Elle était Déchaussée

général et son importance dans le monde. Ce texte nous servira donc d’introduction pour ce recueil. La poésie qui suit, « à Lydie » de Chateaubriand, exprime une autre sorte d’amour, un attachement affectif, ici envers un lieu. Ensuite, « elle était déchaussée » de Victor Hugo montrera le lien souvent fait par les poètes entre l’amour et la nature. Avec le poème « j’ai tant rêvé de toi » de Robert Desnos nous verrons la célébration à la femme aimée, fonction première des poésies amoureuses. Dans « 

d’un mélange d’amour qui prend différentes formes : l’amour d’enfant ( « veille chanson du jeune temps » ), un amour ou l’expression des sentiments est hésitante ( « la coccinelle ») ou encore le lyrisme amour sensuel et la nature (« elle était déchaussée, elle était décoiffée… ») ; mais il ne s’agit pas que d’un recueil de poèmes d’amour , le deuil a une place très importantes dans ce recueil (« demain dès l’aube »), on trouve aussi des poèmes engagés comme « mélancolie » qui traduis l’engagement politique

Il est fragile, solitaire, rêveur, fasciné par les mondes invisibles. A travers les souvenirs de l’adulte et le regard de l’enfant, le lecteur découvre la maison habitée par ses parents et ses nombreux locataires. La visite commence par le rez-dechaussée habité par une voyante. La maison porte son nom : Dar Chouafa. On fait connaissance avec ses clientes, on assiste à un rituel de musique Gnawa, et on passe au premier où Rahma, sa fille Zineb et son mari Aouad, fabricant de charrues disposaient

l’amour. On en conclue alors que l’homme est peiné et atteint à cause de ses relations avec l’amour.Friedrich, Homme et femme contemplant la lune (1824) Titre du poème Justification «Elle était déchaussée, elle était décoiffée… »Cette image a une similitude avec le poème car en effet, «Elle était déchaussé elle était décoiffé nous met directement dans une ambiance harmonieuse. Comme on le voit l’image le couple de personne sont dans un endroit chaleureux et contemple la lune. Ensuite au deuxième vers

analytiques : 1) Du Bellay, L’Olive (1550), LXXXIII, « Déjà la nuit en son parc amassait… » 2) Ronsard, Second Livre des amours (1578), Sur la mort de Marie, V « Comme on voit sur la branche … » 3) Victor Hugo, Les Contemplations (1856) « Elle était déchaussée » 4) Guillaume Apollinaire, Poèmes à Lou (1915), « Si je mourais là-bas… » 5) Paul Eluard, Capitale de la douleur (1926), « La courbe de tes yeux » (manuel p.59) Textes et documents complémentaires : 1) Ronsard, Continuation des Amours

la montagne. ». Nous voyons au début du poème que le poète est pressé de partir retrouver sa fille : »Je partirai. Vois-tu, je sais que tu m’attends. » (alinéa) Victor Hugo exprime également ses sentiments dans son poème intitulé « elle était déchaussée, elle était décoiffée », poème qui date de juin 1830. Pour exprimer ses sentiments dans ce poème, Victor Hugo utilise là aussi le registre lyrique. Dans ce poème, l’auteur exprime le sentiment d’amour du jeune homme pour la jeune fille qui se fait

aussi un homme politique qui marquera l'histoire française. L'oeuvre : Dans son recueil de poésie « les Contemplations », le poète nous livre ses souvenirs, exalte ses sentiments et glorifie l'artiste. Le passage : Dans son poème « Elle était déchaussée, elle était décoiffée » l'auteur nous décrit sa rencontre avec une jeune fille dans un cadre charmant et naturel. La problématique : Nous verrons comment la rencontre du poète et d'une mystérieuse jeune fille permet de célébrer une nature bucolique

Dans le 1er quatrain, il faut aussi retenir l'expression "en grand deuil" qui évoque la tristesse et le malheur. Baudelaire a expliqué que la notion de tristesse accompagne pour lui celle de beauté. Hugo Elle était déchaussée, elle était décoiffée... Elle était déchaussée, elle était décoiffée, Assise, les pieds nus, parmi les joncs penchants ; Moi qui passais par là, je crus voir une fée, Et je lui dis : Veux-tu t'en venir dans les champs ? Elle me regarda de ce regard suprême Qui reste

prendrai mon repos : Vous serez au foyer une vieille accroupie, Regrettant mon amour et votre fier dédain. Vivez, si m’en croyez, n’attendez à demain : Cueillez dès aujourd’hui les roses de la vie. ELLE ETAIT DECHAUSSEE (Victor Hugo, Les Contemplations, 1856) Elle était déchaussée, elle était décoiffée, Assise, les pieds nus, parmi les joncs penchants ; Moi qui passais par là, je crus voir une fée, Et je lui dis: Veux-tu t'en venir dans les champs ? Elle me regarda de ce regard suprême Qui reste

rendu hommage. Cette anthologie regroupe huit poèmes : « Ciels, Air et Vents » de Pierre de Ronsard, «Déjà la nuit en son parc amassait.. » de Du Bellay, « Le chêne et le roseau » de La fontaine, « Romance » de Jean-Jacques Rousseau, « Elle était déchaussée.. » de Victor Hugo , « Sensation » de Arthur Rimbaud, « Poisson » de Paul Eluard et « Les Feuilles morte »s de Jacques Prévert. Tous ces poèmes s’étendent du seizième aux vingtième siècle, et ils possèdent un point commun : la nature. Cependant