Emile Verhaeren Les Usines

96-97) Doc. 3 : Émile Verhaeren, né au milieu du xixe siècle près d’Anvers, est un poète belge de langue française. Dans les années 1890, il se passionne pour les questions sociales. Après la Première Guerre mondiale, il est l’auteur de poèmes pacifistes. Dans Les Campagnes hallucinées, il rend compte à sa manière des mutations du monde, ici l’essor urbain. Il montre une ville à la recherche d’espace pour accueillir les migrants et les activités industrielles. Émile Verhaeren a une vision

Que ce soit peu de temps ou une dizaine d’année après un événement funeste ou heureux, ils ont toujours voulu utiliser la poésie afin que l’on n’oublie pas le destin tragique d’hommes, femmes, ou enfant, durant les guerres. C’est le cas d’Emile Verhaeren (1855-1916), un poète belge qui insista sur les méfaits de la première guerre mondiale dans son recueil Les Ailes rouges de la guerre. Dans ce dernier, le poème Aux jeunes soldats morts, publié en 1916, est dédié et dirigé vers les jeunes soldats

au mal, il a fait émerger l’absurdité de l’existence en cette nuit du monde. Philippe BOISNARD Michel Foucault, L’Histoire de la folie à l’âge classique, Le cercle anthropologique, Paris, 1972, Tel-gallimard, p. 545. Emile Verhaeren, Les villes tentaculaires, Les usines. Henri Michaux, La Vie dans les plis, Les envies satisfaites, Paris, 1972, Poésie-gallimard, p. 11. Roberto Zucco, scène IV. Koltès La nuit juste avant les forêts. Une part de ma vie, Entretien avec Emmanuelle Klaussner et Brigitte

maintient au pouvoir exécutif mais doit faire face à la montée de l'opposition de la gauche radicale, ainsi que des socialistes. Le siècle se conclut par une "affaire" qui révèle clairement les divisions profondes au sein des Français. L'écrivain Émile Zola prend la tête du mouvement dreyfusard provoquant un débat sans précédent dans la société française, mettant au jour les tendances xénophobiques d'une section de la population française, représentée par la droite nationaliste, militariste et antisémite

- Quelle est la forme de discours dominante dans ce texte ? « Les ponts » = poème en prose (ni rimes, ni vers), apparu au XIXe, contient surtt des descriptions. - Thème ? Thème : la ville du XIXe = symbole du progrès (révolut° indus, usines, mécanisation). - Structure en 2 parties ? • Structure : v.1-7 : description des ponts // v.7-12 : intervention de la musique. • Problématique : Quelle image de la ville ce poème en prose véhicule-t-il ? PRISE DE NOTES : REMARQUES

renoncement (qu’on regarde toutes les formes de l’énonciation négative du poème) ou d’arrachement (anaphore de « fuir » au vers 2 ; futur catégorique du « Je partirai » au v. 9, etc.). TexTe 7 Verhaeren, Les Villes tentaculaires, « Les Usines » ➜ p. 218 n 1. Situation du recueil Émile Verhaeren, poète belge d’expression française, est né le 21 mai 1855 à Saint-Amand en Belgique, dans une famille aisée de la bourgeoisie flamande. Après avoir fréquenté des collèges à Bruxelles et Gand, puis

autre auteur, mais anglais, très important L. Carroll (1865) « Alice au pays des Merveilles » et Melville (1851) « Moby Dick ». · 1870-1940 : Troisième République. Il y a une répression très forte. En 1871 : commune de Paris, comités dans les usines qui veulent le pouvoir, ils veulent d’installés à l’autogestion sans patron. Ils faisaient les coopératives. Thiers → va faire des prisonniers et ils vont faire un monument que c’est le Sacre Cœur pour donner un exemple. En 1894 : l’affaire

des Fleurs du mal » 312 Hugo, « J’aime l’araignée et j’aime l’ortie » 314 Lautréamont, « Le Pou » Le poète, alchimiste du quotidien 316 Verlaine, « Le bruit des cabarets, la fange des trottoirs » 317 Nouveau, « Le Peigne » 319 Verhaeren, « Les Usines » Le poète, alchimiste du verbe 322 Rimbaud, « Alchimie du verbe » 324 Corbière, « Le Crapaud » 325 Apollinaire, « Réponse des Cosaques Zaporogues au Sultan de Constantinople » L’objectif est de montrer comment, à partir de l’alchimie

E s’al mio mal non val forza d’oblio Né per disdegno il nodo discioglie, prenda morte di me l’ultime spoglie, pur c’abbia fin mio fato acerbo e rio! Usin le stele e’l ciel tutte lor prove, che, a quel ch’io sento, mi parranno un gioco; da si profonda parte il duol si move! Getta, Amor, l’arco, le saette e ‘l foco,

appel au surnaturel LE FANTASTIQUE EN LITTÉRATURE dans leurs oeuvres mais celles-ci n’appartiennent pas au genre purement fantastique pour autant. On peut avancer la même constatation pour Charles De Coster (1827 - 1879) et le grand poète Emile Verhaeren (1855 - 1916). Puisqu’on parle d’un "fantastique belge", peut-on en déceler les caractéristiques ? Le milieu décrit est généralement urbain (ou, quand l’action se passe à la campagne, dans l’îlot de civilisation locale : auberge, chambre d’hôte