Eloge De La Folie Critique De La Religion Erasme

» « Si on me presse de dire pour quoi j’aimais La Boétie, je répondrais, parce que c’était lui,parce que c’était moi. » « Mon métier et mon savoir, c’est vivre. » « Philosopher c'est apprendre à mourir. » Les grands auteurs Érasme (1467-1536) : Éloge de la folie (explication du protestantisme) Marguerite de Navarre (1492-1549): Heptaméron (nouvelles inspirées par le Decameron italien de Boccace) François Rabelais (1494?-1553) Gargantua Pantagruel Le tiers livre Le quart livre Clément

s’enorgueillit Balzac, et donc autant dans le domaine de l’inventio que de celle de l’elocution. Il est légitime pour le poète de parler la langue des Muses pour louer le Prince et défendre un parti (comme Ronsard et D’Aubigné avec les guerres de religions), pour exalter une philosophie ou une découverte scientifique (La Fontaine, disciple de Lucrèce, pour la découverte du quinquina). Fonctions et pouvoirs de la littérature Le XVIIe a été une période cruciale pour l’histoire de la littérature

de territoire. Cette période est caractérisée par une mobilité très importante des populations. Mais ce qui va donner une véritable unité culturelle à cette union est la religion commune. C’est une Europe féodale cad que le rapport économique est fondé sur la possession de la terre et de l’art militaire. A cette époque, la religion (le catholicisme) correspond à un ciment commun aux Etats de l’Europe, et notamment à partir du 8ème siècle. (elle permet l’unité des Etats). Cela s’explique notamment par

que l’interrogation philosophique est toujours liée à la question de la religion. - Soit que la philosophie tente de s’en dégager (cf. la philosophie d’avant la philosophie c’est à dire la philosophie présocratique VIème siècle avant JC, avant Socrate, les Lumières philosophiques au XVIIIème siècle, le marxisme, cf. « la religion est l’opium du peuple », Nietzsche, le philosophe du soupçon…) - Soit qu’elle justifie la religion et c’est le cas dans une des périodes les plus « sombres » de notre histoire

l’uniformité parmi les hommes en les isolant. » Theodor ADORNO (1903-1969) et Max HORKHEIMER (1895-1973) 621 Ces deux philosophes font partie de l’école de Francfort, qui se donne pour tâche de réfléchir à l’apport de la philosophie marxiste et de critiquer l’application qu’en a fait la révolution soviétique. Le regard de ces philosophes est aussi très aigu sur le concept de progrès, qui, pour eux, sépare les hommes : les machines, l’organisation spatiale des bureaux, les voitures individuelles détissent

l’égalité. La démocratie n’est pas seulement un régime politique mais un système politique et social. C. La diatribe anti-démocratique ►ARISTOPHANE : Recherche des causes de la décadence d’Athènes: critique des institutions. Fondation d’une cité idéale entre le ciel et la terre. ►SOCRATE : Critique de l’ECCLESIA : il n’y a de mérite et de vertu que ds le savoir. L’homme politique doit savoir ce qu’il fait. Education au métier du Chef. ►La république des athéniens : pamphlet qui s’adresse aux indécis

Plusieurs acteurs : les artisans. Diffusion de la mode, femmes achètent des choses dont elles n’ont pas vraiment besoin (bijoux …). Opposition entre l’avant mode et l’après pour la femme. Nouvelle économie. Limites : développe l’inégalité sociale. Critique de l’objet qu’il trouve inutile, société trop superficielle, préfère la paraitre à l’être. Choses excessives. Certains dépensent des sommes astronomiques. Différence entre valeur de l’objet et son prix. Idée d’immaturité. Opposition entre opulence

géants étaient sur la terre (car les enfants de Dieu venaient vers les hommes). Mais qui sont ces enfants de Dieu ? Ce n’est pas clair. On les assimile souvent aux anges rebelles. C’est un verset énigmatique qui sent l’ajout ultérieur. Herman Crinkel (critique moderne de la Bible) voit ici le souvenir déformé du rédacteur d’un mythe bien antérieur au judaïsme et ce rédacteur avait beaucoup de réticences par rapport au monothéisme. Le fait de les considérer comme les fils de Dieu a quelque chose de blasphématoire

renforcement du pouvoir royal en France sous François Ier III. La Renaissance, un renouvellement intellectuel, artistique et religieux Deuxième Partie : L’Europe moderne L’Europe des Etats puissants mais rivaux I. Les guerres de religions Troisième partie : La monarchie absolue en France Louis XIII et Richelieu I. Louis XIV, le Roi-Soleil II. L’absolutisme contesté Les Grandes découvertes La fin du Moyen Age se marque par de grands voyages

prestige, comme celle de Stanislas, ancien roi de Pologne, à Nancy. Le développement des périodiques est remarquable au long du siècle, il est le signe d'une curiosoté pour l'actualité intellectuelle et littéraire : L'année littéraire, par le plus grand critique de l'époque Fréron par exemple. Les "nouvelles à la main", lettres sans caractère personnel, les correspondances ou les loges maçonniques assurent aussi la circulation des idées. Le public a en commun une assez solide culture : des collèges jésuites