En chair et en os

s'endormit; il prit une de ses côtes, et referma la chair à sa place. 2.22 L'Éternel Dieu forma une femme de la côte qu'il avait prise de l'homme, et il l'amena vers l'homme. 2.23 Et l'homme dit: Voici cette fois celle qui est os de mes os et chair de ma chair! on l'appellera femme, parce qu'elle a été prise de l'homme. 2.24 C'est pourquoi l'homme quittera son père et sa mère, et s'attachera à sa femme, et ils deviendront une seule chair. 2.25 L'homme et sa femme étaient tous deux nus

s'adresser à Dieu dans un dernier espoir. 2. Le poète ne se désigne jamais seul, il n'emploie jamais le pronom « je », il parle pour les condamnés et les morts autant que pour lui même, il utilise le pronom « nous », il se désigne même par « et nous, les os », comme s'il était déjà mort et parlait d'outre tombe. Le poème est moins centré sur Villon mais plus sur tous les condamnés morts par pendaison, cela lui donne plus de force et le rend plus réaliste. 3. L'emploie du présent de l'impératif rappelle

cette sous-population. Les contacts physiques sont quasi-inexistants, y compris entre mari et femme, et la façon habituelle de se « rencontrer » est de passer par un système de communication holographique. L'idée de rencontrer une personne en chair et en os provoque une véritable phobie chez les habitants de Solaria, peur provoquée par la crainte des infections microbiennes, mais surtout par un facteur psychologique : ayant vécu toute leur vie isolés, ils n'ont aucune expérience et ne sont pas prêts

une chose) Un reste de camisole aux épaules en guise de chemise Le vêtement : marqueur de culture Nudité saignante Connotation chair animale et douloureuse de martyre Martyre = voca religieux / désigne une individu qui s'impose une souffrance pour soutenir la vérité de la religion. Lalie est idéalisée voca religieux Elle n'avait plus de chair, les os trouaient la peau Met en évidence la maigreur extrême / corps décharné image violente Sur les côtes, de minces zébrures violettes

l'indique l'asyndète. Et le nous est bien celui du groupe des pendus, Villon et ses compagnons... Mais la description devient clinique sur les 3 vers suivants; à peine la chair, ce qui caractérise le corps vivant, est-elle évoquée en en-tête au début du v. 6 - mais comme déjà entre parenthèse avec la prolepse «Quant à la chair», où les voyelles ouvertes sonnent vivement sur les 3 sourdes, avec la reprise ultérieure [ k t ] avec «que trop», qu'elle semble se désincarner lamentablement sur les voyelles

Frères humains, qui après nous vivez, N'ayez les coeurs contre nous endurcis, Car, si pitié de nous pauvres avez, Dieu en aura plus tôt de vous mercis. Vous nous voyez ci attachés, cinq, six : Quant à la chair, que trop avons nourrie, Elle est piéça dévorée et pourrie, Et nous, les os, devenons cendre et poudre. De notre mal personne ne s'en rie ; Mais priez Dieu que tous nous veuille absoudre ! Se frères vous clamons, pas n'en devez Avoir dédain, quoique fûmes occis Par justice. Toutefois

Frères humains, qui après nous vivez, N'ayez les coeurs contre nous endurcis, Car, si pitié de nous pauvres avez, Dieu en aura plus tôt de vous mercis. Vous nous voyez ci attachés, cinq, six : Quant à la chair, que trop avons nourrie, Elle est piéça dévorée et pourrie, Et nous, les os, devenons cendre et poudre. De notre mal personne ne s'en rie ; Mais priez Dieu que tous nous veuille absoudre ! Se frères vous clamons, pas n'en devez Avoir dédain, quoique fûmes occis Par justice. Toutefois

Frères humains qui après nous vivez, N’ayez les cœurs contre nous endurcis, Car, si pitié de nous pauvres avez, Dieu en aura plus tôt de vous merci, Vous nous voyez ci attachés, cinq, six, Quant de la chair, que trop avons nourrie, Elle est pieça* dévorée et pourrie, Et nous, les os, devenons cendre et poudre. De notre mal personne ne s’en rie Mais priez Dieu que tous nous veuille absoudre ! Se frères vous clamons, pas n’en devez Avoir dédain, quoique fûmes occis Par justice. Toutefois

Mondiale, les juifs, l’adolescence et la déportation) sont des thèmes très passionnants. Ce livre est destiné à toutes les tranches d’âge car le vocabulaire employé est celui d’une adolescente. Ce n'est pas un auteur qui imagine, c'est un témoin en chair et en os, qui vit, ressent, est ému par les événements. Ce journal est beaucoup plus émouvant que n'importe quel roman ou récit sur la Seconde Guerre Mondiale.

Finalement, ce livre nous permet d’en savoir plus sur la vie d’une adolescente juive cachée

qui offre une image de mort et de violence A) Strophe 1= image de corps à travers la chair et les os : personnification de ces derniers comme si c’était de la décomposition des corps => la pitié par identification -frayeur , image réaliste , cruelle et violente = « dévorée et pourrie » (v7)  écho avec les os. « devenons cendre et poudres » (v8)  rythme , places dans le vers. Attribut du sujet transforme les os en poussières  cadavre a priori enterrés B) Strophe 3 → image des corps pendu, non