Emile Verhaeren Les Usines

chanté ma joie bien-aimée Chanté l'amour à voix virile Receuil: Alcools, 1913 J'ai choisi ce poème car j'aime les poèmes du genre lyrisme et le fait que l'auteur nous parle de ses echecs amoureux dans une ville. "Les Usines", Emile Verhaeren (1855-1916) Automatiques et minutieux, Des ouvriers silencieux Règlent le mouvement D'universel tictacquement Qui fermente de fièvre et de folie Et déchiquette, avec ses dents d'entêtement, La parole humaine abolie. Plus loin, un

Marion Tivital, Quai n°9, 2008 Pablo Picasso, Guernica, 1937 DOMAINE 2 Musique Krzysztof Penderecki, Thrène à la mémoire des victimes d’Hiroshima, 1960 http://www.youtube.com/watch?v=akpE6UgROrU&feature=related DOMAINE 3 Littérature Emile Verhaeren Poème "Les Usines", Les villes tentaculaires, 1895 3°F EPREUVE D’HISTOIRE DES ARTS COLLEGE ELIE COUTAREL 2011/2012 GROUPE Gaëlle Camacho & Laura Pailler THEMATIQUE ART et SOCIETE PROBLEMATIQUE Comment l’art contemporain critique-t-il la société

l’échine». (extrait de « Voie lactée ») ◦ octosyllabe qui parle de tramways = innovation = mélange des styles ◦ personnification de la ville et de son énergie Autre œuvre : - Émile Verhaeren poétise aussi la ville dans Les villes tentaculaires • exprime une fascination pour la ville industrielle et ses usines à la fois sublimes et terrifiantes. Deux édifices considérés comme des symboles de modernité de la fin du XIXe siècleB. Une liberté de ton Premier vers = hymne à la modernité :

étonnement et crainte face à la croissance et aux modifications de la vie urbaine que cela implique. On en retrouve des traces dans des romans comme Le Ventre de Paris et La Curée de Zola, troisième roman de la série des Rougon-Macquart. Le poète Emile Verhaeren, auteur de l’expression de « ville tentaculaire », décrit ainsi la ville comme « une pieuvre ardente », un monstre actif et très fort. Ces représentations de la ville marquent l’inquiétude des contemporains face au développement des villes industrielles

Cours Magistral de Mme Julien, Paris X - Nanterre I. Une poésie de la modernité a) Baudelaire : aux origines de la modernité b) les découvreurs du modernisme poétique : Verhaeren, Larbaud, Romains et l’Unanimisme c) Les chantres de l’esprit nouveau : Apollinaire, Cendrars, Max Jacob I. Une poésie de la Modernité a) Aux origines de la Modernité - Baudelaire Au début du XXème siècle, de nombreux mots tournent autour de la notion

une grandeure puis une reproche de l’avoir séduit puis rejeter. Conclu : Image de Paris : Une nouvelle ère, urbanisation galopante sous l’effet de la politique de Napoléon 3, un Paris libéré de mœurs, ville où règne l’anonymat.La plaine Intro : Emile Verhaeren → poète belge, d’expression française, mvt littéraire : symbolisme Les villes tentaculaires → recueil de 20 poèmes publié au 19e siècle La plaine → poème élégiaque, sur le thème de l’urbanisation/exode rural Lecture Structure → 3 mvts → Strophe

isoler la poésie de la vie réelle. Mais, déjà, la palinodie de Moréas avait ramené bien des poètes au spectacle concret du monde et à l’expression plus directe des sentiments. Cette tendance s’affirme aux approches de 1900. Dans le cas de VERHAEREN, on pourrait ainsi parler d’un véritable « Symbolisme humanitaire » puisque, sa manière demeurant nettement marquée par les habitudes d’expression récemment acquises, il n’en retrouve pas moins une mission de la poésie oubliée depuis Hugo. Plus

comme un seul homme les lièvres ont fichu le camp Ne vous désolez pas professeur les lièvres s’en vont mais les tiroirs restent C’est la vie. Emile Verhaeren (1855-1916) est un poète belge flamand, il faisait partie du symbolisme. Ce poème, parle des usines comme son titre l’indique et aussi des conditions de vie des ouvriers. Les usines Se regardant avec les yeux cassés de leurs fenêtres Et se mirant dans l'eau de poix et de salpêtre D'un canal droit, marquant sa barre à l’infini.

Symbolisme se poursuit avec Paul Valéry, Paul Fort, Emile Verhaeren, mais les thèmes de la modernité technologique sont davantage présents. Ils ouvrent la voie au poète de la modernité : Guillaume Apollinaire. L’Esprit nouveau : L’expression est de Guillaume Apollinaire : « l’esprit nouveau » désigne le poète, mais aussi Blaise Cendrars et Max Jacob. Caractéristiques : Une poésie du monde moderne : la ville, sa banlieue, ses industries, chemins-de-fer, usines… sont les thèmes qu’ils exploitent. Zone d’Apollinaire

formation musicale ? Vous savez que je suis né près d’une frontière, et que j’ai en moi du sang à la fois espagnol et français… Eh bien dans mon enfance je m’intéressais beaucoup à la mécanique ! Les machines me fascinaient. Je visitais des usines, très souvent, quand j’étais petit garçon avec mon frère. Ce sont ces machines, leurs cliquetis et leurs rugissements, qui, avec les chansons populaires espagnoles que ma mère me chantait le soir pour me bercer ont été ma première éducation musicale