En Attendant Godot Vérité Au Théâtre

d’exhaustivité qui nous a accompagné tout au long de la confection de ce rapport n’a pas pu être systématiquement honoré, même si l’évocation des marges nous a permis d’aborder des productions culturelles rarement mises en avant. Il reste que le théâtre, la musique, la chorégraphie n’ont pas reçu toute l’attention qui leur revient. Par ailleurs, la religion et la spiritualité, qui constituent un pan entier de la production culturelle et des fondements identitaires de la société, ont fait l’objet

croûte terrestre. Peu importe, l’idée d’une lente évolution est toujours là, la matière s’auto-organise et crée la première cellule primitive. Malgré tout l’énigme n’est pas résolue, cette explication est provisoire car la science avance en quête de la vérité. J.Monod pensait que l’énigme de la vie était insurmontable, les molécules d’ADN pouvaient contenir le mystère de la vie. Il fallait donc percer l’origine de la vie et l’origine du code génétique. Il fallait comprendre qui fabrique la protéine nécessaire

de la littérature française. Comme de juste, cinq siècles – auxquels il faudra sans doute ajouter bientôt le nôtre – sont représentés, du seizième au vingtième (voir liste infra) ; il en va de même pour les quatre genres principaux, roman, poésie, théâtre, essai, même si ce dernier a été cette année le moins exploité. La longueur des textes ne peut se satisfaire de normes contraignantes et obéit à un principe naturel de cohérence. Paraît-il plus facile d’expliquer un sonnet de Du Bellay que trois pages

AGES Introduction Language Literature Its diffusion Authors Hagiography The chanson de geste Lyric poetry to Rutebeuf Romance Comic realism Le Roman de Renard The fabliau The literature of devotion, moral reflection and information Learning and ideas Theatre Later lyric poetry Fifteenth-century ‘modernism’ Chartier Charles d’Orléans The anti-courtly reaction ‘Rhétoriqueurs’ Villon Conclusion xxii 1 1 2 2 3 4 6 7 10 12 17 17 18 19 22 23 25 26 27 27 28 29 29 30 vi 2 CONTENTS THE RENAISSANCE

surgit des broussailles. Il était nu. Voyant mon étonnement, il arracha d'une main forte une brassée d'herbes qu'il plaça devant son sexe. — Mademoiselle, je vous en supplie, n'ayez pas peur de moi. Loin d'avoir peur, je pensais à tout autre chose. La vérité était que je le trouvais si fort, si viril, si violemment désirable que j'en avais le souffle coupé. Il tendit une main suppliante dans ma direction, comme pour me rassurer sur ses intentions. — Pourriez-vous m'aider, s'il vous plaît ? Je remarquai

la porte. Josserand s’était tournée avec majesté vers son mari. Elle eut ce mot profond : Mme – Voilà, monsieur, comment vous les avez élevées ! – 45 – M. Josserand ne protesta pas, occupé à se cribler un ongle de petits points d’encre, en attendant de pouvoir écrire. Berthe, qui avait achevé son pain, trempait un doigt dans le verre, pour finir son sirop. Elle était bien, le dos brûlant, et ne se pressait pas, peu désireuse d’aller supporter, dans leur chambre, l’humeur querelleuse de sa sœur

des essais, la liberté et l’audace générique de ses romans l’en éloignent indiscutablement. Cet auteur utilise tous les genres romanesques, sans préférence. La forme épique, celle définie par Brecht, une forme dramatique construite en apposition au théâtre occidental traditionnel, « une forme, dit-il, qui invite le spectateur non plus à s’identifier au héros, ni à s’abandonner dans l’action, mais à porter un regard critique sur un spectacle qui se présente comme étant un modèle pratique de la réalité

essais, la liberté et l’audace générique de ses romans l’en éloignent indiscutablement. Cet auteur utilise tous les genres romanesques, sans préférence. La forme épique, celle définie par Brecht, une forme dramatique construite en apposition au théâtre occidental traditionnel, « une forme, dit-il, qui invite le spectateur non plus à s’identifier au héros, ni à s’abandonner dans l’action, mais à porter un regard critique sur un spectacle qui se présente comme étant un modèle pratique de la réalité

referma violemment la porte. Mme Josserand s’était tournée avec majesté vers son mari. Elle eut ce mot profond : – Voilà, monsieur, comment vous les avez élevées ! M. Josserand ne protesta pas, occupé à se cribler un ongle de petits points d’encre, en attendant de pouvoir écrire. Berthe, qui avait achevé son pain, trempait un doigt dans le verre, pour finir son sirop. Elle était bien, le dos brûlant, et ne se pressait pas, peu désireuse d’aller supporter, dans leur chambre, l’humeur querelleuse de sa sœur

referma violemment la porte. Madame Josserand s'etait tournee avec majeste vers son mari. Elle eut ce mot profond: —Voila, monsieur, comment vous les avez elevees! M. Josserand ne protesta pas, occupe a se cribler un ongle de petits points d'encre, en attendant de pouvoir ecrire. Berthe, qui avait acheve son pain, trempait un doigt dans le verre, pour finir son sirop. Elle etait bien, le dos brulant, et ne se pressait pas, peu desireuse d'aller supporter, dans leur chambre, l'humeur querelleuse de sa soeur