Emile Zola Commentaire

gifle à son employeur. Chômeur, il part, en pleine crise industrielle, dans le Nord de la France, à la recherche d’un nouvel emploi. Il se fait embaucher aux mines de Montsou et connaît des conditions de travail deplorables (pour écrire ce roman, Emile Zola s'est beaucoup documenté sur le travail dans les mines). Il fait la connaissance d'une famille de mineurs, les Maheu et tombe amoureux de la jeune Catherine. Mais celle-ci devient la maîtresse d'un ouvrier brutal, Chaval, et bien qu'elle ne soit

écrivant Au Bonheur des dames, qui est le onzième roman du cycle des Rougon-Macquart (Le titre générique Les Rougon-Macquart regroupe un ensemble de vingt romans écrits par Emile Zola entre 1871 et 1883), Zola veut "faire le poème de l'activité moderne  c’est ce qu’il déclare dès le début de son ébauche. Comme pour chaque roman Zola va commencer par réunir une importante documentation. Comme vous pouvez le voir sur la projection Mais d’abord il va écrire un premier récit en écriture abrégé semé

Zola et le naturalisme Après une période de ferveur romantique, Emile Zola découvre les ressources que la science peut fournir au romancier. En concevant son œuvre Les Rougon-Macquart et surtout avec L’Assommoir en 1877, qui dresse une peinture du monde ouvrier, Zola triomphe et devient le chef de file de l’école naturaliste. I- Qu’est-ce que le naturalisme ? Le naturalisme est un mouvement littéraire du XIXème siècle qui prolonge le réalisme et qui s’attache à peindre la réalité en s’appuyant

creusent. Le baron Haussmann entame ses travaux de rénovation de Paris pour lutter contre l'insalubrité ; de grands magasins apparaissent ; le chemin de fer progresse dans tout le pays, autant de sujets qui inspireront les romanciers réaliste (comme Zola dans la Fortune des Rougon, Au bonheur des Dames, etc). Une école par commune fut crée en 1833 par Guizot. Les journaux insèrent dès 1836 des feuilletons pour attirer un lectorat plus large. Le travail romanesque et le travail journalistique se trouvent

Émile Zola Émile François Zola est un écrivain et journaliste français, né à Paris le 2 avril 1840 et mort dans la même ville le 29 septembre 1902. Considéré comme le chef de file dunaturalisme, c’est l'un des romanciers français les plus populaires1, les plus publiés, traduits et commentés au monde. Ses romans ont connu de très nombreuses adaptations au cinéma et à la télévision. Sa vie et son œuvre ont fait l'objet de nombreuses études historiques. Sur le plan littéraire, il est principalement

Salon de 1866, un très grand nombre de peintres réalistes et impressionnistes furent refusés. Cézanne écrivit une lettre de protestation u directeur des Beaux-Arts et réclama un autre Salon des refusés, mais il n’eut pas de réponse. Il demanda alors à Zola de défendre la nouvelle peinture ; l’écrivain fit l’éloge de Manet dans le journal L’Événement. Cette admiration pour Manet fut donc sollicitée par Cézanne qui avait compris la valeur et la portée révolutionnaire de tableaux tels que le Déjeuner sur

La Curée, Zola Dans cet extrait, Zola décrit la richesse d’une salle à manger prête à recevoir des invités. La richesse est évoquée par plusieurs procédés. Tout d’abord, le vocabulaire utilisé dans cet extrait est celui de la matière, des l’étoffes. Zola dans sa description parle de « Filet d’or », de « velours gros et vert », d’ « argenteries »,… des matières réservées, à cette époque, à une classe aisée de la société. De plus, Zola fait beaucoup d’énumérations, cela donne une sensation

métaphore, le jeu du clair-obscur, l'importance donnée à l'ombre et aux effets de lumière en général. Zola marque les aliments des Halles et les Halles mrmes d'une teinte de mystère. L'abondance des nourritures, leur entassement et leurs grandes tailles n'est pas sans créer, au moins pour Florent, une atmosphère d'étrangeté inquiétante. Il lui semble parfois qu'elles sont dotées de vie. Zola les présente comme des ttres animés : A certains craquements, à certains soupirs légers, il semblait

Le Gaulois, il sort en librairie en 1882. Le dessein de Zola : donner un pendant à L'Assommoir. « Montrer la bourgeoisie à nu après avoir montré le peuple et la montrer plus abominable, elle qui se dit d'ordre et d'honnêteté ». Adapté un an plus tard pour le théâtre, Pot-Bouille est boudé : « Ces gaillards-là (les bourgeois) refusent de lâcher leurs écus pour s'entendre dire des choses désagréables, ce que je comprends du reste », dira Zola. « Pot-bouille » : popote, ordinaire du ménage. Le lancement

publique, avant de vivre définitivement de sa plume. Dans le même temps, Flaubert, ami de sa mère, l'aide et lui apprend à observer la réalité avec des yeux neufs, à rechercher le mot juste, simple et unique. Il s'attache au groupe naturaliste de Zola, dont il s'écarte cependant assez vite. Son premier succès littéraire lui vient de Boule de suif (1880). Dès lors, il se consacre à son œuvre, publiant chaque année contes et nouvelles (La Maison Tellier en 1881, Les Contes de la bécasse en 1883)