Emblèmes de la Croix-Rouge

l'église de SaintSébaldus à Nuremberg, et ce sujet scabreux revient, entre autres, dans une gargouille du Musée de Cluny, à Paris. Dans la galerie supérieure de la cathédrale de Strasbourg, une procession d'animaux est conduite par un ours qui porte la croix. Un loup tenant un cierge allumé y précède un porc et un bélier chargés de reliques ; tous ces quadrupèdes défilent pieusement, tandis qu'un âne figure à l'autel, disant la messe. Revêtu d'ornements sacerdotaux, un renard prêche à Brandebourg devant

l’architecte pas très précis à la renaissance : Saint Laurent, église du quartier des Médicis, est de Brunelleschi, dans les grandes lignes. Retour à l’architecture paléochrétienne du IVème siècles (grandes basiliques de Constantin à Rome). Plan en croix latine : 1 nef + 1 transept – plan basilical : nef bordée de colonnes + plafond (au lieu de voûte) + collatéraux voûtés. Ici, plan basilical. Colonnes surmontées d’arcades (≠paléochrétienne), Brunelleschi prend des libertés avec l’Antiquité. Bas

servaient aussi à la communication (le langage secret est représenté par des symboles, tels que la poignée de main des francs-maçons, la pyramide, le pentagramme, l'utilisation des chiffres 3, 7,13 et 33 qu'on trouve dans leurs armoiries, dans les emblèmes et aujourd'hui dans des sigles de firmes et dans des noms propres). Le symbole le plus important dans beaucoup d'organisations, y compris dans la franc-maçonnerie, est le tablier. Le tablier, qui, au début, était très simple et sans ornement,

Albert Speer, architecte du régime, mais aussi par la diffusion à large échelle d’images de ces manifestations. Ce document témoigne aussi de l’embrigadement de la société : elle passe par l’adoption de gestes et de signes communs – le salut nazi, la croix gammée – et par l’encadrement de la jeunesse – ici, des jeunes filles que l’on peut supposer appartenir à la Bund Deutscher Mädel, branche féminine des Jeunesses hitlériennes. On peut aussi attirer l’attention des élèves sur une autre forme d’encadrement

jette le passé... Les derniers vers de Maurice Magre (Inédits) Alors qu’il écrit ces derniers vers, c’est le 11 décembre 1941 qu’apparaissent à Maurice Magre les images du cyprès, de la grille et de la porte blanchie de plâtre qui sont les emblèmes familiers de la mort. Il a 64 ans. Jusqu’au dernier jour brille dans son cœur cette étincelle intérieure qu’aucun enseignement n’allume et qu’on ne peut soi-même faire briller. Il succombe à un cancer du foie et malgré la douleur qui le ronge, malgré

novembre 1918 et retrouve les siens le mois suivant. De ces deux ans et demi de captivité, il garde un souvenir amer, estimant être un « revenant », un soldat inutile qui n'a servi à rien[15]. Toutefois, il reçoit la croix de chevalier de la Légion d'honneur, le 23 juillet 1919, et la croix de guerre 1914-1918 avec étoile de bronze[11]. Entre-deux-guerres : officier d'état major[modifier]Article connexe : Entre-deux-guerres. De la Pologne à l'école de guerre : officier conférencier[modifier]Charles

d'honneur Officier de la Légion d'honneur 1934, militaire Grand-croix de la Légion d'honneur Grand-croix de la Légion d'honneur 1945, Président du gouvernement provisoire115 Ordre de la Libération Compagnon de la Libération1161940 Grand-croix de l'ordre national du Mérite Grand-croix de l'ordre national du Mérite 1963, Président de la République Croix de guerre 1914-1918 Croix de guerre 1914-1918 militaire Croix de guerre 1939-1945 Croix de guerre 1939-1945 militaire Médaille d'honneur des sapeurs-pompiers

République à Paris. On voit la statue de la République derrière la tribune où de Gaulle s’est installé. Les deux lettres RF, République française, sont apposées au pied de la tribune mais aussi comme un leitmotiv sur la banderole rouge. Les couleurs, bleu blanc rouge, du drapeau républicain (lui-même immense), sont omniprésentes. Commentaire. Le général de Gaulle présente le texte le lendemain de son adoption en Conseil des ministres. Tout est fait dans le rituel et le décor choisis pour affirmer

quand il a fini de réciter l’Offertoire. Lorsqu’un évêque est dégradé, ses gants lui sont ôtés des mains par les diacres. Au 11ième siècle, les abbés obtiennent le droit de porter des gants brodés d’une croix. C’est la couleur des gants qui va alors indiquer la fonction du prélat : rouge pour le cardinal, violet pour l’évêque et blanc pour le pape. A partir du 13ième siècle et du pontificat d’Innocent III, les gants épiscopaux sont ornés sur le dos de la main tandis qu’une bordure brodée

mois de décembre, l'an du Seigneur mil quatre cent vingt neuf et de notre règne le huitième. Sur le repli : Par le Roi, l'évêque de Séez, les Sieurs de la Trémoille, de Trêves et autres présents. Signées Mallière, et scellées sur lacs de soie rouge et verte du grand sceau de cire verte. Et plus bas : Expédiée en la chambre des comptes du Roi, le seizième du mois de janvier, l'an du Seigneur mil quatre cent vingt neuf et y enregistrée au livre des chartes du temps, folio CXXI. Signé A.