Elodie Santos

le ciel, et grand, l’espoir ! - L’espoir a fui, vaincu, vers le ciel noir. Tels ils marchaient dans les avoines folles, Et la nuit seule entendit leurs paroles. Paul Verlaine, Fêtes galantes Paul Verlaine. A ce Printemps perdu Elodie Santos, 2008 A ce Printemps perdu où nous nous sommes aimés au bord de la rivière un jour du mois de Mai A ce Printemps perdu où l’on sent le bonheur quitter cette espérance qu’on laisse et ne voit plus A ce Printemps perdu et à la renaissance

oiseaux et à ces chants d’idylles belles, mises à nu A ce Printemps perdu Comme un beau violon aux cordes abimées Qu’on n’entendra plus jamais A ce Printemps perdu et à ces vieilles pierres un jour au coeur des vignes qui ne seront plus là Elodie Santos, 2008 Avril Lorsqu’un homme n’a pas d’amour, Rien du printemps ne l’intéresse ; Il voit même sans allégresse, Hirondelles, votre retour ; Et, devant vos troupes légères Qui traversent le ciel du soir, Il songe que d’aucun

couche de neige et aux couleurs sombres et innocentes, qui vous mènerons au Paradis. Abandonnez-vous ainsi à cette anthologie qui fera de vos nuits des rêves inlassables. Sommaire 1-PRINTEMPS Oiseau de printemps, Elodie Santos Fleurs d’aurore, Nérée Beauchemin Veillée d’avril, Jules Laforgue Mon ami, Chloé Douglas Mai, Guillaume Apollinaire 2-Été Les soirs d’été…, Arthur Rimbaud Chaleur estivale, Sybille Rembard Eté, Paul Verlaine Paysage, Auguste Lacaussade

J'ai apprécié ce court poème parce qu'il apporte une image très positive d'une vie solitaire, l'idéal n'évoque pas d'amour ou de relations - du moins très peu - ce qui laisse comprendre que François Coppée conçoit le bonheur dans la solitude. Élodie SANTOS, Promenade Bleu Caillou Les pierres craquent sous les semelles L’herbe transpire ce matin Un beau soleil de printemps éclate au firmament Sous ce ciel bleu, on perçoit la couleur du vent Au pied de la colline va s’élevant un chemin près d’un étang

différentes : 16ème siècle pour Ronsard, 18ème siècle pour Voltaire et Fontenelle ; 19ème siècle pour Verlaine, Hugo, Max Elskamp, Maupassant, Sully Prudhomme et Baudelaire ; 20ème siècle pour E. Verhaeren et Ramuz ; et enfin 21ème siècle pour Elodie Santos. Ils sont d’auteurs différents, mais aussi de formes différentes, puisqu’on trouve aussi bien des poèmes composés de distiques que de poèmes composés de quatrains. J’ai classé ces poèmes par ordre chronologique. Ce qui les lie, et ce qui m’a

Tu illumines les jours les plus beaux et le chemin des passions à venir Soleil d’été Tu te couches à l’horizon au dessus d’une mer qui ne peut que rougir Soleil d’été Tu brilles avec l’Amour comme si l’éternité était avant l’Avenir Elodie Santos, 2009 Jour de fête Aux environs de Paris Midi chauffe et sèche la mousse ; Les champs sont pleins de tambourins ; On voit dans une lueur douce Des groupes vagues et sereins. Là-bas, à l’horizon, poudroie Le vieux donjon de saint Louis

MONGEOT ELODIE INTRODUCTION : QUI JE SUIS 1. POURQUOI CHOISIR UNE RECONVERSION PROFESSIONNELLE 2. MIEUX ME CONNAITRE 3. MA REFLEXION : QUEL METIER CHOISIR 4. LE METIER : DEFINITION, DECIYVERTE ET FORMATION 5. LES DEMARCHES ET LE PROBLEME QUE J’AI RENCONTRES a. Les démarches  b. Les problèmes rencontrés c. Quelles démarches envisager si jamais le financement n’est pas possible CONCLUSION  INTRODUCTION Salariée à Armatis en tant que téléconseillère depuis bientôt 5 ans, je souhaite

vieux banc cassé La petite patte n’est plus là Le papillon vole un peu plus loin J’entends le son du beau ruisseau qui coule au pied de ma maison il n’y a plus qu’un grand rayon de soleil qui traverse la fenêtre Et c’est bientôt l’été Elodie Santos, Ballade « Quand à peine un nuage » Quand à peine un nuage, Flocon de laine, nage Dans les champs du ciel bleu, Et que la moisson mûre, Sans vagues ni murmure, Dort sous le ciel en feu ; Quand les couleuvres souples Se promènent par

Sahin et Elodie Deparis, 10 rue Parant. Quentin, de Bruno Angelot et Aline Mougenet, Mélisey. Manoé, de Pascal Bigé et Jocelyne Thibaut, Auxelles-Haut. Raphaël, de Mickaël Laurent et Marie-Cécile Quittet, Mandeure. Noéh, de Christophe Mauvais et Gwladys Pethe, Essert. Angéline, de Jean-Michel Nardin et Céline Lavalette, Héricourt. Eléa, de Cédric Pelletier et Delphine Foltête, Pérouse. Jules, de Sébastien Tritsch et Aline Moraschetti, Sausheim. Ilario, de Anthony Bernert et Mélanie Dos Santos, 5 rue

Louvre - Salle Le Nôtre (Google Map) - 13h30 VIKTOR & ROLF Karla Otto Paris - 01 42 61 34 36 - mail2@karlaotto.com Espace Ephémère Tuileries - Jardin des Tuileries – Paris 75001 - 14h30 CACHAREL 01 42 68 38 88 - Laura GUILLERMIN, Annabelle DOS SANTOS - presse@cacharel.fr Palais de Tokyo - 13 avenue du Président Wilson - Paris 75016 (Google Map) - 15h30 SOPHIA KOKOSALAKI Karla Otto Paris, Virginie TRAPENARD - 01 42 61 34 36 - virginie@karlaotto.com Intercontinental Paris Le Grand Hotel - 2