’allais sans espoir de dommage, Le jour qu’un oeil sur l’avril de mon âge Tira d’un coup mille traits dans mon flanc. 9° Victor Hugo : Contemplation «  elle était déchaussée  » 1830-1855 Elle était déchaussée, elle était décoiffée, Assise, les pieds nus, parmi les joncs penchants ; Moi qui passais par là, je crus voir une fée, Et je lui dis : Veux-tu t'en venir dans les champs ? Elle me regarda de ce regard suprême Qui reste à la beauté

et je n'aimerais pas vous inculper pour outrage à magistrat. Poursuivez . Marcellin de la Dencreuse Eh bien, je poursuis (désignant du doigt le dentiste) ce monsieur. Figurez-vous que j'avais mal à ma dent creuse. Oui, un petit morceau de rôti était tombé dedans. Ma sœur avait bien essayé de l'enlever mais je la mordais chaque fois qu'elle essayait. C'est pas que voulais la mordre mais vous savez un morceau de viande dans la bouche, c'est plus fort que moi, il faut que je morde. Alors, je m'suis

Texte pour le 18.10.07 Sonja Ruge Le soleil avait laissé place à la neige, des immenses tas de neige, colossales neige, comme Hans Castorp avait jamais vu de sa vie. Il n´en avait vraiment pas manqué l´hiver dernier, mais son abondance était plus faible comparer à cette année. Les chutes de neige étaient monstrueuses et immenses et remplisaient l´âme avec une confiance aventureuse et une excentricité de cette sphère. Il neigeait jours et nuits, en rafales clairsemé ou dense, mais il neigeait

importance selon ce que le poète a voulu faire ressentir a nous les lecteurs .La poésie permet de magnifier la femme. Grâce a la poésie, on peut lié l'amour a la nature comme nous le montre le célèbre auteur Victor Hugo avec le texte « elle était déchaussée » et mon cher Paul Eluard avec « les yeux fertiles » La poésie se reconnaît au plaisir qu’elle procure, à l’illumination qu’elle produit. Comme le disait Claudel dans la Ville : « Par le moyen de ce chant sans musique et de cette parole sans

prosateur romantique considéré comme l'un des plus importants écrivains de la langue française. Il est aussi une personnalité politique et un intellectuel engagé qui a compté dans l'Histoire du XIXe siècle. « Elle était déchaussée, elle était décoiffée » Elle était déchaussée, elle était décoiffée, Assise, les pieds nus, parmi les joncs penchants ; Moi qui passais par là, je crus voir une fée, Et je lui dis: Veux-tu t'en venir dans les champs ? Elle me regarda de ce regard suprême Qui reste